Chronique
TRIBUZY - EXECUTION LIVE REUNION / Locomotive music 2007
Voici le compte rendue vidéo du Live de Renato Tribuzy qui vient peu de temps après celui audio.
Premières constatations, la set list du concert est dans le même ordre que celui du cd. Puis vient se rajouter ici deux reprises « Final Embrace » de Primal Fear (avec Ralf Scheepers au chant et Mat Sinner à la basse) avec un résultat énorme (peut être le meilleur moment du show) puis « Tears of the dragon » de Bruce Dickinson (avec Bruce bien sur et Roy Z) remanié dont le résultat ne m’a pas plu des masses.
L’image est de bonne qualité sans être non plus exceptionnelle, assez diversifiée mais le montage est parfois pas terrible : un manque de coordination vient de temps en temps gâcher le plaisir de l’œil. Par contre la salle elle, paraît bien sympa, ainsi que la scène, grande et toute parquet. Les lumières trop simples (ça tourne entre rouge, bleu et blanc) ne donnent pas beaucoup de rendu et de chaleur, tout comme le groupe qui malgré un concert des plus pro et carré manque cruellement de vie à l’image de Renato trop concentré sur son chant.
D’ailleurs celui ci a du couché avec des images live de Bruce Dickinson car il lui a tout piqué, du chant, aux poses tout y passe, ce qui dérange un peu aussi (on croirai voir Bruce Dickinson durant la tournée Live after death). Le reste des musiciens réalise un bon concert mais ne bouge pas assez, tout est trop statique.
On passe aux invités. Tout d’abord celui qu’on voit le plus : Kiko Loureiro (sur « Forgotten time », « Nature of evil » et Execution ») qui réalise un travail exemplaire, sachant se mettre en valeur, souriant et cool, nous livrant au passage des solos collants parfaitement aux titres !
Mat Sinner sur « Nature of evil », un titre de son propre groupe, fait bonne impression malgré un manque cruel de mouvement (cela se comprend, l’ami joue toujours avec sa basse), ce qui n’arrange pas ce concert.
Heureusement Ralf Sheepers vient remettre un peu de tonus sur « Absolution ». Sa présence (quelle brute !) sur scène est impressionnante et ne parlons pas de son chant qu’il maîtrise parfaitement. Un très bon point (la reprise de « Final Embrace » vraiment énorme !!). Roland Grapow malgré un jeu exemplaire sur « Absolution » et « Web of life » (quel formidable guitariste) manque un peu de décontraction sur scène ainsi que de charisme. Même si pour l’occasion il nous fait le plaisir de sortie sa Dean signature Michael Schenker.
Derniers des invités et pas des moindres : Bruce Dickinson apparaît super décontracté (en panta-court) et ultra pro, même s’il s’attarde beaucoup trop sur les paroles de « Beast in the light » qu’il lit avec trop d’attention. A ses cotés Roy Z est égal à lui même : tenue de scène décalé au possible (un vrai touriste mexicain) et balance grave !
Pour finir le public est très chaud mais pas du tout mis en valeur ce qui est bien dommage quand on connaît l’enthousiasme du public Brésilien lors des concerts.
Conclusion : un DVD décevant, un live plus à écouter qu’à regarder, malgré un travail très pro et la présence de nombreux invités prestigieux (finalement l’un des seuls intérêts du DVD avec les reprises). Un groupe qui manque de vie malgré sa musique taillée pour la scène.
Premières constatations, la set list du concert est dans le même ordre que celui du cd. Puis vient se rajouter ici deux reprises « Final Embrace » de Primal Fear (avec Ralf Scheepers au chant et Mat Sinner à la basse) avec un résultat énorme (peut être le meilleur moment du show) puis « Tears of the dragon » de Bruce Dickinson (avec Bruce bien sur et Roy Z) remanié dont le résultat ne m’a pas plu des masses.
L’image est de bonne qualité sans être non plus exceptionnelle, assez diversifiée mais le montage est parfois pas terrible : un manque de coordination vient de temps en temps gâcher le plaisir de l’œil. Par contre la salle elle, paraît bien sympa, ainsi que la scène, grande et toute parquet. Les lumières trop simples (ça tourne entre rouge, bleu et blanc) ne donnent pas beaucoup de rendu et de chaleur, tout comme le groupe qui malgré un concert des plus pro et carré manque cruellement de vie à l’image de Renato trop concentré sur son chant.
D’ailleurs celui ci a du couché avec des images live de Bruce Dickinson car il lui a tout piqué, du chant, aux poses tout y passe, ce qui dérange un peu aussi (on croirai voir Bruce Dickinson durant la tournée Live after death). Le reste des musiciens réalise un bon concert mais ne bouge pas assez, tout est trop statique.
On passe aux invités. Tout d’abord celui qu’on voit le plus : Kiko Loureiro (sur « Forgotten time », « Nature of evil » et Execution ») qui réalise un travail exemplaire, sachant se mettre en valeur, souriant et cool, nous livrant au passage des solos collants parfaitement aux titres !
Mat Sinner sur « Nature of evil », un titre de son propre groupe, fait bonne impression malgré un manque cruel de mouvement (cela se comprend, l’ami joue toujours avec sa basse), ce qui n’arrange pas ce concert.
Heureusement Ralf Sheepers vient remettre un peu de tonus sur « Absolution ». Sa présence (quelle brute !) sur scène est impressionnante et ne parlons pas de son chant qu’il maîtrise parfaitement. Un très bon point (la reprise de « Final Embrace » vraiment énorme !!). Roland Grapow malgré un jeu exemplaire sur « Absolution » et « Web of life » (quel formidable guitariste) manque un peu de décontraction sur scène ainsi que de charisme. Même si pour l’occasion il nous fait le plaisir de sortie sa Dean signature Michael Schenker.
Derniers des invités et pas des moindres : Bruce Dickinson apparaît super décontracté (en panta-court) et ultra pro, même s’il s’attarde beaucoup trop sur les paroles de « Beast in the light » qu’il lit avec trop d’attention. A ses cotés Roy Z est égal à lui même : tenue de scène décalé au possible (un vrai touriste mexicain) et balance grave !
Pour finir le public est très chaud mais pas du tout mis en valeur ce qui est bien dommage quand on connaît l’enthousiasme du public Brésilien lors des concerts.
Conclusion : un DVD décevant, un live plus à écouter qu’à regarder, malgré un travail très pro et la présence de nombreux invités prestigieux (finalement l’un des seuls intérêts du DVD avec les reprises). Un groupe qui manque de vie malgré sa musique taillée pour la scène.
Critique : Guillaume
Note : 7/10
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