Chronique
EUROPE – SECRET SOCIETY / NOISE RECORDS SANCTUARY 2006
Deux ans après un retour fracassant les suédois d’Europe remettent le couvert avec cette société secrète qui sent bon le renouveau.
C’est justement la titre track qui ouvre les hostilités : « Secret society » est très bizarre, un bon riff très typé Norum et un voix pas habituelle. Les premières secondes me font demander si c’est toujours bien Joey Tempest qui officie, mais une fois le break arrivé on retrouve notre voix reconnaissable entre mille. Un début étrange qui me laisse un peu froid. Par contre là, « Always the pretenders » c’est une bombe, quelques notes calmes, un riff bien heavy qui déboule, un chant superbe et un refrain majestueux du très très grand Europe qui sur scène va en botter des culs !!! Le titre de l’album garanti !!
Après pareille fête, dur de s’en remettre mais « Love is not the enemy » tient méchamment la route avec son speed rock décapant. Une nouvelle fois le père Norum nous délivre le riff qui tue et Joey fait étale de sa superbe voix dans un grand refrain, bref encore que du bon. A noter qu’au niveau des solos, là aussi John s’est lâché, avec de bien bonnes perles mélodiques comme il sait si bien le faire. 1ere ballade avec la power « Wish i could believe » qui commence sur de lourdes guitares, un couplet calme et un refrain électrique. Un premier moment finalement pas si calme que ça.
On retrouve le bon hard couillu de nos suédois avec « Let the children pay ». On peu largement constater avec bonheur que le groupe cherche à moderniser sa musique ce qui lui va comme un gant. Encore une fois le refrain est une merveille qui donne envie de le reprendre en cœur vivement la tournée qu’on aille tester tout ça !! A noter qu’a la fin il est repris avec des chœurs d’enfants, ce qui rend un coté lugubre au titre. « Human after hall » commence sur des notes de violons tristounettes avant que la guitare de John ne vienne remettre les choses en place. La basse de John Leven se fait bien présente et lourde ce qui accentue le coté heavy de ce super titre qui une nouvelle fois lorgne entre hard sombre et refrain super mélodique.
Vous revoulez du hard qui envoie la sauce « The getaway plan » va vous satisfaire, ça balance et tout le monde se régal.
2eme ballade avec « A mother’s son » qui elle est bien plus triste. Mic Michaelli refait son apparition au piano, l’ambiance est vraiment à la tristesse et Joey est époustouflant de justesse et d’émotion. Une nouvelle fois le refrain est électrique et chargé d’intensité. Une merveilleuse chanson. Bon on sèche ses larmes et on accueille le mid tempo mélodique « Forever travelling » qui fait une bonne suite pas trop violente, histoire de se remettre de nos émotions. Le refrain est encore grand mélodique et presque pompeux un régal.
« Brave and beautiful soul » se fait plus rythmé ce qui donne envie de taper du pied mais bon je dirais que c’est sûrement le titre le moins bon de l’album, un peu trop convenu.
On finit avec « Devil sings the blues » et sa guitare sèche. Un titre bien mélodique où Joey chante de manière différente ; un titre qui me rappelle étrangement les premiers albums dans ces couplets. Une fin sympa qui clôture un bien bon album.
Conclusion : Europe prouve avec cet album que sa reformation n’avait rien d‘ éphémère et que le groupe a bien l’intention de perdurer dans le temps. Bref si vous avez aimé ‘Start From the dark’ vous allez adorer ce ‘Secret society’. Europe est définitivement un très grand de la scène Hard.
C’est justement la titre track qui ouvre les hostilités : « Secret society » est très bizarre, un bon riff très typé Norum et un voix pas habituelle. Les premières secondes me font demander si c’est toujours bien Joey Tempest qui officie, mais une fois le break arrivé on retrouve notre voix reconnaissable entre mille. Un début étrange qui me laisse un peu froid. Par contre là, « Always the pretenders » c’est une bombe, quelques notes calmes, un riff bien heavy qui déboule, un chant superbe et un refrain majestueux du très très grand Europe qui sur scène va en botter des culs !!! Le titre de l’album garanti !!
Après pareille fête, dur de s’en remettre mais « Love is not the enemy » tient méchamment la route avec son speed rock décapant. Une nouvelle fois le père Norum nous délivre le riff qui tue et Joey fait étale de sa superbe voix dans un grand refrain, bref encore que du bon. A noter qu’au niveau des solos, là aussi John s’est lâché, avec de bien bonnes perles mélodiques comme il sait si bien le faire. 1ere ballade avec la power « Wish i could believe » qui commence sur de lourdes guitares, un couplet calme et un refrain électrique. Un premier moment finalement pas si calme que ça.
On retrouve le bon hard couillu de nos suédois avec « Let the children pay ». On peu largement constater avec bonheur que le groupe cherche à moderniser sa musique ce qui lui va comme un gant. Encore une fois le refrain est une merveille qui donne envie de le reprendre en cœur vivement la tournée qu’on aille tester tout ça !! A noter qu’a la fin il est repris avec des chœurs d’enfants, ce qui rend un coté lugubre au titre. « Human after hall » commence sur des notes de violons tristounettes avant que la guitare de John ne vienne remettre les choses en place. La basse de John Leven se fait bien présente et lourde ce qui accentue le coté heavy de ce super titre qui une nouvelle fois lorgne entre hard sombre et refrain super mélodique.
Vous revoulez du hard qui envoie la sauce « The getaway plan » va vous satisfaire, ça balance et tout le monde se régal.
2eme ballade avec « A mother’s son » qui elle est bien plus triste. Mic Michaelli refait son apparition au piano, l’ambiance est vraiment à la tristesse et Joey est époustouflant de justesse et d’émotion. Une nouvelle fois le refrain est électrique et chargé d’intensité. Une merveilleuse chanson. Bon on sèche ses larmes et on accueille le mid tempo mélodique « Forever travelling » qui fait une bonne suite pas trop violente, histoire de se remettre de nos émotions. Le refrain est encore grand mélodique et presque pompeux un régal.
« Brave and beautiful soul » se fait plus rythmé ce qui donne envie de taper du pied mais bon je dirais que c’est sûrement le titre le moins bon de l’album, un peu trop convenu.
On finit avec « Devil sings the blues » et sa guitare sèche. Un titre bien mélodique où Joey chante de manière différente ; un titre qui me rappelle étrangement les premiers albums dans ces couplets. Une fin sympa qui clôture un bien bon album.
Conclusion : Europe prouve avec cet album que sa reformation n’avait rien d‘ éphémère et que le groupe a bien l’intention de perdurer dans le temps. Bref si vous avez aimé ‘Start From the dark’ vous allez adorer ce ‘Secret society’. Europe est définitivement un très grand de la scène Hard.
Critique : Guillaume
Note : 7/10
Site du groupe : site officiel d' Europe
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