Chronique
WHITESNAKE - LIVE… IN THE SHADOWS OF THE BLUES / SPV 2006
Après un monumental DVD en début d’année, une tournée triomphante, des festivals estivaux et quelques passages remarqués un peu partout en Europe et même en France (ah la la le concert de Toulouse !!) ; David Coverdale nous sort enfin un enregistrement live de son grand retour. En plus des 20 titres joués durant toute cette tournée. Mr Coverdale nous offre aussi 4 nouveaux titres, chose que l’ont n’avait plus eu depuis 1998. A noter aussi que l’ordre est différent du DVD ce qui évite de faire doublons.
Le cd est en place j’appuie sur play est là on entre dans l’ambiance avec un « Bad Boys » qui pose les bases, colossales ! Le son est bien puissant, un peu moins que sur le DVD mais super bon. Le groupe assure vraiment comme ont pu le remarquer les milliers de fans présents à leur concert. Doug toujours aussi époustouflant dans son rôle de guitare héros et arrive sans problème à faire jeu égal avec les anciens (John Sykes, Vivian Campbell, Steve Vai, Andrain Vanderberg). On poursuit avec « Slide it in » qui avait fait bien plaisir sur la tournée (n’est ce pas Pieyrre ?). Que dire de la performance de David Coverdale : fabuleuse, un charisme impressionnant, une voix jamais prise en défaut, et une classe à faire pâlir bien nombreux jeunes. Le groupe vraiment impeccable permet à Mr Coverdale de faire ce qu’il veut sans soucis !
Vous aimez la période blues et bien « Slow and easy » est faite pour vous ! Un grand plaisir la aussi à écouter ce bon vieux titre. Certains dirons que l’on ne retrouve pas la magie du grand ‘Live… In the heart of the city’ certes, mais on ne pas dire que les musiciens présent n'assurent pas. Le magnifique « Love ain’t no stranger » prend le pas et là on se sent une érection bien nommée débarquer dans votre caleçon. Ce titre c’est de la tuerie (même si je lui trouve moins de pêche que sur le DVD).
Un petit « Judgement day » (absente à Toulouse) pour rappeler les influences Zeppelinienne, un titre que j’adore vraiment et qui je trouve, à vraiment sa place sur une set list . On calme le jeu avec la romantique « Is this love » qui permet au public de flirter tranquillement, porté par la voix suave d’un David Coverdale crooner au possible.
Maintenant place au moment solitaire de l’ami Doug Aldrich avec « Blues for Mylene » qui permet de voir une partie de son immense talent, suivit par « Snake dance » où la groupe vient l’épauler dans un bon blues avant l’orgasmique « Crayin’ in the rain ». Que dire de ce titre là, un monument sur lequel David est parfait. A noter que contrairement au live, le titre n’est pas coupé par le solo de batterie du grand Tommy Aldridge (tant mieux car à écouter ce n’est pas terrible).
L’attendue « Ain’t no love in the heart of the city » arrive et le public ne s’y trompe pas participant sans problème, chantant avec envie le refrain et applaudissant sans retenue le groupe. La mythique « Fool for you loving » met son ambiance et procure toujours autant de plaisir. Ah ce rythme : il te rentre dans la peau ! Cette fois ci le solo est plus exécuté version 80’ que 89.
On se rapproche de la fin du premier cd avec le tube « Here I go again » terriblement bonnard (décidément que de problèmes de caleçon à l ‘écoute de ce titre), et la subliminale « Still of the night » jouissive au possible. Ah ce break, il fait effet à tous les coups. Décidément ce titre est vraiment monstrueux !!
Deuxième rondelle pour ceux qui en veulent plus avec la reprise de Deep Purple « Burn » toujours accompagnée de son passage de « Strombringer » qui met le feu, suivit d’un « Give me all your love tonight » qui permet à Reb Beach de se démarquer avec un super solo (quel gratteux formidable lui aussi).
Petites surprises avec le « Walking in the shadow of the blues » très appréciable, qui rappelle la bonne vieille période blues du gang ; et un “The deeper the love “ oublié qui rappelle de bons souvenirs.
L’anthologique « Ready an’ willing » fait remuer des culs avec son rythme chaud comme la braise, puis un petit « Don’t break my heart again » pour ne rien lâcher de la fureur sexuelle dégagée par le sex appeal de Mr Coverdale avant de finir sur un « Take me with you » génial qui à bien fait de revenir sur cette tournée.
3eme et dernières parties : les 4 nouveau morceaux. Ah quelle excitation à l’idée d’entendre du nouveau matériel réalisé avec ce formidable line up.
« Ready to rock » est la première. Bien rythmée, elle montre que le groupe a bien envie de poursuivre sur une voie Hard. David débarque avec une voix très inspirée par le grand Robert Plant. Voilà un titre qui ne passe pas par 4 chemins et fait son effet directement. Niveau solo le duo Reb Beach Doug Aldrich est formidable. Le mid tempo « If you want me (i’ll come running) » est bien heavy et délectable. David retrouve sa voix si caractéristique gorgée de sensualité. Le refrain aérien est un régal, un grand titre très moderne.
« All i want is you » est une ballade qui rappelle un peu ‘Here i go again’. Un très bon moment sublimé par la magnifique voix de sieur Coverdale. Dernière petite douceur avec « Dog ». David Coverdale se prend pour un chien sur ce titre très Led Zeppelin. Ça dépote sévère et on prend un plaisir immense à écouter tout ça.
