Chronique
ELVENKING – THE WINTER WAKE / AFM Records 2006
On savait que les groupes de métal italiens aimaient beaucoup le médiéval. Aussi pour ne pas déroger à la tradition, voilà Elvenking qui évolue dans un univers où le fantastique, le mystique et les légendes règnent. Le tout sur une ambiance folk qui en ravira plus d’un c’est certain. Déjà le troisième album pour cette formation, alors voyons ce que va donner ce « The Winter Wake ».
On ne prend pas le temps de faire de la dentelle, pas d’intro, on attaque directement avec « Trow’s kind » qui il faut le dire m’a bluffé immédiatement. Une entrée en matière avec les violons sur un rythme folk pagan dynamique qui te fait bouger sans cesse. Petit break et on rentre dans le vif du sujet avec le chant et les chœurs : une tuerie. D’entrée on sait à quoi s’attendre. Cela fait plaisir. Un très bon départ.
Au tour de « Swallowtail » de se glisser dans nos oreilles. Batterie et violons prennent les devants et nous amorcent un morceau puissant qui se ballade dans les oreilles sans difficultés aucunes. Le refrain appuyé par les chœurs et bien bon, le couplet qui suit est agréable à souhaits, un break… de la guitare sèche en trio avec le chant et le violon : ouf !
Voilà le titre track « The Winter Wake ». Un morceau à l’arrivée très heavy et à la voix agressive, tout comme au niveau des instruments d’ailleurs. Le tempo est moins rapidement mais côté musical c’est plus rentre dedans. Et le passage calme et doux au violon à la fin…. Aie aie aie.
On ne va pas en rester là, et « The Wanderer » arrive annihilant toute concurrence. Ca speed puis break, passage calme et bim tu te prends un bon gros riff de la part d’Aydan dans ta tête. Le solo violon / guitare suivi d’un passe assez calme au chant (mais enchanteur) embellissent la chanson. Sans oublier les moments plus agressifs où la basse est mise en avant.
Le groupe pète les plombs et arrive avec « March of fools » qui se pointe violons en avant avec une ambiance celte. Le rythme s’accélère et je me verrai bien autour d’un feu de bois avec une chope de bière à la main en dansant et chantant. Diable que c’est bon ! Elyghen est un vrai virtuose derrière son violon.
« On the morning dew » arrive plus calme et beaucoup plus joyeux avec une guitare sèche et un air apaisant. La flûte vient se coller aux autres instruments, une voix féminine vient nous enchanter telle une sirène nous attirant vers les abîmes. Une superbe chanson pleine de douceur et bien efficace.
Retour dans la puissance avec « Devil’s carnage ». Il n’en aurait pu en être autrement vu le nom de la chanson d’ailleurs. Et là encore un vrai régale. C’est succulent. Un power folk qui sonne juste et qui te fait sauter, tourner ta tête sans arrêt jusqu’à ce que tu n’en puisses plus.
Morceau tout aussi mélodique que dynamique, voilà « Rats are following ». Le refrain est bien efficace et laisse des traces avec son passage agressif. Un mid tempo assez sympathique.
Pour « Rouse your dream », l’intro se fait au clavier avant une furie de Zender qui se lâche derrière ses fûts. Une nouvelle fois la musique est entraînante et le break qui nous fait rentrer dans un univers mélodique calme puis énergique fait son effet. Le refrain avec les chœurs est d’enfer, du vrai bonheur. Le tout avec une légère nappe de clavier en fond.
Le feu de camp ne risque pas de s’éteindre car avec « Neverending nights » la fête bat à son plein. Le morceau épique de l’album avec ses 7minutes que l’on sent pas passer tellement on bouge dessus et tant l’ambiance est magique et variée. Une bonne alternance de puissance, mélodies, chant ensorceleur et une tête qui headbang toute seule.
Dernier morceau de la rondelle avec « Disillusion’s reel » qui est une sorte de happy ending. Un morceau calme et joyeux pour nous annoncer cette fin et qui nous remercie. Un bon moment à passer en l’écoutant.
