Chronique
GRAHAM BONNET BAND - DAY OUT IN NOWHERE / Frontiers records 2022
Viré comme un mal propre de son propre groupe (Alcatrazz) Graham 74 ans ne compte pas prendre sa retraite ! Il retrouve sa jeune chérie et des ex musicos de son ‘Band’ et nous offre un 3ème opus ! On sait que l’homme à du caractère et c’est ce que l’on va découvrir.
Premier moment avec « Imposter » qui permet de retrouver notre Graham en grande forme sur une musique plus personnelle. Perso je suis ravi de retrouver Conrad Pesinato à la guitare, qui ne cherche pas à copier un certain guitariste Suédois. A la suite « Twelves steps of heaven » est un mélange entre couplets lents et refrains plus speed. Un bien bon titre que voilà.
Place à la plus mélodique « Brave new world » qui passe bien. A noter la présence de Roy Z (Bruce Dickinson, Rob Halford, Rob Rock) au solo de guitare. Certes je dois reconnaître que malgré le grand plaisir de retrouver ce ‘groupe’, musicalement on n’est pas aussi bien que sur les deux premiers opus. Début inquiétant pour « Uncle john », qui par la suite envoie sévère avec un bon riff de Conrad. On sent ici la poudre pour notre plus grand plaisir ! Un titre qui sort du lot.
« Day out in nowhere » est un moment presque Pop qui surprend mais pourquoi pas. Un passage sobre qui apporte de la légèreté bienvenue. « The sky is alive » retrouve le Hard Rock plus venimeux et te fait taper du pied. Avec ça on devrait se régaler en concert.
Du bien plus classique déboule avec « David’s Mom » qui fleure bon la nostalgie. On pourrait penser au Alcatrazz avec Steve Vai. Simple et rafraîchissant. « When we’re asleep » quant à elle se veut plus moderne et fait bien son travail. Il est vrai que même si on ne retrouve pas le même enthousiasme que lors des deux premiers opus, Graham et ses musiciens livrent des chansons recherchées.
L’orgue Hammond de Don Airey déboule pour un « It’s just a frickin' song », fun et Rock armé d’un très bon refrain. Un vrai plaisir à l’ancienne ! « Jester » à nouveau lorgne vers des sonorités plus modernes. Un titre un peu étrange même si rythmé. Le grand Jeff Loomis (Arch Enemy, Nevermore) s’occupe du solo pour mon plus grand plaisir. Pour terminer c’est « Suzy », un titre orchestral des plus sympathique et réussi avec un Graham très touchant.
Conclusion : Graham revient en temps que maître à bord de son propre groupe et livre un 3ème opus sympa mais qui manque un peu de surprises et de titres vraiment emballants. Reste cette voix inimitable jamais prise en défaut.
Premier moment avec « Imposter » qui permet de retrouver notre Graham en grande forme sur une musique plus personnelle. Perso je suis ravi de retrouver Conrad Pesinato à la guitare, qui ne cherche pas à copier un certain guitariste Suédois. A la suite « Twelves steps of heaven » est un mélange entre couplets lents et refrains plus speed. Un bien bon titre que voilà.
Place à la plus mélodique « Brave new world » qui passe bien. A noter la présence de Roy Z (Bruce Dickinson, Rob Halford, Rob Rock) au solo de guitare. Certes je dois reconnaître que malgré le grand plaisir de retrouver ce ‘groupe’, musicalement on n’est pas aussi bien que sur les deux premiers opus. Début inquiétant pour « Uncle john », qui par la suite envoie sévère avec un bon riff de Conrad. On sent ici la poudre pour notre plus grand plaisir ! Un titre qui sort du lot.
« Day out in nowhere » est un moment presque Pop qui surprend mais pourquoi pas. Un passage sobre qui apporte de la légèreté bienvenue. « The sky is alive » retrouve le Hard Rock plus venimeux et te fait taper du pied. Avec ça on devrait se régaler en concert.
Du bien plus classique déboule avec « David’s Mom » qui fleure bon la nostalgie. On pourrait penser au Alcatrazz avec Steve Vai. Simple et rafraîchissant. « When we’re asleep » quant à elle se veut plus moderne et fait bien son travail. Il est vrai que même si on ne retrouve pas le même enthousiasme que lors des deux premiers opus, Graham et ses musiciens livrent des chansons recherchées.
L’orgue Hammond de Don Airey déboule pour un « It’s just a frickin' song », fun et Rock armé d’un très bon refrain. Un vrai plaisir à l’ancienne ! « Jester » à nouveau lorgne vers des sonorités plus modernes. Un titre un peu étrange même si rythmé. Le grand Jeff Loomis (Arch Enemy, Nevermore) s’occupe du solo pour mon plus grand plaisir. Pour terminer c’est « Suzy », un titre orchestral des plus sympathique et réussi avec un Graham très touchant.
Conclusion : Graham revient en temps que maître à bord de son propre groupe et livre un 3ème opus sympa mais qui manque un peu de surprises et de titres vraiment emballants. Reste cette voix inimitable jamais prise en défaut.
Critique : Guillaume
Note : 7/10
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