Chronique
TONY MARTIN - THORNS / Battlegod production 2022
Ah quel plaisir de retrouver Mr Tony Martin (Ex Black Sabbath) en solitaire. Lui qui depuis 2005 et le sympathique ‘Scream’ s’étaient attelés à des projets plus ou moins éphémères et intéressants, refait enfin sa propre musique. Qu’il me tarde de découvrir cela !!!!
On commence avec un “As the world burns” qui met dans l’ambiance moderne de cet opus. Oui notre homme n’a pas voulu simplement jouer sur ses acquis passés et veut s’inscrire dans l’air du temps. On enfonce le clou avec un “Black widow angel” lourd de chez lourd qui bien sur rappelle un certain Black Sabbath.
Des chœurs somptueux annoncent “Book of shadows”, qui se veut plus léger que ne le laisse imaginer cette chorale présente de bout en bout et qui donne un coté mystique à ce titre. Un peu d’acoustique pour “Crying wolf” surprenant mais fort sympathique. Une petite surprise qui montre que notre chanteur qui a 64 ans n’a rien perdu de ses capacités vocales, ne veut pas faire du conventionnel.
La puissante “Damned by you” débarque avec son gros riff et son violon ! Un titre qui ne rigole pas et devrait plaire à un certain Zakk Wylde ! Un moment qui ne laisse pas indifférent !! Un peu de rythme arrive avec la groovy “No shame at all”. Une bonne idée qui permet de profiter encore plus de cet album.
A nouveau l’ombre du groupe de Tony Iommy plane sur “Nowhere to fly”, qui aurait très bien pu apparaitre sur un des opus du Sabbath. On s’énerve un peu avec “Passion killer”, qui sent la poudre. Tony y crache ses cordes vocales pour notre plus grand plaisir !
Un peu de rythme pour “Run like the devil”, qui à nouveau fonctionne du feu de Dieu et démontre quel exceptionnel chanteur il est !! Avec “This is your damnation”, nous avons droit à du surprenant, un titre western mi parlé mi chanté qui est une vraie surprise, mais fonctionne bien.
On termine avec “Thorns”, aux arpèges calmes. Un titre à l’esprit progressif qui veut Pamela Moore (La sister Mary du Operation Mindcrime de Queensryche)pour faire un duo. Un bon moment à nouveau !
Conclusion : pour ce nouvel opus solo Tony Martin, nous propose une musique lourde encrée dans l’air du temps qui montre qu’il a encore de très beaux restes. J’espère qu’on ne devra pas attendre encore 17 ans pour avoir une suite.
On commence avec un “As the world burns” qui met dans l’ambiance moderne de cet opus. Oui notre homme n’a pas voulu simplement jouer sur ses acquis passés et veut s’inscrire dans l’air du temps. On enfonce le clou avec un “Black widow angel” lourd de chez lourd qui bien sur rappelle un certain Black Sabbath.
Des chœurs somptueux annoncent “Book of shadows”, qui se veut plus léger que ne le laisse imaginer cette chorale présente de bout en bout et qui donne un coté mystique à ce titre. Un peu d’acoustique pour “Crying wolf” surprenant mais fort sympathique. Une petite surprise qui montre que notre chanteur qui a 64 ans n’a rien perdu de ses capacités vocales, ne veut pas faire du conventionnel.
La puissante “Damned by you” débarque avec son gros riff et son violon ! Un titre qui ne rigole pas et devrait plaire à un certain Zakk Wylde ! Un moment qui ne laisse pas indifférent !! Un peu de rythme arrive avec la groovy “No shame at all”. Une bonne idée qui permet de profiter encore plus de cet album.
A nouveau l’ombre du groupe de Tony Iommy plane sur “Nowhere to fly”, qui aurait très bien pu apparaitre sur un des opus du Sabbath. On s’énerve un peu avec “Passion killer”, qui sent la poudre. Tony y crache ses cordes vocales pour notre plus grand plaisir !
Un peu de rythme pour “Run like the devil”, qui à nouveau fonctionne du feu de Dieu et démontre quel exceptionnel chanteur il est !! Avec “This is your damnation”, nous avons droit à du surprenant, un titre western mi parlé mi chanté qui est une vraie surprise, mais fonctionne bien.
On termine avec “Thorns”, aux arpèges calmes. Un titre à l’esprit progressif qui veut Pamela Moore (La sister Mary du Operation Mindcrime de Queensryche)pour faire un duo. Un bon moment à nouveau !
Conclusion : pour ce nouvel opus solo Tony Martin, nous propose une musique lourde encrée dans l’air du temps qui montre qu’il a encore de très beaux restes. J’espère qu’on ne devra pas attendre encore 17 ans pour avoir une suite.
Critique : Guillaume
Note : 7.5/10
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