Conclusion : Whitesnake nous sort là un live monstrueux, décidément plus rien n’arrête David et ses compères qui ont même prévus un album pour 2007 et aux vues du potentiel on ose imaginer le résultat. A acheter les yeux fermer et à écouter sans compromis ! Le serpent mord toujours aussi fort !!!!
Le cd est en place j’appuie sur play est là on entre dans l’ambiance avec un « Bad Boys » qui pose les bases, colossales ! Le son est bien puissant, un peu moins que sur le DVD mais super bon. Le groupe assure vraiment comme ont pu le remarquer les milliers de fans présents à leur concert. Doug toujours aussi époustouflant dans son rôle de guitare héros et arrive sans problème à faire jeu égal avec les anciens (John Sykes, Vivian Campbell, Steve Vai, Andrain Vanderberg). On poursuit avec « Slide it in » qui avait fait bien plaisir sur la tournée (n’est ce pas Pieyrre ?). Que dire de la performance de David Coverdale : fabuleuse, un charisme impressionnant, une voix jamais prise en défaut, et une classe à faire pâlir bien nombreux jeunes. Le groupe vraiment impeccable permet à Mr Coverdale de faire ce qu’il veut sans soucis !
Vous aimez la période blues et bien « Slow and easy » est faite pour vous ! Un grand plaisir la aussi à écouter ce bon vieux titre. Certains dirons que l’on ne retrouve pas la magie du grand ‘Live… In the heart of the city’ certes, mais on ne pas dire que les musiciens présent n'assurent pas. Le magnifique « Love ain’t no stranger » prend le pas et là on se sent une érection bien nommée débarquer dans votre caleçon. Ce titre c’est de la tuerie (même si je lui trouve moins de pêche que sur le DVD).
Un petit « Judgement day » (absente à Toulouse) pour rappeler les influences Zeppelinienne, un titre que j’adore vraiment et qui je trouve, à vraiment sa place sur une set list . On calme le jeu avec la romantique « Is this love » qui permet au public de flirter tranquillement, porté par la voix suave d’un David Coverdale crooner au possible.
Maintenant place au moment solitaire de l’ami Doug Aldrich avec « Blues for Mylene » qui permet de voir une partie de son immense talent, suivit par « Snake dance » où la groupe vient l’épauler dans un bon blues avant l’orgasmique « Crayin’ in the rain ». Que dire de ce titre là, un monument sur lequel David est parfait. A noter que contrairement au live, le titre n’est pas coupé par le solo de batterie du grand Tommy Aldridge (tant mieux car à écouter ce n’est pas terrible).
L’attendue « Ain’t no love in the heart of the city » arrive et le public ne s’y trompe pas participant sans problème, chantant avec envie le refrain et applaudissant sans retenue le groupe. La mythique « Fool for you loving » met son ambiance et procure toujours autant de plaisir. Ah ce rythme : il te rentre dans la peau ! Cette fois ci le solo est plus exécuté version 80’ que 89.
On se rapproche de la fin du premier cd avec le tube « Here I go again » terriblement bonnard (décidément que de problèmes de caleçon à l ‘écoute de ce titre), et la subliminale « Still of the night » jouissive au possible. Ah ce break, il fait effet à tous les coups. Décidément ce titre est vraiment monstrueux !!
Deuxième rondelle pour ceux qui en veulent plus avec la reprise de Deep Purple « Burn » toujours accompagnée de son passage de « Strombringer » qui met le feu, suivit d’un « Give me all your love tonight » qui permet à Reb Beach de se démarquer avec un super solo (quel gratteux formidable lui aussi).
Petites surprises avec le « Walking in the shadow of the blues » très appréciable, qui rappelle la bonne vieille période blues du gang ; et un “The deeper the love “ oublié qui rappelle de bons souvenirs.
L’anthologique « Ready an’ willing » fait remuer des culs avec son rythme chaud comme la braise, puis un petit « Don’t break my heart again » pour ne rien lâcher de la fureur sexuelle dégagée par le sex appeal de Mr Coverdale avant de finir sur un « Take me with you » génial qui à bien fait de revenir sur cette tournée.
3eme et dernières parties : les 4 nouveau morceaux. Ah quelle excitation à l’idée d’entendre du nouveau matériel réalisé avec ce formidable line up.
« Ready to rock » est la première. Bien rythmée, elle montre que le groupe a bien envie de poursuivre sur une voie Hard. David débarque avec une voix très inspirée par le grand Robert Plant. Voilà un titre qui ne passe pas par 4 chemins et fait son effet directement. Niveau solo le duo Reb Beach Doug Aldrich est formidable. Le mid tempo « If you want me (i’ll come running) » est bien heavy et délectable. David retrouve sa voix si caractéristique gorgée de sensualité. Le refrain aérien est un régal, un grand titre très moderne.
« All i want is you » est une ballade qui rappelle un peu ‘Here i go again’. Un très bon moment sublimé par la magnifique voix de sieur Coverdale. Dernière petite douceur avec « Dog ». David Coverdale se prend pour un chien sur ce titre très Led Zeppelin. Ça dépote sévère et on prend un plaisir immense à écouter tout ça.
Conclusion : Whitesnake nous sort là un live monstrueux, décidément plus rien n’arrête David et ses compères qui ont même prévus un album pour 2007 et aux vues du potentiel on ose imaginer le résultat. A acheter les yeux fermer et à écouter sans compromis ! Le serpent mord toujours aussi fort !!!!
Critique : Guillaume
Note : 9.5/10
Site du groupe : site officiel de Whitesnake
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