Chronique
M.Z - NOSTALGIE HEROES / Thundering records 2007
Cinquième album pour les Français de M.Z qui apporte une petite évolution à leur Néoclassique instrumentale avec l’arrivée d’un chanteur J-J Fanciulotti. Allons voir si ce petit plus apporte un souffle nouveau au groupe.
On débute par « Rising to the throne » avec une petite intro qui met dans l’ambiance avant l’arrivée du groupe entier. La voix de JJ est étrange et ne me plait pas des masses. Techniquement il gère assez bien son travail, seul son timbre m’interpelle. Musicalement le groupe propose toujours son Néoclassique directement inspiré des Yngwie Malmsteen et autre Royal Hunt. Un début sympa sans grand plus. « Nightfall prelude » tente d’apporter un peu plus d’arrangements classiques et progressifs à sa musique. Un titre cool mais déjà entendu, qui laissera un goût amer à l’auditeur. Par contre on peut noter un joli travail de JJ plus mélodique et posé.
« Last of a long line » reprend du speed qui déboîte. A noter aussi que le son manque de profondeur et sonne assez froid, ce qui n’arrange pas vraiment cet album. On sent quand même le groupe à fond dans sa musique, qui malgré toute leur bonne volonté reste peu accrocheuse. Intro pleine de chœurs pour « Salus, Honor, Virtus » une narration vient se rajouter sur cet interlude sombre et nous envoie sur « Before the sun goes down » qui comme on peut s’y attendre apporte un côté plus progressif à la Artension. Je dirais que malgré ses défauts tout cela reste assez agréable à écouter mais manque cruellement d’accroche.
Le refrain est bien cool et se retient facilement.
Douce intro mélancolique pour « Maudlin adagio » qui sonne bien, avec un joli jeu de guitare tout en douceur et en profondeur. Une instrumentale qui rappelle les premiers albums.
Nouveau mid tempo pour « Moderato capriccio » qui une nouvelle fois rappelle les mercenaires d’Artension. Là il faut avouer qu’on subit plus qu’on profite. « Polytheist » débute sur la basse de Markus Fortunato véritable basse héros qui nous sert une instrumentale à la lead basse très impressionnante.
« Fleeting angel » reprend les titres chantés avec un esprit plus 80’s qui peut replonger dans les premiers Malmsteen : sympa ! Place à la title track qui se veut plus technique et réussit à l’être. Par contre ce « Nostalgic heroes » ne sauve pas forcément plus l’album, malgré de bonnes idées.
On fini avec « Ladscape fading into infinity » un nouveau titre chanté plus soft et mélodique qui clôture assez bien cet album mitigé.
Conclusion : M.Z continue à nous montrer de bonnes qualités techniques mais malheureusement le manque d’accroche nuit trop sensiblement à l’écoute de cette galette. A réserver aux fans invétérés de néoclassique.
On débute par « Rising to the throne » avec une petite intro qui met dans l’ambiance avant l’arrivée du groupe entier. La voix de JJ est étrange et ne me plait pas des masses. Techniquement il gère assez bien son travail, seul son timbre m’interpelle. Musicalement le groupe propose toujours son Néoclassique directement inspiré des Yngwie Malmsteen et autre Royal Hunt. Un début sympa sans grand plus. « Nightfall prelude » tente d’apporter un peu plus d’arrangements classiques et progressifs à sa musique. Un titre cool mais déjà entendu, qui laissera un goût amer à l’auditeur. Par contre on peut noter un joli travail de JJ plus mélodique et posé.
« Last of a long line » reprend du speed qui déboîte. A noter aussi que le son manque de profondeur et sonne assez froid, ce qui n’arrange pas vraiment cet album. On sent quand même le groupe à fond dans sa musique, qui malgré toute leur bonne volonté reste peu accrocheuse. Intro pleine de chœurs pour « Salus, Honor, Virtus » une narration vient se rajouter sur cet interlude sombre et nous envoie sur « Before the sun goes down » qui comme on peut s’y attendre apporte un côté plus progressif à la Artension. Je dirais que malgré ses défauts tout cela reste assez agréable à écouter mais manque cruellement d’accroche.
Le refrain est bien cool et se retient facilement.
Douce intro mélancolique pour « Maudlin adagio » qui sonne bien, avec un joli jeu de guitare tout en douceur et en profondeur. Une instrumentale qui rappelle les premiers albums.
Nouveau mid tempo pour « Moderato capriccio » qui une nouvelle fois rappelle les mercenaires d’Artension. Là il faut avouer qu’on subit plus qu’on profite. « Polytheist » débute sur la basse de Markus Fortunato véritable basse héros qui nous sert une instrumentale à la lead basse très impressionnante.
« Fleeting angel » reprend les titres chantés avec un esprit plus 80’s qui peut replonger dans les premiers Malmsteen : sympa ! Place à la title track qui se veut plus technique et réussit à l’être. Par contre ce « Nostalgic heroes » ne sauve pas forcément plus l’album, malgré de bonnes idées.
On fini avec « Ladscape fading into infinity » un nouveau titre chanté plus soft et mélodique qui clôture assez bien cet album mitigé.
Conclusion : M.Z continue à nous montrer de bonnes qualités techniques mais malheureusement le manque d’accroche nuit trop sensiblement à l’écoute de cette galette. A réserver aux fans invétérés de néoclassique.
Critique : Guillaume
Note : 6/10
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