Chronique
LINDEMANN - ZUNGE / Autoproduction 2023
Le légendaire chanteur de Rammstein sort ici sont premier véritable album solo. Séparé de Peter Tägtgren (Hypocrysy, Pain), le projet que formait les deux hommes se transforme donc en un véritable excercice solitaire. Très curieux de savoir ce que notre chanteur à la langue bien pendue va pouvoir nous offrir.
On débute avec le 1er extrait “Zunge” plutôt sombre mais bien sympa. Simple et dans le style musical du chanteur elle fait son effet surtout grâce à son refrain sans être non plus transcendante. Un bon début. À la suite “Sport frei” garde cette même impression. Un titre comme on s’y attendait de la part de Till, qui ne semble pas vouloir faire réellement d’effort pour sortir de sa zone de confort (la preuve son chant est ultra proche de ce qu’il fait son sein de son groupe). Je dois avouer que j’en entends plus.
“Altes Fleisch” va t’elle permettre à cet opus de prendre une autre ampleur !? Pas vraiment. Une sorte d’électro pop/Rock avec cette façon de chanter si particulière, qui se rapprocherait presque de Oomph !. Un titre sans grand plus qui n’apporte absolument rien. Un Mid tempo arrive avec “Übers Meer”. Un moment plutôt mélodique avec un Till mélancolique et presque nostalgique. Musicalement rien de très intéressant mais le chant lui l’est vraiment.
“Du hast kein Herz” est du pur Rammstein qui n’aurait pas trouvé place sur un de ses albums. Rien d’exceptionnel donc mais une fois de plus Till travaille ses refrains pour les rendre attrayants. Attention avec “Tanzlehrerin” Mr Lindemann se frotte au flamenco et c’est plutôt réussi. Voilà le genre de prise de risque de j’attendais de lui !
“Ich hasse Kinder” est déjà connu depuis un an. Là encore on reste dans le style du chanteur avec un refrain énervé qui va bien avec les paroles. À la suite “Nass”, un peu pataude et assez proche de sa devancière mais peine réellement à convaincre.
Une sorte de berceuse malsaine arrive avec “Alles für die Kinder”. Un moment glaçant qui peu déranger. Mais au moins ça apporte quelque chose !!!
“Schweiss” est elle sortie des cartons non utilisés de Rammstein, il y a même le petit clavier à la Flake ! Oui ça doit être ça.
Avec “Lecker”, ça rappelle bien plus les travaux avec Peter. Rien de bien excitant malgré les couplets barrés et les refrains presque angéliques. Tout se termine sur une ballade piano voix “Selbst verliebt”, un titre court qui est sympa. Attention y est inclue une hidden track : “Der Rödler”, qui aurait plutôt du rester dans un placard. Je ne sais même pas quoi en dire tellement c’est une blague !!! Putain finir là dessus c’est rude!
Conclusion : Till seul à la barre peut faire penser à une mauvaise blague. Rien de personnel ni de vraiment original ne ressort d’ici. Une sorte d’auto plagiat grotesque qui me fait réellement me demander si notre bon vieux Till a vraiment des choses à dire hormis de la provocation... ?
On débute avec le 1er extrait “Zunge” plutôt sombre mais bien sympa. Simple et dans le style musical du chanteur elle fait son effet surtout grâce à son refrain sans être non plus transcendante. Un bon début. À la suite “Sport frei” garde cette même impression. Un titre comme on s’y attendait de la part de Till, qui ne semble pas vouloir faire réellement d’effort pour sortir de sa zone de confort (la preuve son chant est ultra proche de ce qu’il fait son sein de son groupe). Je dois avouer que j’en entends plus.
“Altes Fleisch” va t’elle permettre à cet opus de prendre une autre ampleur !? Pas vraiment. Une sorte d’électro pop/Rock avec cette façon de chanter si particulière, qui se rapprocherait presque de Oomph !. Un titre sans grand plus qui n’apporte absolument rien. Un Mid tempo arrive avec “Übers Meer”. Un moment plutôt mélodique avec un Till mélancolique et presque nostalgique. Musicalement rien de très intéressant mais le chant lui l’est vraiment.
“Du hast kein Herz” est du pur Rammstein qui n’aurait pas trouvé place sur un de ses albums. Rien d’exceptionnel donc mais une fois de plus Till travaille ses refrains pour les rendre attrayants. Attention avec “Tanzlehrerin” Mr Lindemann se frotte au flamenco et c’est plutôt réussi. Voilà le genre de prise de risque de j’attendais de lui !
“Ich hasse Kinder” est déjà connu depuis un an. Là encore on reste dans le style du chanteur avec un refrain énervé qui va bien avec les paroles. À la suite “Nass”, un peu pataude et assez proche de sa devancière mais peine réellement à convaincre.
Une sorte de berceuse malsaine arrive avec “Alles für die Kinder”. Un moment glaçant qui peu déranger. Mais au moins ça apporte quelque chose !!!
“Schweiss” est elle sortie des cartons non utilisés de Rammstein, il y a même le petit clavier à la Flake ! Oui ça doit être ça.
Avec “Lecker”, ça rappelle bien plus les travaux avec Peter. Rien de bien excitant malgré les couplets barrés et les refrains presque angéliques. Tout se termine sur une ballade piano voix “Selbst verliebt”, un titre court qui est sympa. Attention y est inclue une hidden track : “Der Rödler”, qui aurait plutôt du rester dans un placard. Je ne sais même pas quoi en dire tellement c’est une blague !!! Putain finir là dessus c’est rude!
Conclusion : Till seul à la barre peut faire penser à une mauvaise blague. Rien de personnel ni de vraiment original ne ressort d’ici. Une sorte d’auto plagiat grotesque qui me fait réellement me demander si notre bon vieux Till a vraiment des choses à dire hormis de la provocation... ?
Critique : Guillaume
Note : 6/10
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