Chronique
WASTEFALL - SELF EXIL / REPLICA RECORDS 2006
L’« Intro » nous fait penser un peu aux accompagnements musicaux qu’on entend dans certains films, genre la traverse du désert, vous voyez ? Ca met dans l’ambiance, quoi !
« Willow man » arrive juste après sans perdre de temps, c’est lourd et agressif, et le chant est vraiment…Brutal, pour pas grand chose à la première écoute je trouve. Il est ici question de métal progressif, affiliation Pain Of Salvation.
« The muzzle affection », titre aussi calme que torturé, nous plonge dans un univers malsain, avec une voix féminine dont les interventions se font tantôt rassurantes, tantôt aggravantes. « Dance of descent » reste fidèle aux prédécesseurs, le début, très world music, laisse place au chant, bien placé, prenant ; puis la complexité du titre nous transporte littéralement.
« Another empty haven » ne prend pas de gants et nous débarque directement en pleine poire, avant l’accalmie qui laisse place au chant, vraiment atypique, du chanteur.
« Strife for definition » se place dans la droite ligne des autres, n’offrant rien de bien innovant. Puis, place au terriblement envoûtant « Sleepwalk » avec ses chœurs d’anges féminins plaintifs. « E. Y. E. » sonne différent, presque trash, ce qu’ils font avec un certain goût, il faut l’avouer. « Utopia Fragmentation » joue la continuité, et en deux titres, le groupe nous présente une autre de ses facettes.
« 4 Minutes to Abandon », magnifique duo chant et guitare acoustique, nous ensorcelle, cette ballade est un des grands moments de cet album.
« Provoke the divine » à la lourde tâche de suivre et de clôturer l’album, ce titre, sans être mauvais pour autant, échoue quelque peu dans sa mission.
Conclusion : Une belle surprise, après un début sympa mais linéaire, le milieu de l’album semble déboucher sur d’autres horizons, bien explorés jusqu’à la fin. A découvrir.
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« Willow man » arrive juste après sans perdre de temps, c’est lourd et agressif, et le chant est vraiment…Brutal, pour pas grand chose à la première écoute je trouve. Il est ici question de métal progressif, affiliation Pain Of Salvation.
« The muzzle affection », titre aussi calme que torturé, nous plonge dans un univers malsain, avec une voix féminine dont les interventions se font tantôt rassurantes, tantôt aggravantes. « Dance of descent » reste fidèle aux prédécesseurs, le début, très world music, laisse place au chant, bien placé, prenant ; puis la complexité du titre nous transporte littéralement.
« Another empty haven » ne prend pas de gants et nous débarque directement en pleine poire, avant l’accalmie qui laisse place au chant, vraiment atypique, du chanteur.
« Strife for definition » se place dans la droite ligne des autres, n’offrant rien de bien innovant. Puis, place au terriblement envoûtant « Sleepwalk » avec ses chœurs d’anges féminins plaintifs. « E. Y. E. » sonne différent, presque trash, ce qu’ils font avec un certain goût, il faut l’avouer. « Utopia Fragmentation » joue la continuité, et en deux titres, le groupe nous présente une autre de ses facettes.
« 4 Minutes to Abandon », magnifique duo chant et guitare acoustique, nous ensorcelle, cette ballade est un des grands moments de cet album.
« Provoke the divine » à la lourde tâche de suivre et de clôturer l’album, ce titre, sans être mauvais pour autant, échoue quelque peu dans sa mission.
Conclusion : Une belle surprise, après un début sympa mais linéaire, le milieu de l’album semble déboucher sur d’autres horizons, bien explorés jusqu’à la fin. A découvrir.
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Note : 7/10
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