Chronique
DEAFENING SILENCE - BACKLASH / Brennus Music 2007
Deafening Silence est né en 1997 dans notre bel hexagone, et plus précisément à Metz, en Lorraine. Après trois démos, le groupe sort son premier album « Edge of life » dont la musique est influencée par Maiden et Helloween. Après un changement de personnel au sein du groupe, Deafining Silence nous propose se second opus intitulé « Backlash ».
Petite intro « Dawn of the death » histoire de mettre les choses en place avec une batterie bien frappée annonçant la guerre. C’est le départ avec « The straight line » qui là aussi attaque avec un Eric à la batterie et un Phil à la basse tous feux, tous flammes. Niveau chant c’est du haut perché (un peu trop par moment).
Riff guitare pour attaquer « Hellbitch » qui fait très I.Maiden il faut le dire. On sent les influences et ce morceau de hard dépote pas mal. Reste le mix au niveau du chant. C’est un peu faible.
Cette fois ci c’est « To young to die » qui débarque avec un tempo entraînant s’orientant vers un speed metal des années 80. Le son se colle parfaitement au style du morceau et Guillaume & Michael s’amusent bien avec leurs guitares.
Au tour du morceau éponyme avec donc « Backlash » qui arrive de façon plus heavy avec une bonne basse mise en avant, et un ensemble bien rock n’ roll. Sans oublier bien sur un refrain direct qui en fera chanter plus d’un.
Voilà le gros morceau de l’album (niveau durée avec ses 7min), et il se nomme « The seal of the damned ». Un morceau façon metal suédois entre passages guerriers, break suivis de passages mélodiques et reprises sur du heavy, le tout avec quelques chœurs histoire de rajouter une couche.
Alors ça dépote grave les enfants avec ce « Judgement day ». Immédiatement on secoue la tête avec cette énergie qui nous est transmise. Retour dans un heavy anglais pour « When will the black day end », où le son des guitares sature par moment, donnant un effet plus roots.
Pour « Nothing remains » & « Groundbreaker » on ressent encore les influences d’un certain groupe anglais, mélangées au speed allemand ce qui ne dérange en aucun cas bien au contraire.
« Mettalic meltdown » se tient lui aussi dans un esprit heavy rock 80’s, avec un chant poussé dans les aigus par moments histoire de se faire plaisir.
Au tour du dernier morceau de cet album qui se nomme « Promised land ». Et quel final. Ce morceau balance grave, nos deux guitaristes se régalent à balancer des notes à tout va. Quand aux autres musiciens, ils envoient pas mal aussi sur ce morceau Hammerfallien.
Conclusion : un album sympathique pour cette formation lorraine. Le groupe à encore pas mal de travail à faire. Le premier point serait la production qui est un peu faiblarde. Le second point c’est le chant ; non pas que Nicolas chante mal, mais niveau prononciation et puissance il faut le travailler un peu plus. Le potentiel est là, maintenant il faut l’exploiter encore plus pour nous pondre un album de feu. Un groupe à suivre.
Petite intro « Dawn of the death » histoire de mettre les choses en place avec une batterie bien frappée annonçant la guerre. C’est le départ avec « The straight line » qui là aussi attaque avec un Eric à la batterie et un Phil à la basse tous feux, tous flammes. Niveau chant c’est du haut perché (un peu trop par moment).
Riff guitare pour attaquer « Hellbitch » qui fait très I.Maiden il faut le dire. On sent les influences et ce morceau de hard dépote pas mal. Reste le mix au niveau du chant. C’est un peu faible.
Cette fois ci c’est « To young to die » qui débarque avec un tempo entraînant s’orientant vers un speed metal des années 80. Le son se colle parfaitement au style du morceau et Guillaume & Michael s’amusent bien avec leurs guitares.
Au tour du morceau éponyme avec donc « Backlash » qui arrive de façon plus heavy avec une bonne basse mise en avant, et un ensemble bien rock n’ roll. Sans oublier bien sur un refrain direct qui en fera chanter plus d’un.
Voilà le gros morceau de l’album (niveau durée avec ses 7min), et il se nomme « The seal of the damned ». Un morceau façon metal suédois entre passages guerriers, break suivis de passages mélodiques et reprises sur du heavy, le tout avec quelques chœurs histoire de rajouter une couche.
Alors ça dépote grave les enfants avec ce « Judgement day ». Immédiatement on secoue la tête avec cette énergie qui nous est transmise. Retour dans un heavy anglais pour « When will the black day end », où le son des guitares sature par moment, donnant un effet plus roots.
Pour « Nothing remains » & « Groundbreaker » on ressent encore les influences d’un certain groupe anglais, mélangées au speed allemand ce qui ne dérange en aucun cas bien au contraire.
« Mettalic meltdown » se tient lui aussi dans un esprit heavy rock 80’s, avec un chant poussé dans les aigus par moments histoire de se faire plaisir.
Au tour du dernier morceau de cet album qui se nomme « Promised land ». Et quel final. Ce morceau balance grave, nos deux guitaristes se régalent à balancer des notes à tout va. Quand aux autres musiciens, ils envoient pas mal aussi sur ce morceau Hammerfallien.
Conclusion : un album sympathique pour cette formation lorraine. Le groupe à encore pas mal de travail à faire. Le premier point serait la production qui est un peu faiblarde. Le second point c’est le chant ; non pas que Nicolas chante mal, mais niveau prononciation et puissance il faut le travailler un peu plus. Le potentiel est là, maintenant il faut l’exploiter encore plus pour nous pondre un album de feu. Un groupe à suivre.
Critique : Lionel
Note : 6/10
Site du groupe : Site officiel de Deafening Silence
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