Chronique
DIONYSUS – FAIRYTALE AND REALITY / AFM Records 2006
Voilà le troisième album du combo à Olaf Hayer (Luca Turilli), qui je l’espère cette fois-ci aura repris de la voix pour nous confirmer son talent. Quoi d’intéressant sur cet album ? Le co-producteur n’est autre que Tobias Sammet (Edguy) et a été mixé aux Studios Area 51 par Tommy Newton (Helloween – Keepers 1 & 2). Le point négatif, pour le moment, vient de leur label AFM qui propose un cd promo avec des pistes fondues sur la fin ; ou comment ne pas apprécier la fin des chansons qui dans ce style sont généralement fortes intéressantes (1min en moins en moyenne…).
La première piste « Illusion of life » arrive calmement histoire de nous mettre en condition. Après cette intro calme, les cordes prennent le relais pour rentrer dans un morceau de métal mélodique et un poil agressif. Heureusement que le refrain est là pour sauver cette chanson car elle n’a rien de vraiment accrocheur.
S’en suit « The orb » qui elle arrive de façon bien plus énergique mélangeant Helloween et Hammerfall. Une sacrée dose d’énergie qui réveille, avec la voix d’Olaf bien présente. La batterie est quand même un peu trop en avant, surtout les toms. Mais bon, on écoute sans problèmes.
« Blinded » arrive de façon basique avec les guitares en avant, dans un esprit sombre et un tempo lent. Un mid tempo qui se digère bien mais c’est du déjà entendu. Reprise des choses sérieuses avec « The world » qui attaque dur et qui pulse. Un morceau très hard avec ses riffs cogneurs. Pas mauvais mais il manque la fin…. Merci Afm.
Un peu de réflexion avec « Spirit » qui arrive dans un esprit « March of freedom » de l’album précédent Anima Mundi (chroniqué sur ce site). Un mid tempo / ballade qui ravira les fans de mélodies et les fans de Tobias car c’est du concentré d’Edguy.
Un peu de folie avec « Queen of madness » pour cette chanson très hard 90’s et sombre. De bons rappels à une bonne époque. Un morceau accrocheur avec un refrain rempli de chœurs pour nous satisfaire un maximum.
Arrivée dynamique pour « The game ». Les dés sont jetés et on en prend plein les oreilles avec un solo guitare de Johnny bien cool, sans oublier Nobby qui se fait plaisir avec sa basse. Les mélodies vocales sont efficaces et le refrain se retient facilement. Un morceau qui sur scène risque de faire son effet.
Voilà ce que j’attendais depuis le début : du bon et grand Dionysus. Et c’est « True at heart » qui s’en charge. Intro synthé (Kaspar), des riffs de tueurs, des mélodies énormes et un chant d’enfer. LE morceau de l’album sans hésitation. C’est comme ça que l’on aime groupe !
Pour « Time will turn » il en est autrement. L’intro basique guitare commence à se faire lourde et rébarbative. Pour le reste, c’est du mid tempo… L’arrivée au synthé à la Richard Andersson est superbe et me régale une nouvelle fois. Cette fois ci, un autre morceau Dionysus est mis en place. C’est appréciable mais il aura fallu attendre la fin de l’album et cet avant dernier titre « Dreamchaser » pour l’avoir.
Morceau final, « The end » (c’est bizarre quand même… hé hé) arrive dans cet esprit rock mélodique avec les guitares pour attaquer, et s’enliser dans un mid tempo répétitif. Un final moyen.
Conclusion : un album loin du Anima Mundi. Seuls quelques titres se démarquent. Et le fait que les morceaux soient amputés d’une minute n’arrange pas les choses, surtout quand les morceaux sont biens. Un album qui ne révolutionne rien, on y sent quand même la touche à Tobi : c'est-à-dire ce que je fait marche, alors je le fait encore et encore. Sympa mais chiant au bout d’un moment.
La première piste « Illusion of life » arrive calmement histoire de nous mettre en condition. Après cette intro calme, les cordes prennent le relais pour rentrer dans un morceau de métal mélodique et un poil agressif. Heureusement que le refrain est là pour sauver cette chanson car elle n’a rien de vraiment accrocheur.
S’en suit « The orb » qui elle arrive de façon bien plus énergique mélangeant Helloween et Hammerfall. Une sacrée dose d’énergie qui réveille, avec la voix d’Olaf bien présente. La batterie est quand même un peu trop en avant, surtout les toms. Mais bon, on écoute sans problèmes.
« Blinded » arrive de façon basique avec les guitares en avant, dans un esprit sombre et un tempo lent. Un mid tempo qui se digère bien mais c’est du déjà entendu. Reprise des choses sérieuses avec « The world » qui attaque dur et qui pulse. Un morceau très hard avec ses riffs cogneurs. Pas mauvais mais il manque la fin…. Merci Afm.
Un peu de réflexion avec « Spirit » qui arrive dans un esprit « March of freedom » de l’album précédent Anima Mundi (chroniqué sur ce site). Un mid tempo / ballade qui ravira les fans de mélodies et les fans de Tobias car c’est du concentré d’Edguy.
Un peu de folie avec « Queen of madness » pour cette chanson très hard 90’s et sombre. De bons rappels à une bonne époque. Un morceau accrocheur avec un refrain rempli de chœurs pour nous satisfaire un maximum.
Arrivée dynamique pour « The game ». Les dés sont jetés et on en prend plein les oreilles avec un solo guitare de Johnny bien cool, sans oublier Nobby qui se fait plaisir avec sa basse. Les mélodies vocales sont efficaces et le refrain se retient facilement. Un morceau qui sur scène risque de faire son effet.
Voilà ce que j’attendais depuis le début : du bon et grand Dionysus. Et c’est « True at heart » qui s’en charge. Intro synthé (Kaspar), des riffs de tueurs, des mélodies énormes et un chant d’enfer. LE morceau de l’album sans hésitation. C’est comme ça que l’on aime groupe !
Pour « Time will turn » il en est autrement. L’intro basique guitare commence à se faire lourde et rébarbative. Pour le reste, c’est du mid tempo… L’arrivée au synthé à la Richard Andersson est superbe et me régale une nouvelle fois. Cette fois ci, un autre morceau Dionysus est mis en place. C’est appréciable mais il aura fallu attendre la fin de l’album et cet avant dernier titre « Dreamchaser » pour l’avoir.
Morceau final, « The end » (c’est bizarre quand même… hé hé) arrive dans cet esprit rock mélodique avec les guitares pour attaquer, et s’enliser dans un mid tempo répétitif. Un final moyen.
Conclusion : un album loin du Anima Mundi. Seuls quelques titres se démarquent. Et le fait que les morceaux soient amputés d’une minute n’arrange pas les choses, surtout quand les morceaux sont biens. Un album qui ne révolutionne rien, on y sent quand même la touche à Tobi : c'est-à-dire ce que je fait marche, alors je le fait encore et encore. Sympa mais chiant au bout d’un moment.
Critique : Lionel
Note : 6/10
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