Chronique
DOKKEN - FROM CONCEPTION LIVE 1981 / Frontiers records 2007
Dokken qui nous sort un live, c’est cool, ils montrent qu’ils sont vraiment repartis de l’avant et laissent derrière eux (enfin lui) les époques plus ou moins glorieuses George Lynch ! Oups je crois que je me suis fourvoyé voilà que ce live date de 1981, avant que le groupe ne sorte son premier album (Breakin’the chains), l’époque où ils étaient encensés par Dieter Dierks (producteur de Scorpions), mais pourquoi, quelle en est la raison : Don a besoin d’argent pour couvrir ses dépenses, ou boucler le futur album de Dokken ?? n’empèche que c’est bien la réalité qui est ici même un live vieux de 26 ans (je n’étais même pas nait).
On commence par un petit « Paris is burning » le son pour un enregistrement de 81 est bien bon (retouche studio ?) et l’ambiance sur scène bien présente. On notera déjà le bon niveau de Don Dokken ainsi que le côté guitar-heroe déjà bien développé par un déjà grand George Lynch. On poursuit avec « Goin’ down » plus rock'n'roll, à l’ancienne qui a mal vieillit.
« In the middle » est le pur exemple de mid tempo hard de l’époque. Un titre qui met en avant la basse de Jeff Pilson.
On rattaque avec du hard qui sent bon le Motley crue de l’époque avec « Young girls » la voix de Don plus mélodique que celle de son acolyte Vince Neil rend le groupe moins sauvage. Attention « Hit and run » débarque tout en cavalcade (pas à la Maiden c’était pas encore la mode à l’époque) et te fait taper du pied. Pour un jeune groupe il y a déjà pas mal de très bonnes choses. Le gros « Nightrider » entame la mise en avant de Mr Lynch qui montre des qualités indéniables (l’école Van Halen !) qui exploseront dans le futur. Puis un petit solo de guitare pour les derniers réfractaires (où l’inspiration du maître Eddy Van Halen est plus que présente) et on se prend un « Live to rock » speedant qui te fait remuer ton cul. On se laisse prendre au jeu finalement.
L’énorme « Breakin’ the chain » prend le relais et montre ce que sera le Dokken futur : ce mélange de riff hard sauvage et de cette voix mélodique et posée. On termine par un « You’re a liar » qui balance bien avec encore cette affiliation à la bande Van Halen. Au final un bon concert pour ces futures Rock Star.
Conclusion : certes ce live est bien agréable et très nostalgique mais malheureusement ne devrait intéresser que les fans de Dokken (il en reste ?). Jetez y toujours une oreille si l’occasion se présente vous en mourrez pas !
On commence par un petit « Paris is burning » le son pour un enregistrement de 81 est bien bon (retouche studio ?) et l’ambiance sur scène bien présente. On notera déjà le bon niveau de Don Dokken ainsi que le côté guitar-heroe déjà bien développé par un déjà grand George Lynch. On poursuit avec « Goin’ down » plus rock'n'roll, à l’ancienne qui a mal vieillit.
« In the middle » est le pur exemple de mid tempo hard de l’époque. Un titre qui met en avant la basse de Jeff Pilson.
On rattaque avec du hard qui sent bon le Motley crue de l’époque avec « Young girls » la voix de Don plus mélodique que celle de son acolyte Vince Neil rend le groupe moins sauvage. Attention « Hit and run » débarque tout en cavalcade (pas à la Maiden c’était pas encore la mode à l’époque) et te fait taper du pied. Pour un jeune groupe il y a déjà pas mal de très bonnes choses. Le gros « Nightrider » entame la mise en avant de Mr Lynch qui montre des qualités indéniables (l’école Van Halen !) qui exploseront dans le futur. Puis un petit solo de guitare pour les derniers réfractaires (où l’inspiration du maître Eddy Van Halen est plus que présente) et on se prend un « Live to rock » speedant qui te fait remuer ton cul. On se laisse prendre au jeu finalement.
L’énorme « Breakin’ the chain » prend le relais et montre ce que sera le Dokken futur : ce mélange de riff hard sauvage et de cette voix mélodique et posée. On termine par un « You’re a liar » qui balance bien avec encore cette affiliation à la bande Van Halen. Au final un bon concert pour ces futures Rock Star.
Conclusion : certes ce live est bien agréable et très nostalgique mais malheureusement ne devrait intéresser que les fans de Dokken (il en reste ?). Jetez y toujours une oreille si l’occasion se présente vous en mourrez pas !
Critique : Guillaume
Note : 7/10
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