Chronique
PRIMAL FEAR - NEW RELIGION / Frontiers records 2007
Voici le retour des Allemands, venus défendre la cause heavy métal avec leur septième album. Malgré un changement notable de Label, Primal Fear doit prouver que son nom reste associé à son style de prédilection.
Un vrai bon riff métal nous ouvre les oreilles. « Sign of fear » met déjà en grande valeur Randy Black à la batterie, puis c’est parti ! Ralf dans un cri à la Halford montre qu’il est très en forme et son chant sur aiguë est d’une puissance ahurissante. Un premier titre très (trop) Priestien mais foutrement efficace, du Heavy métal à 100% !! L’auditeur rassuré poursuit et se prend « Face the emptiness » qui part sur de bonnes intentions métal avec en fond quelques orchestrations discrètes. Un titre plus mélodique qui fait effet de suite.
Le pluie tombe, quelques violons entrent en jeu et puis le désastre arrive : elle s’appelle Simone Simons ! Que vient elle foutre là !! Putain il manquait plus que ça, que Primal Fear défenseur du heavy pur souche fricote avec ça (si au moins il y avait du sexe au milieu je comprendrai)
« Everytime it rains » est sinon un super titre dans la droite lignée de Seven Seals, une power ballade efficace, très bien mise en valeur par le chant touchant de Ralf, et les arrangements minutieux. Malheureusement l’autre gâche tout le plaisir, un très grand dommage !!
Le riff de « New religion » remet les choses en place ça c’est du pur Primal Fear comme on l’aime, viril, puissant, rentre dedans.
Un petit piano prend place et un Ralf quasi inconnu, sur « Fighting the darkness ». Une autre power ballade magnifique avec un chant hyper mélodique qui en surprendra plus d’un. Malgré le fait que ce soit la deuxième power ballade le groupe garde tout de même une puissance de jeu impressionnante (bien aidée par une Production une nouvelle fois irréprochable). Les quelques chœurs présents en plus des orchestrations donnent un côté théâtral grandiose. Une impressionnante suite symphonique « The darkness » prend le relais donnant des frissons, puis « Reprise » fini en beauté cette épique pièce musicale de toute beauté. Assurément le plus haut moment de l’album !
Vu que le groupe n’a pas l’intention de faire dans la dentelle « Blood on your hands » va vous donner ce que vous êtes venu chercher, du gros heavy qui débouchera n’importe quel conduit auditif. Le refrain plus moderne est une agréable surprise. Passage moins speed mais tout aussi délectable avec « The curse of sharon » qui étant bien plus mélodique donne un aspect commercial non négligeable. Encore un très bon titre changeant.
« Too much time » continue sur sa voie heavy métal à tendance FM, avec un refrain percutant qui se retient. Un esprit Gamma Ray fait son retour, et ne confirme que plus les variations apportées à ce nouvel album. « Pshyco » continue dans le gros heavy à tendance marteau pilon. Un Mid tempo sévèrement burné qui fait du bien par là où il passe.
« World of fire » ne change pas de style et nous essaime un pur heavy comme le groupe nous le propose depuis maintenant 10 ans.
On termine par, comme c’est devenu une habitude, la vrai ballade « The man » (That i don’t know) ». Un exercice de plus concluant dans lequel le groupe excelle de plus en plus. Ralf démontre (mais aussi durant tout l’album) ses qualités de chanteurs qui ont bien évolué depuis le premier album.
Conclusion : Primal Fear poursuit sa route avec toujours autant de qualité. La continuité de l’évolution apportée dans Seven seals est confirmée ce qui est une bonne chose, mais attention à ne pas abuser (putain de Simone !!). Un album qui comblera les fans (je l'ai été) et devrait en amener d’autre. Comme je le disais déjà Primal Fear est et restera Heavy métal !
Un vrai bon riff métal nous ouvre les oreilles. « Sign of fear » met déjà en grande valeur Randy Black à la batterie, puis c’est parti ! Ralf dans un cri à la Halford montre qu’il est très en forme et son chant sur aiguë est d’une puissance ahurissante. Un premier titre très (trop) Priestien mais foutrement efficace, du Heavy métal à 100% !! L’auditeur rassuré poursuit et se prend « Face the emptiness » qui part sur de bonnes intentions métal avec en fond quelques orchestrations discrètes. Un titre plus mélodique qui fait effet de suite.
Le pluie tombe, quelques violons entrent en jeu et puis le désastre arrive : elle s’appelle Simone Simons ! Que vient elle foutre là !! Putain il manquait plus que ça, que Primal Fear défenseur du heavy pur souche fricote avec ça (si au moins il y avait du sexe au milieu je comprendrai)
« Everytime it rains » est sinon un super titre dans la droite lignée de Seven Seals, une power ballade efficace, très bien mise en valeur par le chant touchant de Ralf, et les arrangements minutieux. Malheureusement l’autre gâche tout le plaisir, un très grand dommage !!
Le riff de « New religion » remet les choses en place ça c’est du pur Primal Fear comme on l’aime, viril, puissant, rentre dedans.
Un petit piano prend place et un Ralf quasi inconnu, sur « Fighting the darkness ». Une autre power ballade magnifique avec un chant hyper mélodique qui en surprendra plus d’un. Malgré le fait que ce soit la deuxième power ballade le groupe garde tout de même une puissance de jeu impressionnante (bien aidée par une Production une nouvelle fois irréprochable). Les quelques chœurs présents en plus des orchestrations donnent un côté théâtral grandiose. Une impressionnante suite symphonique « The darkness » prend le relais donnant des frissons, puis « Reprise » fini en beauté cette épique pièce musicale de toute beauté. Assurément le plus haut moment de l’album !
Vu que le groupe n’a pas l’intention de faire dans la dentelle « Blood on your hands » va vous donner ce que vous êtes venu chercher, du gros heavy qui débouchera n’importe quel conduit auditif. Le refrain plus moderne est une agréable surprise. Passage moins speed mais tout aussi délectable avec « The curse of sharon » qui étant bien plus mélodique donne un aspect commercial non négligeable. Encore un très bon titre changeant.
« Too much time » continue sur sa voie heavy métal à tendance FM, avec un refrain percutant qui se retient. Un esprit Gamma Ray fait son retour, et ne confirme que plus les variations apportées à ce nouvel album. « Pshyco » continue dans le gros heavy à tendance marteau pilon. Un Mid tempo sévèrement burné qui fait du bien par là où il passe.
« World of fire » ne change pas de style et nous essaime un pur heavy comme le groupe nous le propose depuis maintenant 10 ans.
On termine par, comme c’est devenu une habitude, la vrai ballade « The man » (That i don’t know) ». Un exercice de plus concluant dans lequel le groupe excelle de plus en plus. Ralf démontre (mais aussi durant tout l’album) ses qualités de chanteurs qui ont bien évolué depuis le premier album.
Conclusion : Primal Fear poursuit sa route avec toujours autant de qualité. La continuité de l’évolution apportée dans Seven seals est confirmée ce qui est une bonne chose, mais attention à ne pas abuser (putain de Simone !!). Un album qui comblera les fans (je l'ai été) et devrait en amener d’autre. Comme je le disais déjà Primal Fear est et restera Heavy métal !
Critique : Guillaume
Note : 7.5/10
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