Chronique
MESSIAH'S KISS - DRAGONHEART / SPV Records 2007
Dragonheart se trouve être le troisième opus du quartet allemand de Messiah’s Kiss, évoluant dans un heavy metal teuton bien burné comme vous allez le constater.
Ici pas de dentelle et c’est « The ancient cries » qui s’occupe d’ouvrir le festival de riffs crieurs, réalisés par Georg et sa guitare. Et bonne surprise, la voix de Mike Tirelli colle parfaitement au style (ce n’est pas évident), et il nous procure au passage une bonne envie de sauter de tous les côtés, le tout appuyé par un refrain simple – direct & efficace.
« Babylon », et non ce n’est pas Edguy. Rien à voir d’ailleurs car ce morceau se rapproche plus d’un Manowar ou autre groupe de heavy germanique. Ici aussi ça speed un max, et le refrain se mémorise facilement ce qui sur scène peut être un atout. Intro plus sombre à la basse (Wayne Banks) pour « Where the falcons cry », puis qui se calme pour arriver dans un mid tempo qui calme la donne mais qui ne dégoute pas.
Title track, et cette fois ci ça repart à fond la caisse avec un cri strident et bien perché de Georg. Ce « Dragonheart » se glisse partout, raisonnant à souhait. Un heavy speed manowarien que nous ne nous refusons pas. Toujours heavy mais moins rapide, « Thunders of the night » se pose et se fait frapper lentement mais surement par Eckhard. Rien ne sert de se presser quand on peut avoir une ambiance modérée et un air guerrier. C’est du miel, ca passe tout seul.
On s’en doutait, ce morceau nommé « Steelrider » reprend de la cadence histoire de ne pas se refroidir et de continuer à headbanguer comme un dingue, tout comme sur le morceau suivant « City of angels », qui malgré son rythme lent ne laisse pas notre nuque tranquille pour un sou.
Là par contre c’est un coup à se briser la nuque vu l’envie de gigoter sur cette accélération réalisée par « Nocturnal ». Le morceau suivant se fait plus mélodique et plus guerrier avec « Northern nights ». Les aurores boréales, les nuits froides, les boissons alcoolisées qui coulent à flots et une bonne chanson… un rêve. Le morceau suivant « Open fire » reste dans la même veine que les précédents, mais avec quelques effets sur les plans joués à la guitare ; un peu de disto quoi.
Le final de l’album ? Et bien il se nomme « The ivory gates ». Le début est calme, pour annoncer la fin style une ballade. Et bien faux, pas de ballade ici on fini sur un morceau tranchant histoire de nous épuiser jusqu’au bout.
Conclusion : un bon album bien burné, avec de bonnes compos, de bons musiciens, une bonne production et un cou qui fait mal à la fin à force de le remuer. Du heavy pur porc et qui n’y va pas par quatre chemins.
Ici pas de dentelle et c’est « The ancient cries » qui s’occupe d’ouvrir le festival de riffs crieurs, réalisés par Georg et sa guitare. Et bonne surprise, la voix de Mike Tirelli colle parfaitement au style (ce n’est pas évident), et il nous procure au passage une bonne envie de sauter de tous les côtés, le tout appuyé par un refrain simple – direct & efficace.
« Babylon », et non ce n’est pas Edguy. Rien à voir d’ailleurs car ce morceau se rapproche plus d’un Manowar ou autre groupe de heavy germanique. Ici aussi ça speed un max, et le refrain se mémorise facilement ce qui sur scène peut être un atout. Intro plus sombre à la basse (Wayne Banks) pour « Where the falcons cry », puis qui se calme pour arriver dans un mid tempo qui calme la donne mais qui ne dégoute pas.
Title track, et cette fois ci ça repart à fond la caisse avec un cri strident et bien perché de Georg. Ce « Dragonheart » se glisse partout, raisonnant à souhait. Un heavy speed manowarien que nous ne nous refusons pas. Toujours heavy mais moins rapide, « Thunders of the night » se pose et se fait frapper lentement mais surement par Eckhard. Rien ne sert de se presser quand on peut avoir une ambiance modérée et un air guerrier. C’est du miel, ca passe tout seul.
On s’en doutait, ce morceau nommé « Steelrider » reprend de la cadence histoire de ne pas se refroidir et de continuer à headbanguer comme un dingue, tout comme sur le morceau suivant « City of angels », qui malgré son rythme lent ne laisse pas notre nuque tranquille pour un sou.
Là par contre c’est un coup à se briser la nuque vu l’envie de gigoter sur cette accélération réalisée par « Nocturnal ». Le morceau suivant se fait plus mélodique et plus guerrier avec « Northern nights ». Les aurores boréales, les nuits froides, les boissons alcoolisées qui coulent à flots et une bonne chanson… un rêve. Le morceau suivant « Open fire » reste dans la même veine que les précédents, mais avec quelques effets sur les plans joués à la guitare ; un peu de disto quoi.
Le final de l’album ? Et bien il se nomme « The ivory gates ». Le début est calme, pour annoncer la fin style une ballade. Et bien faux, pas de ballade ici on fini sur un morceau tranchant histoire de nous épuiser jusqu’au bout.
Conclusion : un bon album bien burné, avec de bonnes compos, de bons musiciens, une bonne production et un cou qui fait mal à la fin à force de le remuer. Du heavy pur porc et qui n’y va pas par quatre chemins.
Critique : Lionel
Note : 8.5/10
Site du groupe : http://www.messiahskiss.com
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