Chronique
AMARANTHE - THE CATALYST / Nuclear Blast 2024
C’est à taton que je me dirige dans l’écoute de ce nouvel et septième album d’Amaranthe. En effet, le précédent album « Manifest » avait laissé un goût assez amer de par son manque d’originalité, de prise de risque et surtout de trop orienté sur Elise, Elise et encore Elise. Non pas que celle-ci chante mal, mais il y a quand même trois chanteurs dans le groupe !
Cet opus est aussi la confirmation de Nils Molin au chant clair, et concrétise l’arrivée de Mikael Sehlin au grunt, remplaçant Henrik Englund qui a quitté le groupe en 2022.
Les trois singles sortis en amont de la sortie de cet opus posent les bases de ce qui est le trio d’ouverture de ce disque. On sent rapidement que le groupe a eu envie de franchir un cap, de passer outre ses acquis et d’aller de l’avant, de prendre des risques. Et qu’on se le dise, ça fait plaisir. Le côté théâtral mais tout autant puissant et envolé de « Damnation Flame », agrémenté par un équilibre vocal entre Elise, Nils et Mikael donnent une meilleure alchimie à l’ensemble, comme c’était le cas sur les premiers albums du combo.
Le groupe le concrétise avec « Liberated » qui dans la foulée débute comme si nous étions sur la période de The Nexus, mais avec plus de maturité, mais tout en ayant cet élan de fraîcheur nécessaire pour nous donner envie de poursuivre l’aventure musicale, loin de cette sensation de répétition barbante et inintéressante (aseptisée à gaver) de Manifest. « Re Vision » nous change d’ambiance avec cette ligne de clavier ‘futuriste’ à la Daft Punk, tout en gardant cette touche de metal moderne comme Amaranthe sait le faire depuis ses débuts.
C’est d’ailleurs ce que l’on va apprécier pour ce septième opus du groupe. Le duo leader Olof / Elise a décidé d’aller à l’essentiel avec un enchainement de douze titre de trois minutes, et ce sans fioritures. « Interference » en sera un bon exemple avec son énergie et sa puissance qui sans aucun doute fera plus que mouche sur scène. Mais soyons, honnêtes… Amaranthe pourrait jouer cet album sur scène en intégralité que cela ne choquerait pas le moins du monde. La ballade « Stay a little while » pourrait même remplacer le grand classique « Amaranthine » sans problème. Décidément, ils savent faire des ballades de haute volée, captivantes et disons le : magiques. La petite cerise sur le gâteau viendra du dernier morceau avec la reprise de Roxette « Fading Like a Flower ». Du metal guilleret et puissant, dénotant de la globalité de l’album mais donnera le sourire de par son concept.
Je dis oui ! Cet album est un sans faute, remettant le groupe sur les rails comme il se doit ! Dans le top 10 de l’année sans aucun doute ! On l’écoute encore et encore avec grand plaisir.
Cet opus est aussi la confirmation de Nils Molin au chant clair, et concrétise l’arrivée de Mikael Sehlin au grunt, remplaçant Henrik Englund qui a quitté le groupe en 2022.
Les trois singles sortis en amont de la sortie de cet opus posent les bases de ce qui est le trio d’ouverture de ce disque. On sent rapidement que le groupe a eu envie de franchir un cap, de passer outre ses acquis et d’aller de l’avant, de prendre des risques. Et qu’on se le dise, ça fait plaisir. Le côté théâtral mais tout autant puissant et envolé de « Damnation Flame », agrémenté par un équilibre vocal entre Elise, Nils et Mikael donnent une meilleure alchimie à l’ensemble, comme c’était le cas sur les premiers albums du combo.
Le groupe le concrétise avec « Liberated » qui dans la foulée débute comme si nous étions sur la période de The Nexus, mais avec plus de maturité, mais tout en ayant cet élan de fraîcheur nécessaire pour nous donner envie de poursuivre l’aventure musicale, loin de cette sensation de répétition barbante et inintéressante (aseptisée à gaver) de Manifest. « Re Vision » nous change d’ambiance avec cette ligne de clavier ‘futuriste’ à la Daft Punk, tout en gardant cette touche de metal moderne comme Amaranthe sait le faire depuis ses débuts.
C’est d’ailleurs ce que l’on va apprécier pour ce septième opus du groupe. Le duo leader Olof / Elise a décidé d’aller à l’essentiel avec un enchainement de douze titre de trois minutes, et ce sans fioritures. « Interference » en sera un bon exemple avec son énergie et sa puissance qui sans aucun doute fera plus que mouche sur scène. Mais soyons, honnêtes… Amaranthe pourrait jouer cet album sur scène en intégralité que cela ne choquerait pas le moins du monde. La ballade « Stay a little while » pourrait même remplacer le grand classique « Amaranthine » sans problème. Décidément, ils savent faire des ballades de haute volée, captivantes et disons le : magiques. La petite cerise sur le gâteau viendra du dernier morceau avec la reprise de Roxette « Fading Like a Flower ». Du metal guilleret et puissant, dénotant de la globalité de l’album mais donnera le sourire de par son concept.
Je dis oui ! Cet album est un sans faute, remettant le groupe sur les rails comme il se doit ! Dans le top 10 de l’année sans aucun doute ! On l’écoute encore et encore avec grand plaisir.
Critique : Lionel
Note : 9/10
Site du groupe : Page Facebook du groupe
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