Chronique
SONATA ARCTICA – FOR THE SAKE OF REVENGE (DVD & CD) / Replica Records 2006
Après un superbe album Reckoning Night, l’équipe à Tony Kakko nous propose là leur deuxième album live en quatre cds studios. Mais pas question de faire les choses à l’arrache comme pour le « Songs of silence ». Là on voit grand avec le nouveau label : un digipack avec CD & DVD je vous prie, pour un concert enregistré au pays où le groupe est idolâtré. Je parle bien du Japon, et plus exactement à Tokyo.
Tout d’abord on notera la qualité de la zone de présentation du DVD qui est fort sympathique avec cette arrivée du magicien. Aller, finit de discutailler, passons aux choses sérieuses.
Le concert début avec « Prelude for reckoning », le tout avec une image montrant la scène et un super backdrop créer pour cette tournée, et n’ayant aucun rapport avec la pochette du dernier opus.
Histoire de nous mettre une première claque dès le début, le set commence par « Misplaced » qui il faut le dire est une bombe. Dès que le groupe arrive sur scène c’est l’euphorie. Et quand Tony arrive au chant c’est énorme. Le public chante immédiatement : quelle ambiance.
On continu le avec « Blinded no more » qui nous scotche et qui nous fait revivre (pour ceux qui ont vu le groupe sur la tournée Reckoning) ces moment magiques. Et toujours cette gestuelle à Tony qui donne encore plus d’intensité au morceau.
Le piano se fait entendre et c’est au tour du hit « Fullmoon » de raisonner, avec le public qui tape dans ses mains : quelle sensation ! Et quand ça part, le public crie et répond à Tony ; les musiciens sont carrés et très bons. Le public qui chante sur le refrain, c’est magique. Que de gavage. Et pour enfoncer le clou, à la fin de ce hit, le groupe nous offre un extrait de leur grandiose « White pearl, black oceans » le tout joué uniquement au piano par Henka.
Un peu de musique de sous vêtements avec « Victoria’s secrets » qui là encore fait mouche et fait chanter le public venu en nombre (date sold out). Et ce Jani toujours souriant, jouant avec le public, et guitariste hors paire. Le jeu de lumière est d’enfer, le stroboscope accompagnant parfaitement la batterie de Tommy qui il faut le dire est un vrai chef derrière ses fûts.
Au tour du single « Broken » d’être joué. Jani prend sa pose rockeur, Henka fait les chœurs (ce qui choque un peu il faut le dire) et headbang aux côté de son synthé. Et au moment du refrain c’est l’extase. Va chercher bonheur !
Un chanson plus speed vous voulez ? Et bien voilà la bombe « 8th commandment » qui réveille tout le monde. Dire quelle fait partie du premier album du groupe. Cette chanson est vraiment hors norme et passe comme du petit lait. Toujours aussi peu souriant, Marko joue parfaitement et reste toujours dans son coin, bougeant de temps à autre. Sur le refrain le public chante en chœur, accompagnant Tony. Gavage ! Sans oublier le solo de Jani… arggg je bave.
Henka s’occupe de présenter le morceau le morceau suivant avec son synthé pour « Shamandalie » qui fait vibrer tout toute la salle de part sa beauté. Petit hic : la voix de Henka sur les chœurs : c’est choquant.
Autre bombe du premier album avec « Kingdom for a heart » qui déchire tout. Quel régale franchement. Et le passage retouché sur un couplet où la musique se veut plus ragga que métal. C’est super.
Petite accalmie avec le fameux « Replica » qui en ravira plus d’un c’est certain, avec ce début en duo Jani / Tony assis aux devants de la scène. Il faut dire que pour le moment la set liste est impeccable, rien est à redire.
Le morceau suivant aussi il faut le dire détonne bien et se nomme « My land ». Un morceau qui booste bien le public et qui te fait transpirer à tout va. Mais pour tout fan averti, qui dit « My land », dit l’enchaînement avec « Black Sheep » qui donne une érection totale. En plus les paroles de l’intro du mouton noir sont revues sur scène donnant un « we look like Iron Maiden but we’re not from England, we are Sonata, we are from Finland ». Ca met le feu dans tout le corps et dans la fosse. Le public bouge, les musiciens sont en trance. Que demander de mieux ?
Rien si ce n’est le morceau « Sing in silence » histoire de calmer le jeu un peu car à ce rythme là tout le monde va perdre dix kilos. On continue avec un autre morceau tout aussi attractif, et il se nomme « The end of this chapter ». Il est enchaîné sans accrocs et nous redonne une bonne dose d’énergie.
