Chronique
MAGNUM - HERE COMES THE RAIN / SPV 2024
C’est bien évidement le cœur lourd que je me penche sur le nouvel et très certainement dernier album des Anglais, qui quelques jours avant sa sortie a perdu son génial maître à penser Tony Clarkin. Oui tout un symbole qui s’éteint avec ce guitariste sous estimé mais au talent plus que présent. Donc qu’en est il de ce 23ème opus ?
On commence fort avec “Run into the shadows” bien mené par la guitare Rock de Tony. Bob de son coté est comme d’habitude étincelant avec un chant maîtrisé jusqu’au boutisme. Une entrée en matière de très haute qualité. On calme le jeu rapidement avec la title track, qui porte beaucoup d’émotions. Le groupe a toujours aimé jouer sur différents tableaux et surtout excelle dans chacun d’eux.
Début calme pour “Some kind of treachery” qui pose une ballade au refrain plus envolé. Un sublime titre porté par la grâce d’un Bob transcendant !
Le Rock revient le temps d’un “After the silence” avec un refrain vraiment entraînant. Les claviers de Rick Benton semblent bien mis en avant sur cet opus ! En tout cas ici ils brillent. “Blue tango” accélère le rythme pour notre plus grand bonheur. Un vrai gros titre Hard Rock à la Deep Purple qui met le feu !!! Elle en Live aurait tout tué sur son passage !!! Génial
Place à du plus mélodique et ‘progressif’ avec “The day he lied” de toute beauté. Un morceau merveilleusement arrangé et encore une fois porté par de belles émotions et une interprétation d’une justesse rare. On retrouve du rythme avec “The seventh darkness” et ses sonorités folks. Un moment très fun armé d’un super solo de trompette en duel avec la guitare. Une fois de plus la magie opère !
Niveau magie l’entrée de "Broken city” sur la voix de Bob quasi a cappella file des frissons. Seulement quelques nappes de claviers et de subtiles touches de guitare acoustique et de piano viennent se rajouter. Un passage angélique.
Le piano est encore là pour l’intro de “I wanna live” mais le style est différent car on sent la montée en puissance pour nous offrir une extraordinaire pièce musicale gorgée de feeling, de mélodie et de talent ! Pour finir “Borderline” et ses sonorités orientales viennent à nous pour un Mid tempo mélodique mais puissant qui caractérise très bien le groupe. Une belle fin qui met en valeur la frappe de Lee Morris derrière son kit.
Conclusion : voilà bien un groupe qui n’aura cessé d’aller de l’avant et de proposer sa musique avec force et conviction sans baisser en qualité. Un 23ème exemple qui prouve une fois de plus tout ce que ce merveilleux groupe représente. Une grande perte que voilà.
On commence fort avec “Run into the shadows” bien mené par la guitare Rock de Tony. Bob de son coté est comme d’habitude étincelant avec un chant maîtrisé jusqu’au boutisme. Une entrée en matière de très haute qualité. On calme le jeu rapidement avec la title track, qui porte beaucoup d’émotions. Le groupe a toujours aimé jouer sur différents tableaux et surtout excelle dans chacun d’eux.
Début calme pour “Some kind of treachery” qui pose une ballade au refrain plus envolé. Un sublime titre porté par la grâce d’un Bob transcendant !
Le Rock revient le temps d’un “After the silence” avec un refrain vraiment entraînant. Les claviers de Rick Benton semblent bien mis en avant sur cet opus ! En tout cas ici ils brillent. “Blue tango” accélère le rythme pour notre plus grand bonheur. Un vrai gros titre Hard Rock à la Deep Purple qui met le feu !!! Elle en Live aurait tout tué sur son passage !!! Génial
Place à du plus mélodique et ‘progressif’ avec “The day he lied” de toute beauté. Un morceau merveilleusement arrangé et encore une fois porté par de belles émotions et une interprétation d’une justesse rare. On retrouve du rythme avec “The seventh darkness” et ses sonorités folks. Un moment très fun armé d’un super solo de trompette en duel avec la guitare. Une fois de plus la magie opère !
Niveau magie l’entrée de "Broken city” sur la voix de Bob quasi a cappella file des frissons. Seulement quelques nappes de claviers et de subtiles touches de guitare acoustique et de piano viennent se rajouter. Un passage angélique.
Le piano est encore là pour l’intro de “I wanna live” mais le style est différent car on sent la montée en puissance pour nous offrir une extraordinaire pièce musicale gorgée de feeling, de mélodie et de talent ! Pour finir “Borderline” et ses sonorités orientales viennent à nous pour un Mid tempo mélodique mais puissant qui caractérise très bien le groupe. Une belle fin qui met en valeur la frappe de Lee Morris derrière son kit.
Conclusion : voilà bien un groupe qui n’aura cessé d’aller de l’avant et de proposer sa musique avec force et conviction sans baisser en qualité. Un 23ème exemple qui prouve une fois de plus tout ce que ce merveilleux groupe représente. Une grande perte que voilà.
Critique : Guillaume
Note : 8.5/10
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