Chronique
RIVAL SONS - DARKFIGHTER / Atlantic Records 2023
Voici le retour des Américains qui pour cette nouvelle arrivée ont décidé de sortir 2 albums à quelques mois d’intervalle. Une première en ce début d’été (L’autre est prévu pour la fin d’année) 4 ans après leur dernier opus qui comme depuis un moment maintenant avait ébahi les auditeurs. Alors à quoi s’attendre...
De l’orgue Hammond nous accueille pour “Mirrors”. Beaucoup de réverbération sur le son et toujours cette voix si sublime ! Une entrée en matière classique dira t-on mais toujours aussi efficace et bienfaitrice, qui montre que Rival Sons en a encore sous le pied. On accélère le rythme avec “Nobody wants to die” qui te met une sacrée gifle ! Le groupe semble meilleur que jamais et tout le monde se donne à fond ! Quel titre mes amis !!!!
Petit moment Pop avec “Bird in the hand” qui rappelle les Beatles. Un peu de légèreté bien emmené qui varie les plaisirs. “Bright light” se la joue folk à la manière d’un Simon and Garfunkel et procure toujours autant de plaisir surtout grâce à un Jay Buchanan en état de grâce. Un très joli voyage.
“Rapture” se veut plus lourde et sombre. Un moment assez intense qui file des frissons dès que Jay monte dans les aigus. Avec “Guillotine” on alterne entre moment calme et passage bien énervé qui décape. On ne peut pas rester indifférent devant tant de matière. Encore du très très lourd porté par la guitare tonitruante de Scott Holiday.
On retrouve de l’acoustique pour la rythmée “Horses breath” qui à nouveau fleure bon les 60’/70’. Un voyage dans le temps sans risquer de modifier quoi que ce soit.
Un gros riff intronise “Darkside” avant de se calmer et laisser Ray étaler sa magie. Un titre une fois de plus entre moment quasi religieux et passage hargneux, qui clôt de manière mystique cet opus part 1.
Conclusion : nouvel opus et nouvelle réussite !! Oui nos Américains sont encore très loin d’avoir tout dit et tant mieux. Un pur plaisir qui j’espère sera complété par sa suite. Un immense groupe que voilà !!
De l’orgue Hammond nous accueille pour “Mirrors”. Beaucoup de réverbération sur le son et toujours cette voix si sublime ! Une entrée en matière classique dira t-on mais toujours aussi efficace et bienfaitrice, qui montre que Rival Sons en a encore sous le pied. On accélère le rythme avec “Nobody wants to die” qui te met une sacrée gifle ! Le groupe semble meilleur que jamais et tout le monde se donne à fond ! Quel titre mes amis !!!!
Petit moment Pop avec “Bird in the hand” qui rappelle les Beatles. Un peu de légèreté bien emmené qui varie les plaisirs. “Bright light” se la joue folk à la manière d’un Simon and Garfunkel et procure toujours autant de plaisir surtout grâce à un Jay Buchanan en état de grâce. Un très joli voyage.
“Rapture” se veut plus lourde et sombre. Un moment assez intense qui file des frissons dès que Jay monte dans les aigus. Avec “Guillotine” on alterne entre moment calme et passage bien énervé qui décape. On ne peut pas rester indifférent devant tant de matière. Encore du très très lourd porté par la guitare tonitruante de Scott Holiday.
On retrouve de l’acoustique pour la rythmée “Horses breath” qui à nouveau fleure bon les 60’/70’. Un voyage dans le temps sans risquer de modifier quoi que ce soit.
Un gros riff intronise “Darkside” avant de se calmer et laisser Ray étaler sa magie. Un titre une fois de plus entre moment quasi religieux et passage hargneux, qui clôt de manière mystique cet opus part 1.
Conclusion : nouvel opus et nouvelle réussite !! Oui nos Américains sont encore très loin d’avoir tout dit et tant mieux. Un pur plaisir qui j’espère sera complété par sa suite. Un immense groupe que voilà !!
Critique : Guillaume
Note : 8/10
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