Assez récupérer, c’est au tour de la bombe H « San Sebastian » d’exploser et c’est un vrai bonheur. Quand l’intro au synthé retentie c’est l’euphorie. Car vous le savez ce morceau est d’une vivacité foudroyante mais aussi d’une grande gaieté. Quelle magie et quelle communion avec le public : oh oh oh oh ooooh oh ! Tony court de tous les côtés. Tout le monde s’enflamme. ‘Scream for me Tokyo !!!’
Et là grande surprise : Henka explose son clavier Roland sur la scène sur ce « The end of this keyboard / Sing along ». Quelle honte : il pourrait pas le donner à un fan non ?! Quoi qu’il en soit le synthé est irrécupérable, mais ça fait bien rigoler le public. Après Tony joue avec le public ave le traditionnel concours zone droite / zone gauche : celle qui criera / chantera le plus fort. La réponse se fait immédiatement et le public est ravi.
Petit repos supplémentaire avec « Gravenimage » qui envoûte les spectateurs. Et Tony, jouant avec une touche du clavier explosé de Henka lors du passage ‘I play a note….. but hear no sound’.
Le tout s’enchaîne avec un autre hit nommé « Don’t say a word » qui embrase la fosse définitivement. Un nombre de calories brûlées pour une seule soirée : ouf !
Mais ce n’est pas fini, le groupe fini le show en enfonçant encore plus avec le monstrueux « The Cage » qui sur scène est une bombe de grande envergure.
Fini ? Non plus. Et le traditionnel « Vodka.. Hana Nagila » qui vente les bien faits de cette boisson !
Là c’est bien finit, et l’outro se fait avec « Draw me ».
Conclusion : un dvd de toute beauté avec une ambiance de barjos, une image top qualité, tout comme le son d’ailleurs. Une pièce à mettre dans sa collection sans hésitation car c’est monstrueux. Au niveau bonus DVD, vous pourrez constater que le groupe aime faire la fête et boire…. Pour le CD, le son est parfait mais les morceaux « Sing in silence » « The end of this chapter » « The end of this keyboard / sing along » ne figurent pas sur les versions audios. Seul le morceau « San sebastian » apparaît mais en bonus sur la version japonaise. Quoi qu’il en soit, la version CD reste énorme. Et la cover : superbe !!! Beau travail !
Tout d’abord on notera la qualité de la zone de présentation du DVD qui est fort sympathique avec cette arrivée du magicien. Aller, finit de discutailler, passons aux choses sérieuses.
Le concert début avec « Prelude for reckoning », le tout avec une image montrant la scène et un super backdrop créer pour cette tournée, et n’ayant aucun rapport avec la pochette du dernier opus.
Histoire de nous mettre une première claque dès le début, le set commence par « Misplaced » qui il faut le dire est une bombe. Dès que le groupe arrive sur scène c’est l’euphorie. Et quand Tony arrive au chant c’est énorme. Le public chante immédiatement : quelle ambiance.
On continu le avec « Blinded no more » qui nous scotche et qui nous fait revivre (pour ceux qui ont vu le groupe sur la tournée Reckoning) ces moment magiques. Et toujours cette gestuelle à Tony qui donne encore plus d’intensité au morceau.
Le piano se fait entendre et c’est au tour du hit « Fullmoon » de raisonner, avec le public qui tape dans ses mains : quelle sensation ! Et quand ça part, le public crie et répond à Tony ; les musiciens sont carrés et très bons. Le public qui chante sur le refrain, c’est magique. Que de gavage. Et pour enfoncer le clou, à la fin de ce hit, le groupe nous offre un extrait de leur grandiose « White pearl, black oceans » le tout joué uniquement au piano par Henka.
Un peu de musique de sous vêtements avec « Victoria’s secrets » qui là encore fait mouche et fait chanter le public venu en nombre (date sold out). Et ce Jani toujours souriant, jouant avec le public, et guitariste hors paire. Le jeu de lumière est d’enfer, le stroboscope accompagnant parfaitement la batterie de Tommy qui il faut le dire est un vrai chef derrière ses fûts.
Au tour du single « Broken » d’être joué. Jani prend sa pose rockeur, Henka fait les chœurs (ce qui choque un peu il faut le dire) et headbang aux côté de son synthé. Et au moment du refrain c’est l’extase. Va chercher bonheur !
