Chronique
THUNDER - ROBERT JOHNSON’S TOMBSTONE / FRONTIERS RECORDS 2006
Deux ans après un très bon album qui m’avait permis de découvrir ce très bon groupe Anglais. Les voici qu’ils reviennent avec un album qui rend hommage à un grand monsieur du blues : Robert Johnson!
La title track débute sur des airs de bonnes vieilles musiques sudistes à la manière de Mr Johnson. Un plongeon en arrière qui fait du bien, puis les guitares arrivent et on part dans un super mid tempo décapant bluesy à fond qui régalera les fans de Thunder. Ce « Robert Johnson’s tombstone » nous met déjà bien dans l’ambiance. Danny Bowes nous régale avec sa voix chaude parfaite pour ce style. On poursuit avec « Dirty dream » plus hard mais toujours aussi bonne. Un nouveau mid tempo bien chargé qui met bien en avant la paire de gratteux Luke Morley et Ben Matthews. Que du bon, croyez-moi que du bon !!
La première ballade arrive assez tôt. « A million faces » débute admirablement bien avec une guitare sèche et une voix posée sublime. Le refrain électrique donne que plus d’intensité à l’ensemble. Une merveilleuse ballade comme le groupe nous habitue à en créer. On repart dans un morceau électro-acoustique. « Don’t wanna talk about love » se fait pseudo ballade rock qui passe bien et nous montre une autre facette du groupe. Un moment agréable qui s’écoute sans forcer.
On reprend le bon hard bluesy avec « The devil made me do it » encore un mid tempo au refrain plus rythmé qui te fait bouger ton arrière train. Quel bonheur car le groupe nous a concocté de véritables tubes en puissance à chaque piste. « Last man standing » se veut plus moderne dans sa conception. Le refrain ultra mélodique est une merveille, un super beau refrain. Quelques orientations arabisantes donnent de la chaleur au morceau. Pour moi le meilleur titre de l’album.
Début calme en acoustique pour « My darkest hour » accompagné d’un violoncelle. Elle nous propose la deuxième ballade de l’album. Danny d’un chant ultra posé sur les accords de guitares est très émouvant. Un moment très intimiste et magnifique. Pour se remettre de nos émotions voilà un bien bon titre qui pulse grave « Andy Warhol said » pète le feu avec son hard péchu, Danny utilise une voix plus hargneuse sur les couplets et nous assène un refrain mélodique délicieux. Le solo inspiré et très réussit. Un grand titre.
« What a beautiful day » reprend une inspiration blues plus prononcée, cette fois-ci le rythme est bien présent et donne envie de taper du pied avec conviction. « It’s all about you » commence au piano pour la troisième ballade, moins triste et plus rock que les autres, elle en demeure quand même bien jolie et très agréable à écouter.
Et on termine avec « Stubborn kind of love » un bon titre hard qui continu dans l’esprit du groupe. Encore une bonne preuve du talent de Thunder pour composer des titres énergiques et bourrés de bonnes idées et d’inspirations blues.
Conclusion : Thunder continue sur sa lancée avec un très bon album qui plaira aux fans et à tous les amateurs de bon hard. A découvrir d’urgence pour ceux qui ne connaissent pas encore.
La title track débute sur des airs de bonnes vieilles musiques sudistes à la manière de Mr Johnson. Un plongeon en arrière qui fait du bien, puis les guitares arrivent et on part dans un super mid tempo décapant bluesy à fond qui régalera les fans de Thunder. Ce « Robert Johnson’s tombstone » nous met déjà bien dans l’ambiance. Danny Bowes nous régale avec sa voix chaude parfaite pour ce style. On poursuit avec « Dirty dream » plus hard mais toujours aussi bonne. Un nouveau mid tempo bien chargé qui met bien en avant la paire de gratteux Luke Morley et Ben Matthews. Que du bon, croyez-moi que du bon !!
La première ballade arrive assez tôt. « A million faces » débute admirablement bien avec une guitare sèche et une voix posée sublime. Le refrain électrique donne que plus d’intensité à l’ensemble. Une merveilleuse ballade comme le groupe nous habitue à en créer. On repart dans un morceau électro-acoustique. « Don’t wanna talk about love » se fait pseudo ballade rock qui passe bien et nous montre une autre facette du groupe. Un moment agréable qui s’écoute sans forcer.
On reprend le bon hard bluesy avec « The devil made me do it » encore un mid tempo au refrain plus rythmé qui te fait bouger ton arrière train. Quel bonheur car le groupe nous a concocté de véritables tubes en puissance à chaque piste. « Last man standing » se veut plus moderne dans sa conception. Le refrain ultra mélodique est une merveille, un super beau refrain. Quelques orientations arabisantes donnent de la chaleur au morceau. Pour moi le meilleur titre de l’album.
Début calme en acoustique pour « My darkest hour » accompagné d’un violoncelle. Elle nous propose la deuxième ballade de l’album. Danny d’un chant ultra posé sur les accords de guitares est très émouvant. Un moment très intimiste et magnifique. Pour se remettre de nos émotions voilà un bien bon titre qui pulse grave « Andy Warhol said » pète le feu avec son hard péchu, Danny utilise une voix plus hargneuse sur les couplets et nous assène un refrain mélodique délicieux. Le solo inspiré et très réussit. Un grand titre.
« What a beautiful day » reprend une inspiration blues plus prononcée, cette fois-ci le rythme est bien présent et donne envie de taper du pied avec conviction. « It’s all about you » commence au piano pour la troisième ballade, moins triste et plus rock que les autres, elle en demeure quand même bien jolie et très agréable à écouter.
Et on termine avec « Stubborn kind of love » un bon titre hard qui continu dans l’esprit du groupe. Encore une bonne preuve du talent de Thunder pour composer des titres énergiques et bourrés de bonnes idées et d’inspirations blues.
Conclusion : Thunder continue sur sa lancée avec un très bon album qui plaira aux fans et à tous les amateurs de bon hard. A découvrir d’urgence pour ceux qui ne connaissent pas encore.
Critique : Guillaume
Note : 8/10
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