Chronique
MOTLEY CRUE - CARNIVAL OF SINS / SPV STEAMHAMMER 2006
Depuis sa reformation avec le groupe d’origine le Crue ne cesse de faire parler de lui, une compilation monstrueuse l’année dernière et là un double live du feu de dieu. Alors près à retrouver Vince Neil, Nikki Sixx, Tommy Lee et Mick Mars pour près de 2h de show à l’américain : en voiture Simone tu vas voir ce que tu vas voir !!
C ‘est le tube « Shout at the devil » qui ouvre les hostilités, le son est monstrueux, le groupe dans une putain de forme et le public présent est en feu !! Vince assure comme au bon vieux temps (et même mieux car il chante moins faux) ; malheureusement sa voix est coincée entre la guitare du survivant Mick Mars et la batterie du grand Tommy Lee toujours aussi impérial derrière ses fûts. Sans temps mort l’énorme « Too fast for love » attaque. Il est vrai que l’album sonne très live avec ses imperfections au niveau mixage mais au moins il ne fait pas surfait. Dans les points faibles on peu noter aussi malheureusement le manque cruel de son sur la basse du Warrior Nikki Sixx dont on ne peu profiter de son jeu puissant et carré.
Bon c’est pas tout mais « Ten second to love » débarque rendant le public de plus en plus fou (et ce n’est qu’un début car voila la set list) la voix se fait de plus en plus de place ce qui arrange les choses. Vince est en transe avec un public acquis entièrement à la cause du Crue ! « Red hot » poursuit, sur la lancée avec la basse énergique de Nikki, les explosions entendues donnent les frissons, il faut avoir vu aussi le DVD pour baver comme ce n’est pas possible devant le spectacle proposé : ahurissant !!!! Quelle patate, quelle pêche, quelle banane il n’a y pas assez de fruit et légume au monde pour décrire l’énergie de ce live : ouff !!!
Toujours sans temps mort le groupe nous propose « On with the show » calme au premier abord vous pouvez respirer en attendant que ça parte dans un super refrain : oh yeah rock n roll again !
Attention à l’enchaînement qui va suivre, « Too young to fall in love » toujours énormissime 23 ans après sa sortie : un pur plaisir qui en fera rajeunir beaucoup (D’ailleurs comme la majorité de ce live), puis « Looks that kill » s’élance avec là encore un putain de plaisir orgasmique à faire tendre n’importe quelle trique au monde (ah cela faisait longtemps que vous en avait pas eu des remarques comme ça mais bon quand on parle de Motley Crue le sexe n’est jamais loin). « Louder than hell » heavy comme jamais vous en remet une couche quelle furie en live et que d’explosion, « Live wire » déboule comme une tornade aux ravages incommensurables ah la la quelle trique, même les nichons de Pamela Anderson ne m’ont pas fait cet effet (petite dédicace à Tommy Lee), l’autre tube « Girls, girls, girls » s’entame toujours au bruit de Harley pour un surplus de jouissance (et encore vous ne voyez pas les jeunes filles à moitié nues se trémousser sur scène) quel bonheur !! Et « Wild side » termine ce premier Cd dans une telle salve de bien-être que plus rien ne compte autour de vous.
2eme cd est là « Don’t go away mad (just go away) » calme le jeu dans le premier titre calme de la soirée, mais cela n’atténue en rien le pied procuré (aux dires du public qui hurle comme des damnés cela se confirme). Aller on repart dans le grand Hard US avec « Primal scream » rien ne fait tomber la pression, pas même le medley de ballade « Glitter » « Without you » et la archi connue « Home sweet home » tout simplement merveilleuse sur laquelle Vince y est exquis.
La groupe va nous achever encore un peu plus dans un « Dr Feelgood » de derrière les fagots un autre grand tube (le dernier) du groupe qui fait réellement toujours autant de bien, tout comme « Same ol situation » qui met, mais qui met : ah putain je n’ai plus de mot dans mon dictionnaire pour décrire la situation : agrhh !!!
Maintenant si vous êtes toujours en vie et que les boutons de votre pantalon n’ont pas tous lâchés les deux nouveaux titres du Crue présent sur la compile « Sick love song » et la sublime « If i die tomorrow » passent l’épreuve de la scène sans soucis encore un bon point.
Ouf la fatigue commence à se faire sentir à force de bouger dans tout les sens de chanter tous ces grands titres mais le mieux c’est qu’il en reste. « Kickstart my heart » vous en remet un coup ah la la le paradis existe, et si vous croyez avoir tout, vous oubliez les reprises devenues culte chez la bande à Nikki Sixx, tout d’abord l’Anthologique « Helter skelter » des Beatles et le monstrueux « Anachy in the UK » des Sex Pistols (Dédicace à Pierro) qui achève tout le monde dans un bain de jouissance MA GIS TRAL !!!
Conclusion : certes ce n’est pas un live parfait (loin d’être hyper décevant quand même) mais le plaisir procuré est tel que l’on passe sur ce qui reste finalement une normalité (moi les Lives trop parfaits ça me plait pas des masses). Malgré tout ce que le groupe à connu (succès, descente aux enfers, drogues, femmes) le Crue version 2006 est toujours aussi fringant et procure comme vous l’avez compris un immense bonheur qui ravira les fans de la grande époque, comme les ‘petits jeunes’ qui veulent découvrir un des plus grand nom du Hard Us des année 80. Non Motley Crue n’est pas mort : vive le Crue !!!!