Conclusion : un album plein d’émotions et très varié. On a envie d’aller danser, de boire, de chanter aux côtés des elfes, fées et autres personnages mystiques… le tout dans une atmosphère bien cool et divertissante. Un groupe qui je pense doit cartonner sur scène. L’impatience me ronge….
On ne prend pas le temps de faire de la dentelle, pas d’intro, on attaque directement avec « Trow’s kind » qui il faut le dire m’a bluffé immédiatement. Une entrée en matière avec les violons sur un rythme folk pagan dynamique qui te fait bouger sans cesse. Petit break et on rentre dans le vif du sujet avec le chant et les chœurs : une tuerie. D’entrée on sait à quoi s’attendre. Cela fait plaisir. Un très bon départ.
Au tour de « Swallowtail » de se glisser dans nos oreilles. Batterie et violons prennent les devants et nous amorcent un morceau puissant qui se ballade dans les oreilles sans difficultés aucunes. Le refrain appuyé par les chœurs et bien bon, le couplet qui suit est agréable à souhaits, un break… de la guitare sèche en trio avec le chant et le violon : ouf !
Voilà le titre track « The Winter Wake ». Un morceau à l’arrivée très heavy et à la voix agressive, tout comme au niveau des instruments d’ailleurs. Le tempo est moins rapidement mais côté musical c’est plus rentre dedans. Et le passage calme et doux au violon à la fin…. Aie aie aie.
On ne va pas en rester là, et « The Wanderer » arrive annihilant toute concurrence. Ca speed puis break, passage calme et bim tu te prends un bon gros riff de la part d’Aydan dans ta tête. Le solo violon / guitare suivi d’un passe assez calme au chant (mais enchanteur) embellissent la chanson. Sans oublier les moments plus agressifs où la basse est mise en avant.
Le groupe pète les plombs et arrive avec « March of fools » qui se pointe violons en avant avec une ambiance celte. Le rythme s’accélère et je me verrai bien autour d’un feu de bois avec une chope de bière à la main en dansant et chantant. Diable que c’est bon ! Elyghen est un vrai virtuose derrière son violon.
« On the morning dew » arrive plus calme et beaucoup plus joyeux avec une guitare sèche et un air apaisant. La flûte vient se coller aux autres instruments, une voix féminine vient nous enchanter telle une sirène nous attirant vers les abîmes. Une superbe chanson pleine de douceur et bien efficace.
Retour dans la puissance avec « Devil’s carnage ». Il n’en aurait pu en être autrement vu le nom de la chanson d’ailleurs. Et là encore un vrai régale. C’est succulent. Un power folk qui sonne juste et qui te fait sauter, tourner ta tête sans arrêt jusqu’à ce que tu n’en puisses plus.
Morceau tout aussi mélodique que dynamique, voilà « Rats are following ». Le refrain est bien efficace et laisse des traces avec son passage agressif. Un mid tempo assez sympathique.
Pour « Rouse your dream », l’intro se fait au clavier avant une furie de Zender qui se lâche derrière ses fûts. Une nouvelle fois la musique est entraînante et le break qui nous fait rentrer dans un univers mélodique calme puis énergique fait son effet. Le refrain avec les chœurs est d’enfer, du vrai bonheur. Le tout avec une légère nappe de clavier en fond.
Le feu de camp ne risque pas de s’éteindre car avec « Neverending nights » la fête bat à son plein. Le morceau épique de l’album avec ses 7minutes que l’on sent pas passer tellement on bouge dessus et tant l’ambiance est magique et variée. Une bonne alternance de puissance, mélodies, chant ensorceleur et une tête qui headbang toute seule.
Dernier morceau de la rondelle avec « Disillusion’s reel » qui est une sorte de happy ending. Un morceau calme et joyeux pour nous annoncer cette fin et qui nous remercie. Un bon moment à passer en l’écoutant.
Conclusion : un album plein d’émotions et très varié. On a envie d’aller danser, de boire, de chanter aux côtés des elfes, fées et autres personnages mystiques… le tout dans une atmosphère bien cool et divertissante. Un groupe qui je pense doit cartonner sur scène. L’impatience me ronge….
Critique : Lionel
Note : 9/10
Site du groupe : site officiel de Elvenking
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