Chronique
LORDI – THE AROCKALYPSE / SONY BMG 2006
Ah, voici enfin la sortie du 3ème album de nos monstres préférés qui ont défrayé la chronique ces derniers temps après leur passage victorieux à l’Eurovision. Et oui, 3 mois après sa sortie européenne voici que ce The Arockalypse sort enfin dans les bacs Français (doit-on remercier Michel Drucker de ça? pas sur !!).
Allez voyons voir ce que nos Finlandais déguisés nous ont pondu comme ‘horreur’
«SGC3 Spécial report » est une intro étrange ; bien sympa l’idée de faire une sorte de flash info racontant une invention de monstre. Mais malheureusement c’est trop long et surtout plus très intéressante à force de l’écouter. A noter la participation de Dee Snider (Twisted sister).
Par contre avec « Bringing back the balls to rock » là on touche du gros : un putain de bon riff, un son d’enfer, une basse qui ronronne bien, une guitare qui arrache, une batterie puissante et la voix de Mr Lordi qui achève tout le monde. Le refrain va en mettre plusieurs à genou ;un hit quoi !!
« The Deadbite Girls Gone Wild » poursuit sur un style plus hard. On notera que le groupe n’a pas évolué mais qu' au moins ça balance grave et que leur compos sont taillées pour cartonner. On ressent aussi une certaine manière de rendre hommage à leurs idoles à l’écoute de certains riffs et clin d’œil. Un petit mid-tempo avec « The Kids Who Wanna Play With The Dead » qui fait lui aussi son effet. Le refrain est un régal qui va faire plus d’un tour dans vos têtes. On sent que le groupe comme leurs grands maîtres de Kiss assure des chansons calibrées pour faire des dégâts dans vos petites personnes : garantie !
Moment plus mélodique avec « It Snows In Hell » une sorte de power ballade bien jolie et puissante qui montre un visage plus gentil de nos monstres. A noter que c’est Bruce Kulick (Kiss) qui nous offre un bien joli solo. « « Who’s Your Daddy?” reprend à grand coup de synthé un hard US à la Alice Cooper des plus décapants. Encore une fois rien à rajouter tout y est bien préparé, fait, pesé, rien ne manque il y a même ce côté kitch qui rend terrible.
Attention, grand moment à dédier à notre ‘ami’ Michel Drucker (qui ,en plus est reconnu par Word, tout un monde) avec le « Hard Rock Hallelujah ». A t-on vraiment besoin de présenter cette tornade de bon hard kitch à souhait? Juste pour dire que la version de l’album est un peu différente de celle jouée le soir de l’Eurovision. Avec ça ,Lordi à mise à genou l’Europe, quel pied putain quel pied !! Et vu qu’une bonne surprise n’arrive jamais seule « They Only Come Out At Night » voit le grand (enfin, c’est une image) Udo Dirkschneider (Accept UDO) en duo avec Lordi ,preuve d’une belle reconnaissance par ses pairs et même ses idoles.
Allez on continue tellement c’est bon, on va pas s’en plaindre : « The Chainsaw Buffet » débute par quelques bruits de tronçonneuse (clin d’œil à WASP ?) puis dans un mid-tempo assez mélodique au demeurant, nous propose un joli titre peu habituel. Cette fois ci le solo est réalisé par Jay Jay French de Twisted sister. « Good to be bad » nous replonge 20 ans en arrière avec ses synthés sortis des albums d’Europe. Un titre très nostalgique peut-être le moins bon de l’album.
« The Night Of The Loving Dead” reprend dans un style plus habituel et on pense volontier à Kiss tant la ressemblance peut être frappante par moment. Le refrain est à reprendre en chœur lors des concerts tant celui-ci est facile à retenir. Au fait, même le solo me rappelle Kiss : cool !
Pour finir, voici un autre tube qui arrache « Supermonstars (the Anthem Of The Phantoms) » qui débute par quelques chœurs avant un bon riff heavy parsemé de synthé.
Là encore le refrain est énorme pret à faire un carton sur les ondes du monde entier.
Encore un parfait exemple de bon hard qui fait un bien fou.
