Chronique
SWEET OBLIVION - RELENTLESS / Frontiers records 2021
Voici le retour de Geoff Tate (Ex Queensryche) avec le projet Italien Sweet Oblivion qui aujourd’hui est dirigé par Aldo Lonobile (Secret sphere) remplaçant de Simone Mularoni (DGM). Allons voir où tout cela nous mène.
Une longue intro au piano nous intronise « Once Again One Sin » un mid tempo mélodique pas très rythmé qui pose les ambiances et fait son job. On continue avec « Strong Pressure » qui trouve plus de rythme et se rapproche fortement des travaux du Ryche. Sans être original ni même captivant ce début permet au moins de constater que Geoff est toujours aussi en voix !
Une guitare plus lourde débute « Let it be » qui là encore lorgne vers le Mid tempo mélodique. Ça fonctionne mais sans faire chavirer les cœurs non plus.
Avec « Another change » on retrouve du rythme et on tape du pied facilement en se délectant du travail de notre chanteur. C’est un peu mieux avec « Wake up call » qui là aussi rappelle fortement les travaux de son ancien groupe.
« Remember me » ne pourrait pas mieux porter son nom tant elle veut montrer à quel point Geoff Tate est toujours aussi formidable ! Puis on reste dans la même veine pour « Anybody out there » qui ne casse pas trois pattes à un canard mais reste agréable.
Un petit « Aria » qui ne change rien débarque et fait réellement ce qu’on attend de lui. Oui un album plus que formaté ! Seule particularité le titre est chanté en Italien.
Place à la ballade « I’ll be the one » qui est simple mais passe bien. Puis on termine avec « Fly angel fly », un titre rythmé et plaisant qui clôt bien cet opus sympa.
Conclusion : avec ce deuxième album Sweet Oblivion montre bien que son intérêt est de remettre Goeff Tate en valeur avec une musique formatée, proche de Queensryche. Difficile d’y trouver un réel intérêt.
Une longue intro au piano nous intronise « Once Again One Sin » un mid tempo mélodique pas très rythmé qui pose les ambiances et fait son job. On continue avec « Strong Pressure » qui trouve plus de rythme et se rapproche fortement des travaux du Ryche. Sans être original ni même captivant ce début permet au moins de constater que Geoff est toujours aussi en voix !
Une guitare plus lourde débute « Let it be » qui là encore lorgne vers le Mid tempo mélodique. Ça fonctionne mais sans faire chavirer les cœurs non plus.
Avec « Another change » on retrouve du rythme et on tape du pied facilement en se délectant du travail de notre chanteur. C’est un peu mieux avec « Wake up call » qui là aussi rappelle fortement les travaux de son ancien groupe.
« Remember me » ne pourrait pas mieux porter son nom tant elle veut montrer à quel point Geoff Tate est toujours aussi formidable ! Puis on reste dans la même veine pour « Anybody out there » qui ne casse pas trois pattes à un canard mais reste agréable.
Un petit « Aria » qui ne change rien débarque et fait réellement ce qu’on attend de lui. Oui un album plus que formaté ! Seule particularité le titre est chanté en Italien.
Place à la ballade « I’ll be the one » qui est simple mais passe bien. Puis on termine avec « Fly angel fly », un titre rythmé et plaisant qui clôt bien cet opus sympa.
Conclusion : avec ce deuxième album Sweet Oblivion montre bien que son intérêt est de remettre Goeff Tate en valeur avec une musique formatée, proche de Queensryche. Difficile d’y trouver un réel intérêt.
Critique : Guillaume
Note : 7/10
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