Chronique
DOMINICI - O3 A TRILOGY PART 2 / Inside out 2007
Dominici, Dominici, ça me dit quelque chose... mais oui ! Le chanteur de Dream Theater ! Celui qui a officié sur le tout premier, le ‘A day and dream unite’. Et oui voilà qu’il débarque avec cet album concept qui fleure bon le prog à l’ancienne.
On débute cette galette avec « The monster » une instrumentale de plus de 8 minutes qui démontre le talent de ses musiciens qui gèrent très bien leurs instruments. Un pur prog à la DT comme on l’aime. Puis « Nowhere to hide » continue l’histoire avec un bon riff de heavy prog qui aurait plu à John Petrucci. Charlie Dominici débarque assez méconnaissable au début, puis ses intonations reviennent à mes oreilles et oui, 18 ans après, les choses ont évolué.
Je ne dirais qu’un truc, malgré tout le respect que j’ai pour lui, je trouve que sa voix laisse à désirer quand même. Musicalement c’est très en place et ça joue grave sans trop en faire.
« Captured » débute sur de jolis accords de guitare, un calme appuyé par la voix qui colle pas parfaitement, dommage ça gâche un peu l’ensemble. Malgré tout, nous avons affaire à une ballade sympa qui se laisse écouter sans trop de problème.
« Greed, the evil seed » bien appuyé par un riff lourd me fait penser à Dream Theater mais alors d’une force ! La suite fait moins plagia et l’on retrouve cette voix qui avait fait le bonheur des fans de la toute première heure du théâtre des rêves. En tous cas ça pulse bien.
De nouveau, de jolis accords viennent accompagner « School of pain ». A s’y méprendre, on dirait les mêmes que ceux de « Capture » (mais ce ne sont pas les mêmes). Bâti de la même manière, avec cette fois-ci un Charlie plus convaincant, dans un chant plus chargé en émotions qui donnent les larmes aux yeux. La suite beaucoup plus heavy réveille. Un titre qui alterne passages plein d’émotions et passages plus métal. Une belle réussite.
« The calling » part avec encore un bon riff de guitare. La suite, du prog comme on le côtoie depuis le début, rentre dedans technique et pourtant assez simple d’écoute. Un titre plus habituel qui fait effet et rappelle le bon prog des 90’s. La pluie tombe sur « The real life » et son piano mélancolique qui donne envie de pleurer. La voix de Charlie donne le change : posée et émouvante elle narre bien l’histoire et implique que plus l’auditeur à l’intérieur. Un moment intense d’un calme amer qui ne vous laisse pas insensible.
C’est le cœur touché que nous accueillons « The cop » qui déferle sur votre platine. Ça envoie des pieds grave ! Un condensé de bon prog qui redonne du poil de la bête.
On finit notre histoire avec « A new hope » qui monte progressivement en puissance avant que nous soyons une nouvelle fois attaqué par un bon gros riff percutant qui fait plaisir.
Certes rien de plus dans ce dernier titre mais encore une preuve de la bonne conduite du nouveau projet de Mr Dominici qui trouve ici vraiment de quoi s’épanouir.
Conclusion : voici un bien bon album de prog, qui même entaché de nombreuses influences Dream Theater plaira aux fans de ce style. Un album qui même s’il repose beaucoup sur la voix particulière de Charlie Dominici garde de bons instants.
On débute cette galette avec « The monster » une instrumentale de plus de 8 minutes qui démontre le talent de ses musiciens qui gèrent très bien leurs instruments. Un pur prog à la DT comme on l’aime. Puis « Nowhere to hide » continue l’histoire avec un bon riff de heavy prog qui aurait plu à John Petrucci. Charlie Dominici débarque assez méconnaissable au début, puis ses intonations reviennent à mes oreilles et oui, 18 ans après, les choses ont évolué.
Je ne dirais qu’un truc, malgré tout le respect que j’ai pour lui, je trouve que sa voix laisse à désirer quand même. Musicalement c’est très en place et ça joue grave sans trop en faire.
« Captured » débute sur de jolis accords de guitare, un calme appuyé par la voix qui colle pas parfaitement, dommage ça gâche un peu l’ensemble. Malgré tout, nous avons affaire à une ballade sympa qui se laisse écouter sans trop de problème.
« Greed, the evil seed » bien appuyé par un riff lourd me fait penser à Dream Theater mais alors d’une force ! La suite fait moins plagia et l’on retrouve cette voix qui avait fait le bonheur des fans de la toute première heure du théâtre des rêves. En tous cas ça pulse bien.
De nouveau, de jolis accords viennent accompagner « School of pain ». A s’y méprendre, on dirait les mêmes que ceux de « Capture » (mais ce ne sont pas les mêmes). Bâti de la même manière, avec cette fois-ci un Charlie plus convaincant, dans un chant plus chargé en émotions qui donnent les larmes aux yeux. La suite beaucoup plus heavy réveille. Un titre qui alterne passages plein d’émotions et passages plus métal. Une belle réussite.
« The calling » part avec encore un bon riff de guitare. La suite, du prog comme on le côtoie depuis le début, rentre dedans technique et pourtant assez simple d’écoute. Un titre plus habituel qui fait effet et rappelle le bon prog des 90’s. La pluie tombe sur « The real life » et son piano mélancolique qui donne envie de pleurer. La voix de Charlie donne le change : posée et émouvante elle narre bien l’histoire et implique que plus l’auditeur à l’intérieur. Un moment intense d’un calme amer qui ne vous laisse pas insensible.
C’est le cœur touché que nous accueillons « The cop » qui déferle sur votre platine. Ça envoie des pieds grave ! Un condensé de bon prog qui redonne du poil de la bête.
On finit notre histoire avec « A new hope » qui monte progressivement en puissance avant que nous soyons une nouvelle fois attaqué par un bon gros riff percutant qui fait plaisir.
Certes rien de plus dans ce dernier titre mais encore une preuve de la bonne conduite du nouveau projet de Mr Dominici qui trouve ici vraiment de quoi s’épanouir.
Conclusion : voici un bien bon album de prog, qui même entaché de nombreuses influences Dream Theater plaira aux fans de ce style. Un album qui même s’il repose beaucoup sur la voix particulière de Charlie Dominici garde de bons instants.
Critique : Guillaume
Note : 7/10
Vues : 5725 fois