Chronique
BLOODBOUND – NOSFERATU / METAL HEAVEN UNDERCLASS 2006
Nouveau venu de la scène heavy métal Bloodbound nous présente son premier album à l’imagerie très Black métal (maquillage, démon, titres, pochette). Allons voir si cette supercherie visuelle vaut aussi pour la musique.
C’est « Behind the moon » qui débute cet album avec un riff 100% heavy inspiré 80’.
De ce coté là on est sur de ne pas être grugé. La suite une cavalcade très Maiden et une voix superbe, puissante et mélodique, un bijou, pas de surprise c’est celle de Urban Breed l’ex Tad Morose (sniff !). Le refrain ultra efficace est un modèle du genre. La partie solo rappelle là aussi pas mal la Vierge de fer tout comme les oh oh oh sur la fin chère à la bande à Steve Harris, sans pour autant dénaturer le plaisir que l’on a, à l ‘écoute de cet album.
« Into the dark » lorgnerai plus vers un Helloween, avec son speed heavy efficace. Urban de son timbre éraillé et puissant porte avec conviction ce nouveau projet. Là encore le refrain est impeccable de quoi faire rougir Weiki et sa bande. Il est vraiment étonnant de voir à quel point on prend son pied à l’écoute de ce groupe qui pourtant n’a rien inventé
L’orage gronde pour « Noferatu » le glas sonne et l’intro calme des plus inspirée Iron Maiden (on pense à Hallowed be thy name) nous met dans une ambiance sombre, qui part dans une nouvelle chevauchée fantastique des plus jouissive. Le refrain ici est grandiose, un joyau à reprendre en cœur. Quel titre ! Quelle pêche ! Urban surplombe le tout avec une maestria colossale : rien de neuf mais que de bonheur !!
Cette fois ci c’est les Allemands d’Edguy qui sont visés avec ce « Metal monster » mais aussi Nocturnal Rites au niveau du chant. Un sacré mélange de toute beauté, qui trouve son apogée dans un refrain plein de cœur. Encore une fois les oh oh oh viennent conclure cet hymne métal. Intro à la At Vance pour « Crucified ». Un speed tonitruant qui laisse place à plus de mélodie comme le prouve ce refrain gigantesque à rendre jaloux Olaf Lenk et tous les amateurs du genre. Le solo lui aussi très néoclassique sonne d’enfer.
On replonge dans un heavy métal moderne avec « Desdemonamelia » qui prêche son identité chez les compatriotes de Nocturnal Rites. Un titre un peu plus en dessus du reste mais un bon titre quand même.
« Fallen from grace » rappellera sans doute Helloween et ses speeds qui ont fait sa réputation. Un titre qui semble sortie des Keepers tant on y pense à son écoute. Là encore le refrain est monumental un chef d’œuvre comme Kai Hansen sait les concocter. Que dire de plus sur cette voix qui donne tant et apporte tant : un véritable plus, indéniable à cette formation. Le solo aussi sonne très Helloween. Basse en avant pour « Screms in the night » ou l’ombre d’Iron Maiden refait son apparition. Urban se métamorphose en Bruce Dickinson dans une intro calme. La suite une autre chevauchée Maidenienne qui ferrait penser aussi aux Suédois d’Hammerfall surtout dans le refrain gorgé de chœurs. Un bon moment dédié au heavy métal avec un grand H.M !!!
Le titre suivant fait très Manowar « For the King ». Musicalement la ressemblance avec le combo de Joey Demaio n’y est pas, ici on a à faire à du Edguy (période Theater of salvation) qui speed comme un train à pleine vitesse. Un autre bon moment à se mettre dans les oreilles.
Nouvelle intro à la Iron Maiden pour « Midnight sun » avec des moments plus Helloween (périodes Andi Deris) dont un refrain splendide que le sieur Deris adorerai. On touche à la fin avec « On the battlefield » qui débute encore une fois dans le plus pur esprit Iron Maiden. La suite plus rythmé balance grave, le refrain guerrier envoi pas mal. Une fin délicieuse pour un album délectable.
Conclusion : Comment critiquer un tel album, 11 titres, 11 hymnes dédiés au heavy métal et à ses piliers. Beaucoup de talent et de tempérament pour un opus jouissif qui se laisse écouter avec énormément de plaisir.
