Chronique
DEREK SHERINIAN - VORTEX / Inside out 2022
Le génie des claviers est de retour avec un nouvel opus solo. Entouré de monstres tels que Simon Phillips (Ex Toto…) à la batterie et Tony Franklin (Ex The firm Ex Blue Murder…) à la basse et d’une pléiade de guitaristes invités, allons voir les horizons musicaux proposés !
On commence par « Vortex » un titre dans la plus pure tradition de Mr Sherinian avec Steve Stevens (Billy Idol) à la guitare. Une bonne entrée en matière confirmée par la plus groovy limite funky « Fire horse » et un Nuno Bettencourt (Extreme) en très grande forme ! Un duel au sommet qui en met plein les oreilles !! Yes !!
Place à la jazzy « Scorpion » juste en trio. Un exercice très réussi car Derek n’en fait pas des tonnes et reste mélodique. On retrouve Steve Stevens pour un « Seven seas » plutôt jazz rock entre Jeff Beck et Allan Holdswarth. Sympa mais moins mon truc.
Entrée de Joe Bonamassa et Steve Lukather (rien que ça !!) pour « Key lime blues », qui comme on peut s’y attendre envoie du lourd !! Un Blues avec ses belles parties de guitares distinctes. Là je suis aux anges. Un petit « Die kobra » à l’intro orientale, avec rien de moins que Michael Schenker et Zakk Wylde, un duo surprenant car ils évoluent dans un registre différent de leur habitude et là je dis chapeau !! Un des meilleurs titres de cet opus !
« Nomad’s land » est accompagné par la légende du Jazz Mike Stern, pour un duo de haute volée. On termine avec « Aurora australis » et Ron ‘Bumblefoot’ Thal, pour 11 minutes de prog propre mais que je trouve ennuyant. Rien de bien extraordinaire ne sort de ces longues minutes. Dommage.
Conclusion : ce nouvel opus ne fera pas tache loin de là dans la discographie déjà très garnie de Derek. Un opus inspiré et joué avec le cœur pour le plus grand plaisir des fans ! A ne pas bouder !!
On commence par « Vortex » un titre dans la plus pure tradition de Mr Sherinian avec Steve Stevens (Billy Idol) à la guitare. Une bonne entrée en matière confirmée par la plus groovy limite funky « Fire horse » et un Nuno Bettencourt (Extreme) en très grande forme ! Un duel au sommet qui en met plein les oreilles !! Yes !!
Place à la jazzy « Scorpion » juste en trio. Un exercice très réussi car Derek n’en fait pas des tonnes et reste mélodique. On retrouve Steve Stevens pour un « Seven seas » plutôt jazz rock entre Jeff Beck et Allan Holdswarth. Sympa mais moins mon truc.
Entrée de Joe Bonamassa et Steve Lukather (rien que ça !!) pour « Key lime blues », qui comme on peut s’y attendre envoie du lourd !! Un Blues avec ses belles parties de guitares distinctes. Là je suis aux anges. Un petit « Die kobra » à l’intro orientale, avec rien de moins que Michael Schenker et Zakk Wylde, un duo surprenant car ils évoluent dans un registre différent de leur habitude et là je dis chapeau !! Un des meilleurs titres de cet opus !
« Nomad’s land » est accompagné par la légende du Jazz Mike Stern, pour un duo de haute volée. On termine avec « Aurora australis » et Ron ‘Bumblefoot’ Thal, pour 11 minutes de prog propre mais que je trouve ennuyant. Rien de bien extraordinaire ne sort de ces longues minutes. Dommage.
Conclusion : ce nouvel opus ne fera pas tache loin de là dans la discographie déjà très garnie de Derek. Un opus inspiré et joué avec le cœur pour le plus grand plaisir des fans ! A ne pas bouder !!
Critique : Guillaume
Note : 7.5/10
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