Un chanson plus speed vous voulez ? Et bien voilà la bombe « 8th commandment » qui réveille tout le monde. Dire quelle fait partie du premier album du groupe. Cette chanson est vraiment hors norme et passe comme du petit lait. Toujours aussi peu souriant, Marko joue parfaitement et reste toujours dans son coin, bougeant de temps à autre. Sur le refrain le public chante en chœur, accompagnant Tony. Gavage ! Sans oublier le solo de Jani… arggg je bave.
Henka s’occupe de présenter le morceau le morceau suivant avec son synthé pour « Shamandalie » qui fait vibrer tout toute la salle de part sa beauté. Petit hic : la voix de Henka sur les chœurs : c’est choquant.
Autre bombe du premier album avec « Kingdom for a heart » qui déchire tout. Quel régale franchement. Et le passage retouché sur un couplet où la musique se veut plus ragga que métal. C’est super.
Petite accalmie avec le fameux « Replica » qui en ravira plus d’un c’est certain, avec ce début en duo Jani / Tony assis aux devants de la scène. Il faut dire que pour le moment la set liste est impeccable, rien est à redire.
Le morceau suivant aussi il faut le dire détonne bien et se nomme « My land ». Un morceau qui booste bien le public et qui te fait transpirer à tout va. Mais pour tout fan averti, qui dit « My land », dit l’enchaînement avec « Black Sheep » qui donne une érection totale. En plus les paroles de l’intro du mouton noir sont revues sur scène donnant un « we look like Iron Maiden but we’re not from England, we are Sonata, we are from Finland ». Ca met le feu dans tout le corps et dans la fosse. Le public bouge, les musiciens sont en trance. Que demander de mieux ?
Rien si ce n’est le morceau « Sing in silence » histoire de calmer le jeu un peu car à ce rythme là tout le monde va perdre dix kilos. On continue avec un autre morceau tout aussi attractif, et il se nomme « The end of this chapter ». Il est enchaîné sans accrocs et nous redonne une bonne dose d’énergie.
Assez récupérer, c’est au tour de la bombe H « San Sebastian » d’exploser et c’est un vrai bonheur. Quand l’intro au synthé retentie c’est l’euphorie. Car vous le savez ce morceau est d’une vivacité foudroyante mais aussi d’une grande gaieté. Quelle magie et quelle communion avec le public : oh oh oh oh ooooh oh ! Tony court de tous les côtés. Tout le monde s’enflamme. ‘Scream for me Tokyo !!!’
Et là grande surprise : Henka explose son clavier Roland sur la scène sur ce « The end of this keyboard / Sing along ». Quelle honte : il pourrait pas le donner à un fan non ?! Quoi qu’il en soit le synthé est irrécupérable, mais ça fait bien rigoler le public. Après Tony joue avec le public ave le traditionnel concours zone droite / zone gauche : celle qui criera / chantera le plus fort. La réponse se fait immédiatement et le public est ravi.
Petit repos supplémentaire avec « Gravenimage » qui envoûte les spectateurs. Et Tony, jouant avec une touche du clavier explosé de Henka lors du passage ‘I play a note….. but hear no sound’.
Le tout s’enchaîne avec un autre hit nommé « Don’t say a word » qui embrase la fosse définitivement. Un nombre de calories brûlées pour une seule soirée : ouf !
Mais ce n’est pas fini, le groupe fini le show en enfonçant encore plus avec le monstrueux « The Cage » qui sur scène est une bombe de grande envergure.
Fini ? Non plus. Et le traditionnel « Vodka.. Hana Nagila » qui vente les bien faits de cette boisson !
Là c’est bien finit, et l’outro se fait avec « Draw me ».
Conclusion : un dvd de toute beauté avec une ambiance de barjos, une image top qualité, tout comme le son d’ailleurs. Une pièce à mettre dans sa collection sans hésitation car c’est monstrueux. Au niveau bonus DVD, vous pourrez constater que le groupe aime faire la fête et boire…. Pour le CD, le son est parfait mais les morceaux « Sing in silence » « The end of this chapter » « The end of this keyboard / sing along » ne figurent pas sur les versions audios. Seul le morceau « San sebastian » apparaît mais en bonus sur la version japonaise. Quoi qu’il en soit, la version CD reste énorme. Et la cover : superbe !!! Beau travail !
Critique : Lionel
Note : 10/10
Site du groupe : site officiel de Sonata Arctica
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