Mention spéciale à Urban véritable maître artificié de cette bande.
C’est « Behind the moon » qui débute cet album avec un riff 100% heavy inspiré 80’.
De ce coté là on est sur de ne pas être grugé. La suite une cavalcade très Maiden et une voix superbe, puissante et mélodique, un bijou, pas de surprise c’est celle de Urban Breed l’ex Tad Morose (sniff !). Le refrain ultra efficace est un modèle du genre. La partie solo rappelle là aussi pas mal la Vierge de fer tout comme les oh oh oh sur la fin chère à la bande à Steve Harris, sans pour autant dénaturer le plaisir que l’on a, à l ‘écoute de cet album.
« Into the dark » lorgnerai plus vers un Helloween, avec son speed heavy efficace. Urban de son timbre éraillé et puissant porte avec conviction ce nouveau projet. Là encore le refrain est impeccable de quoi faire rougir Weiki et sa bande. Il est vraiment étonnant de voir à quel point on prend son pied à l’écoute de ce groupe qui pourtant n’a rien inventé
L’orage gronde pour « Noferatu » le glas sonne et l’intro calme des plus inspirée Iron Maiden (on pense à Hallowed be thy name) nous met dans une ambiance sombre, qui part dans une nouvelle chevauchée fantastique des plus jouissive. Le refrain ici est grandiose, un joyau à reprendre en cœur. Quel titre ! Quelle pêche ! Urban surplombe le tout avec une maestria colossale : rien de neuf mais que de bonheur !!
Cette fois ci c’est les Allemands d’Edguy qui sont visés avec ce « Metal monster » mais aussi Nocturnal Rites au niveau du chant. Un sacré mélange de toute beauté, qui trouve son apogée dans un refrain plein de cœur. Encore une fois les oh oh oh viennent conclure cet hymne métal. Intro à la At Vance pour « Crucified ». Un speed tonitruant qui laisse place à plus de mélodie comme le prouve ce refrain gigantesque à rendre jaloux Olaf Lenk et tous les amateurs du genre. Le solo lui aussi très néoclassique sonne d’enfer.
On replonge dans un heavy métal moderne avec « Desdemonamelia » qui prêche son identité chez les compatriotes de Nocturnal Rites. Un titre un peu plus en dessus du reste mais un bon titre quand même.
« Fallen from grace » rappellera sans doute Helloween et ses speeds qui ont fait sa réputation. Un titre qui semble sortie des Keepers tant on y pense à son écoute. Là encore le refrain est monumental un chef d’œuvre comme Kai Hansen sait les concocter. Que dire de plus sur cette voix qui donne tant et apporte tant : un véritable plus, indéniable à cette formation. Le solo aussi sonne très Helloween. Basse en avant pour « Screms in the night » ou l’ombre d’Iron Maiden refait son apparition. Urban se métamorphose en Bruce Dickinson dans une intro calme. La suite une autre chevauchée Maidenienne qui ferrait penser aussi aux Suédois d’Hammerfall surtout dans le refrain gorgé de chœurs. Un bon moment dédié au heavy métal avec un grand H.M !!!
Le titre suivant fait très Manowar « For the King ». Musicalement la ressemblance avec le combo de Joey Demaio n’y est pas, ici on a à faire à du Edguy (période Theater of salvation) qui speed comme un train à pleine vitesse. Un autre bon moment à se mettre dans les oreilles.
Nouvelle intro à la Iron Maiden pour « Midnight sun » avec des moments plus Helloween (périodes Andi Deris) dont un refrain splendide que le sieur Deris adorerai. On touche à la fin avec « On the battlefield » qui débute encore une fois dans le plus pur esprit Iron Maiden. La suite plus rythmé balance grave, le refrain guerrier envoi pas mal. Une fin délicieuse pour un album délectable.
Conclusion : Comment critiquer un tel album, 11 titres, 11 hymnes dédiés au heavy métal et à ses piliers. Beaucoup de talent et de tempérament pour un opus jouissif qui se laisse écouter avec énormément de plaisir.
Mention spéciale à Urban véritable maître artificié de cette bande.
Critique : Guillaume
Note : 8/10
Site du groupe : site officiel de Bloodbound
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