Conclusion : avec un tel album je ne voit pas ce qui pourrait arrêter Lordi dans son ascension des charts du monde entier. Un très bon album à se passer en boucle (en zappant l’intro) pour un été monstrueux (oh le jeu de mot !) .
Allez voyons voir ce que nos Finlandais déguisés nous ont pondu comme ‘horreur’
«SGC3 Spécial report » est une intro étrange ; bien sympa l’idée de faire une sorte de flash info racontant une invention de monstre. Mais malheureusement c’est trop long et surtout plus très intéressante à force de l’écouter. A noter la participation de Dee Snider (Twisted sister).
Par contre avec « Bringing back the balls to rock » là on touche du gros : un putain de bon riff, un son d’enfer, une basse qui ronronne bien, une guitare qui arrache, une batterie puissante et la voix de Mr Lordi qui achève tout le monde. Le refrain va en mettre plusieurs à genou ;un hit quoi !!
« The Deadbite Girls Gone Wild » poursuit sur un style plus hard. On notera que le groupe n’a pas évolué mais qu' au moins ça balance grave et que leur compos sont taillées pour cartonner. On ressent aussi une certaine manière de rendre hommage à leurs idoles à l’écoute de certains riffs et clin d’œil. Un petit mid-tempo avec « The Kids Who Wanna Play With The Dead » qui fait lui aussi son effet. Le refrain est un régal qui va faire plus d’un tour dans vos têtes. On sent que le groupe comme leurs grands maîtres de Kiss assure des chansons calibrées pour faire des dégâts dans vos petites personnes : garantie !
Moment plus mélodique avec « It Snows In Hell » une sorte de power ballade bien jolie et puissante qui montre un visage plus gentil de nos monstres. A noter que c’est Bruce Kulick (Kiss) qui nous offre un bien joli solo. « « Who’s Your Daddy?” reprend à grand coup de synthé un hard US à la Alice Cooper des plus décapants. Encore une fois rien à rajouter tout y est bien préparé, fait, pesé, rien ne manque il y a même ce côté kitch qui rend terrible.
Attention, grand moment à dédier à notre ‘ami’ Michel Drucker (qui ,en plus est reconnu par Word, tout un monde) avec le « Hard Rock Hallelujah ». A t-on vraiment besoin de présenter cette tornade de bon hard kitch à souhait? Juste pour dire que la version de l’album est un peu différente de celle jouée le soir de l’Eurovision. Avec ça ,Lordi à mise à genou l’Europe, quel pied putain quel pied !! Et vu qu’une bonne surprise n’arrive jamais seule « They Only Come Out At Night » voit le grand (enfin, c’est une image) Udo Dirkschneider (Accept UDO) en duo avec Lordi ,preuve d’une belle reconnaissance par ses pairs et même ses idoles.
Allez on continue tellement c’est bon, on va pas s’en plaindre : « The Chainsaw Buffet » débute par quelques bruits de tronçonneuse (clin d’œil à WASP ?) puis dans un mid-tempo assez mélodique au demeurant, nous propose un joli titre peu habituel. Cette fois ci le solo est réalisé par Jay Jay French de Twisted sister. « Good to be bad » nous replonge 20 ans en arrière avec ses synthés sortis des albums d’Europe. Un titre très nostalgique peut-être le moins bon de l’album.
« The Night Of The Loving Dead” reprend dans un style plus habituel et on pense volontier à Kiss tant la ressemblance peut être frappante par moment. Le refrain est à reprendre en chœur lors des concerts tant celui-ci est facile à retenir. Au fait, même le solo me rappelle Kiss : cool !
Pour finir, voici un autre tube qui arrache « Supermonstars (the Anthem Of The Phantoms) » qui débute par quelques chœurs avant un bon riff heavy parsemé de synthé.
Là encore le refrain est énorme pret à faire un carton sur les ondes du monde entier.
Encore un parfait exemple de bon hard qui fait un bien fou.
Conclusion : avec un tel album je ne voit pas ce qui pourrait arrêter Lordi dans son ascension des charts du monde entier. Un très bon album à se passer en boucle (en zappant l’intro) pour un été monstrueux (oh le jeu de mot !) .
Critique : Guillaume
Note : 8/10
Site du groupe : site officiel de Lordi
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