Chronique
HARTMANN - HOME / Frontiers Records 2007
Me voilà en présence du deuxième album de la carrière solo d’Oliver Hartmann. Pour ceux qui ne savent toujours pas, Oliver est le premier chanteur (et regretté) du groupe At Vance, mais participe aussi à beaucoup de projets (Avantasia / Aina …). Sur son premier album « Out in the cold » on a eu droit à un rock mélodique : une mise en place et un nouveau registre pour le monsieur. Que va-t-il nous proposer sur cette rondelle « Home » ?
Le premier morceau de l’album « Coming home to you » s’annonce dans un esprit à la Bon Jovi. Des sons au synthé (Juergen West) et un tempo nous portant aisément sur les notes. Le refrain est très accrocheur, ce qui fait (en partie) de ce titre de rock mélodique une très bonne mise en bouche et qui promet.
Pour « The sun’s still rising » c’est cette fois le groupe Toto qui me vient à l’esprit et leur dernier album « Falling in between » et la chanson « Taint the world ». Je m’explique : des riffs aux sonorités bien rock (Mario Reck & Oliver Hartmann), une voix claire et puissante, le tout posé sur une bonne mélodie.
« My everything is you » arrive d’une toute autre façon : le synthé, une guitare douce, et un chant calme. Vous avez compris, c’est une belle ballade bien mélodique et reposante qui nous berce à travers ses trois minutes vingt.
Après le repos, une bonne dose d’énergie pour se remettre dans le bain. Cette dose s’appelle « Somewhere someday ». Rien de bien exceptionnel pour ce mid tempo, mais une nouvelle fois la voix si particulière d’Oliver fait mouche. « Just for you » commence dans un esprit pop rock inspiré des années 80 avec le style si particulier au niveau des compos : l’ambiance, le son, les mélodies. Un clin d’œil que j’apprécie car ces années 80 au niveau musique sont formidable, et Oliver nous le prouve.
Juergen se charge d’entamer cette chanson douce et délicate « I don’t want to know », accompagnée par le chant, puis par les autres instruments ; le tout avec délicatesse. Cette fois si le style de la chanson est un mélange de Soul et de pop histoire de varier le menu.
« Higher than me » se présente plu directement et évolue dans un rock mélodique accrocheur, avec des solos guitares simples mais efficaces. Pourquoi faire compliqué alors que simple et bon c’est possible ? Je vous le demande ?!
Aller maintenant c’est J.J Goldman qui me vient à l’esprit avec cette intro pour « Why I do ». La suite, elle, revient plus vers ce rock mélodique envoûtant qui me fait bouger mon corps ; et oui ça donne quelques envies de gigoter.
Il fallait s’y attendre avec un titre pareil : « Millionaire ». Cette fois ci c’est le blues rock / country qui est prit pour inspiration. Et ça swing un max ! LE morceau de l’album pour moi car il change vraiment et pulse beaucoup.
On calme les choses avec « Crying » qui est une ballade. On dirait qu’Oliver veut nous faire pleurer voire déprimer avec de telles chansons, remplies d’émotions. Pour la Saint Valentin, ce morceau sera de mise à coup sur.
Dernier morceau de l’album. Il se nomme « Lay all your love on me » et est une nouvelle fois une ballade, mais cette fois avec le duo guitare acoustique / chant. Très agréable autour d’un feu de bois et très reposante.
Conclusion : Oliver Hartmann nous propose là un album de grande qualité au niveau sonore (produit en partenariat avec Sascha Paeth (Rhapsody / Kamelot / Heavenly / Angra)), mais aussi des morceaux variés et pas répétitifs. Les influences sont bien présentes mais peut-on vraiment lui en vouloir ? Je ne suis pas sur.
Le premier morceau de l’album « Coming home to you » s’annonce dans un esprit à la Bon Jovi. Des sons au synthé (Juergen West) et un tempo nous portant aisément sur les notes. Le refrain est très accrocheur, ce qui fait (en partie) de ce titre de rock mélodique une très bonne mise en bouche et qui promet.
Pour « The sun’s still rising » c’est cette fois le groupe Toto qui me vient à l’esprit et leur dernier album « Falling in between » et la chanson « Taint the world ». Je m’explique : des riffs aux sonorités bien rock (Mario Reck & Oliver Hartmann), une voix claire et puissante, le tout posé sur une bonne mélodie.
« My everything is you » arrive d’une toute autre façon : le synthé, une guitare douce, et un chant calme. Vous avez compris, c’est une belle ballade bien mélodique et reposante qui nous berce à travers ses trois minutes vingt.
Après le repos, une bonne dose d’énergie pour se remettre dans le bain. Cette dose s’appelle « Somewhere someday ». Rien de bien exceptionnel pour ce mid tempo, mais une nouvelle fois la voix si particulière d’Oliver fait mouche. « Just for you » commence dans un esprit pop rock inspiré des années 80 avec le style si particulier au niveau des compos : l’ambiance, le son, les mélodies. Un clin d’œil que j’apprécie car ces années 80 au niveau musique sont formidable, et Oliver nous le prouve.
Juergen se charge d’entamer cette chanson douce et délicate « I don’t want to know », accompagnée par le chant, puis par les autres instruments ; le tout avec délicatesse. Cette fois si le style de la chanson est un mélange de Soul et de pop histoire de varier le menu.
« Higher than me » se présente plu directement et évolue dans un rock mélodique accrocheur, avec des solos guitares simples mais efficaces. Pourquoi faire compliqué alors que simple et bon c’est possible ? Je vous le demande ?!
Aller maintenant c’est J.J Goldman qui me vient à l’esprit avec cette intro pour « Why I do ». La suite, elle, revient plus vers ce rock mélodique envoûtant qui me fait bouger mon corps ; et oui ça donne quelques envies de gigoter.
Il fallait s’y attendre avec un titre pareil : « Millionaire ». Cette fois ci c’est le blues rock / country qui est prit pour inspiration. Et ça swing un max ! LE morceau de l’album pour moi car il change vraiment et pulse beaucoup.
On calme les choses avec « Crying » qui est une ballade. On dirait qu’Oliver veut nous faire pleurer voire déprimer avec de telles chansons, remplies d’émotions. Pour la Saint Valentin, ce morceau sera de mise à coup sur.
Dernier morceau de l’album. Il se nomme « Lay all your love on me » et est une nouvelle fois une ballade, mais cette fois avec le duo guitare acoustique / chant. Très agréable autour d’un feu de bois et très reposante.
Conclusion : Oliver Hartmann nous propose là un album de grande qualité au niveau sonore (produit en partenariat avec Sascha Paeth (Rhapsody / Kamelot / Heavenly / Angra)), mais aussi des morceaux variés et pas répétitifs. Les influences sont bien présentes mais peut-on vraiment lui en vouloir ? Je ne suis pas sur.
Critique : Lionel
Note : 8/10
Site du groupe : Site officiel d'Oliver Hartmann
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