C ‘est le tube « Shout at the devil » qui ouvre les hostilités, le son est monstrueux, le groupe dans une putain de forme et le public présent est en feu !! Vince assure comme au bon vieux temps (et même mieux car il chante moins faux) ; malheureusement sa voix est coincée entre la guitare du survivant Mick Mars et la batterie du grand Tommy Lee toujours aussi impérial derrière ses fûts. Sans temps mort l’énorme « Too fast for love » attaque. Il est vrai que l’album sonne très live avec ses imperfections au niveau mixage mais au moins il ne fait pas surfait. Dans les points faibles on peu noter aussi malheureusement le manque cruel de son sur la basse du Warrior Nikki Sixx dont on ne peu profiter de son jeu puissant et carré.
Bon c’est pas tout mais « Ten second to love » débarque rendant le public de plus en plus fou (et ce n’est qu’un début car voila la set list) la voix se fait de plus en plus de place ce qui arrange les choses. Vince est en transe avec un public acquis entièrement à la cause du Crue ! « Red hot » poursuit, sur la lancée avec la basse énergique de Nikki, les explosions entendues donnent les frissons, il faut avoir vu aussi le DVD pour baver comme ce n’est pas possible devant le spectacle proposé : ahurissant !!!! Quelle patate, quelle pêche, quelle banane il n’a y pas assez de fruit et légume au monde pour décrire l’énergie de ce live : ouff !!!
Toujours sans temps mort le groupe nous propose « On with the show » calme au premier abord vous pouvez respirer en attendant que ça parte dans un super refrain : oh yeah rock n roll again !
Attention à l’enchaînement qui va suivre, « Too young to fall in love » toujours énormissime 23 ans après sa sortie : un pur plaisir qui en fera rajeunir beaucoup (D’ailleurs comme la majorité de ce live), puis « Looks that kill » s’élance avec là encore un putain de plaisir orgasmique à faire tendre n’importe quelle trique au monde (ah cela faisait longtemps que vous en avait pas eu des remarques comme ça mais bon quand on parle de Motley Crue le sexe n’est jamais loin). « Louder than hell » heavy comme jamais vous en remet une couche quelle furie en live et que d’explosion, « Live wire » déboule comme une tornade aux ravages incommensurables ah la la quelle trique, même les nichons de Pamela Anderson ne m’ont pas fait cet effet (petite dédicace à Tommy Lee), l’autre tube « Girls, girls, girls » s’entame toujours au bruit de Harley pour un surplus de jouissance (et encore vous ne voyez pas les jeunes filles à moitié nues se trémousser sur scène) quel bonheur !! Et « Wild side » termine ce premier Cd dans une telle salve de bien-être que plus rien ne compte autour de vous.
2eme cd est là « Don’t go away mad (just go away) » calme le jeu dans le premier titre calme de la soirée, mais cela n’atténue en rien le pied procuré (aux dires du public qui hurle comme des damnés cela se confirme). Aller on repart dans le grand Hard US avec « Primal scream » rien ne fait tomber la pression, pas même le medley de ballade « Glitter » « Without you » et la archi connue « Home sweet home » tout simplement merveilleuse sur laquelle Vince y est exquis.
La groupe va nous achever encore un peu plus dans un « Dr Feelgood » de derrière les fagots un autre grand tube (le dernier) du groupe qui fait réellement toujours autant de bien, tout comme « Same ol situation » qui met, mais qui met : ah putain je n’ai plus de mot dans mon dictionnaire pour décrire la situation : agrhh !!!
Maintenant si vous êtes toujours en vie et que les boutons de votre pantalon n’ont pas tous lâchés les deux nouveaux titres du Crue présent sur la compile « Sick love song » et la sublime « If i die tomorrow » passent l’épreuve de la scène sans soucis encore un bon point.
Ouf la fatigue commence à se faire sentir à force de bouger dans tout les sens de chanter tous ces grands titres mais le mieux c’est qu’il en reste. « Kickstart my heart » vous en remet un coup ah la la le paradis existe, et si vous croyez avoir tout, vous oubliez les reprises devenues culte chez la bande à Nikki Sixx, tout d’abord l’Anthologique « Helter skelter » des Beatles et le monstrueux « Anachy in the UK » des Sex Pistols (Dédicace à Pierro) qui achève tout le monde dans un bain de jouissance MA GIS TRAL !!!
Conclusion : certes ce n’est pas un live parfait (loin d’être hyper décevant quand même) mais le plaisir procuré est tel que l’on passe sur ce qui reste finalement une normalité (moi les Lives trop parfaits ça me plait pas des masses). Malgré tout ce que le groupe à connu (succès, descente aux enfers, drogues, femmes) le Crue version 2006 est toujours aussi fringant et procure comme vous l’avez compris un immense bonheur qui ravira les fans de la grande époque, comme les ‘petits jeunes’ qui veulent découvrir un des plus grand nom du Hard Us des année 80. Non Motley Crue n’est pas mort : vive le Crue !!!!
Critique : Guillaume
Note : 9/10
Site du groupe : site officiel de Motley Crue
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