Chronique
FROST – MILLONTOWN / SPV INSIDE OUT 2006
Ah, enfin le nouvel album de Jack Frost... et bien non ce Frost là est le projet de Jem Godfrey, claviériste chanteur qui avec ses amis de IQ et d’Arena nous pond ce cd de 6 titres pour 1 heure de musique. Alors accrochez vous !
Tout commence par « Hyperventilate » dans une ambiance calme au piano puis tout se met en place tranquillement. Bien sur, le piano est l’instrument le plus mis en avant, Jem étant le principal compositeur mais les autres instruments ne sont pas en reste. La suite devient beaucoup plus technique avec des relents à la Dream Theater. De jolies mélodies, un travail léché voilà ce qui nous attend, d’ailleurs tout cela me rappelle étrangement un autre très grand claviériste : Derek Sherinian. Une bien sympathique instrumentale que voici pour commencer et nous plonger dans le grand bain.
On poursuit sur des pentes plus hard avec « No me no you ». Un bon riff, une voix qui vient se poser tranquillement, la batterie qui vient donner le rythme et des envolées barrées : du prog, du vrai. Un titre bien construit avec pas mal de changements sans en faire trop non plus. Jem vient rajouter des passages égoïstes au beau milieu, montrant qu’il est bien le leader.
« Showman » débute encore par du piano, dans une ambiance éléctro calme avec une voix posée d’un calme ambiant. Une ballade étrange qui se laisse écouter. Un voyage étrange au milieu d’on ne sait où.
On reprend avec « The other me » dans un esprit plus hard Américain. Un titre au groove énorme qui envoie une basse puissante et des passages tordus bien appréciables. Encore un voyage curieux dans un monde mystique.
« Black light machine » continue avec un style plus aérien qui rappellerait les groupes de rock prog des 70’s. Un moment sympa qui évolue au fil des minutes pour une envolée de guitare bien maîtrisée. On re-calme le jeu avant un passage presque jazz-rock-électro ou le synthé prédomine . Un long titre plein de surprises.
Pour terminer « Milliontown », une très longue pièce musicale progressive qui vous emmène dans un voyage où la musicalité est reine. Calme ambiant au piano, envolée électrique, solo au feeling irréprochable, délire jazzy, voix épurée, bref un bon condensé de ce qu’on vient d’entendre résumé en 25 minutes.
Conclusion : un bon album qui ravira les fans de pur prog. Par contre pour les autres le voyage sera périlleux car voici bien un album qui ne se laisse pas pénétrer aussi facilement.
Tout commence par « Hyperventilate » dans une ambiance calme au piano puis tout se met en place tranquillement. Bien sur, le piano est l’instrument le plus mis en avant, Jem étant le principal compositeur mais les autres instruments ne sont pas en reste. La suite devient beaucoup plus technique avec des relents à la Dream Theater. De jolies mélodies, un travail léché voilà ce qui nous attend, d’ailleurs tout cela me rappelle étrangement un autre très grand claviériste : Derek Sherinian. Une bien sympathique instrumentale que voici pour commencer et nous plonger dans le grand bain.
On poursuit sur des pentes plus hard avec « No me no you ». Un bon riff, une voix qui vient se poser tranquillement, la batterie qui vient donner le rythme et des envolées barrées : du prog, du vrai. Un titre bien construit avec pas mal de changements sans en faire trop non plus. Jem vient rajouter des passages égoïstes au beau milieu, montrant qu’il est bien le leader.
« Showman » débute encore par du piano, dans une ambiance éléctro calme avec une voix posée d’un calme ambiant. Une ballade étrange qui se laisse écouter. Un voyage étrange au milieu d’on ne sait où.
On reprend avec « The other me » dans un esprit plus hard Américain. Un titre au groove énorme qui envoie une basse puissante et des passages tordus bien appréciables. Encore un voyage curieux dans un monde mystique.
« Black light machine » continue avec un style plus aérien qui rappellerait les groupes de rock prog des 70’s. Un moment sympa qui évolue au fil des minutes pour une envolée de guitare bien maîtrisée. On re-calme le jeu avant un passage presque jazz-rock-électro ou le synthé prédomine . Un long titre plein de surprises.
Pour terminer « Milliontown », une très longue pièce musicale progressive qui vous emmène dans un voyage où la musicalité est reine. Calme ambiant au piano, envolée électrique, solo au feeling irréprochable, délire jazzy, voix épurée, bref un bon condensé de ce qu’on vient d’entendre résumé en 25 minutes.
Conclusion : un bon album qui ravira les fans de pur prog. Par contre pour les autres le voyage sera périlleux car voici bien un album qui ne se laisse pas pénétrer aussi facilement.
Critique : Guillaume
Note : 7/10
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