Chronique
ASTRAL DOORS - NEW REVELATION / Locomotive music 2007
Quatrième album pour ce groupe Suédois que j’appréciais énormément, ce New Revelation va-t-il apporter du sang neuf dans les rangs du combos? Allons vérifier ça de suite.
C’est justement la title track qui débute. Le riff d’entrée est bien plus métal qu’à l’accoutumée, et fleure bon l’esprit germanique. Est-ce que le fait d’avoir tourné avec Blind Guardain leur a donné de nouvelles orientations. En tout cas le groupe délivre une bien bonne performance et bien sûr Nils Patrick Johanson est toujours aussi formidable. « Freedom war » poursuit dans la veine plus habituelle du combos Suédois. Riff lourd, passage calme, orgue hammond en fond, et refrain mélodique, la recette toujours aussi efficace.
Là on lorgne vers le bon hard à la Rainbow (d’ailleurs on pense à ‘Kill the king’) avec « Pentecostal bound » qui pulse grave et donne une envie de taper du pied insurmontable.
Très jolie ballade poignante avec « Bastard son » sur laquelle Nils est irrésistible. Un moment particulier qui ne laisse pas indifférent.
Douce intro pour « Waiting for the master » qui laisse l’auditeur dans une douceur, juste avant, le bon gros riff, bien percutant. Encore une fois le groupe nous livre toute sa classe dans des titres rythmés. « Planet earth » se fait bien plus métal, et surprend. Certes on n’oublie pas les qualités du groupe, qui nous propose, du gros, du lourd. Bien sûr la voix caméléon de Nils apporte indéniablement un plus à chaque intervention.
Riff bien plus hard, pour « Quisling ». Un mid tempo, qui garde un groove certain. A l’écoute de tout ces titres on sent que leur terrain de prédilection c’est la scène ! Le résultat doit être surprenant. « Cold war survivor » début doucement, mais pas bien longtemps, puisqu'un bon riff vient nous remettre sur le droit chemin du hard. Certes toujours la même recette utilisée avec toujours le même brio, de quoi peut on se plaindre.
« The gates of light » déboule avec un bien bon rythme. Un titre des plus conventionnel mais efficace. Encore un titre bien hard avec « Shores of solitude » qui fleure bon les 80’s. Un titre entre Accept et Motley crue, qui surprend au premier abord mais se laisse doucement délecter. Le refrain très mélodique et saupoudré de synthé lui donne un côté FM, bien agréable.
On termine avec « Mercenary man » qui débute sur un orgue solitaire puis dans la grande tradition Astral Doors nous donne un gros titre épique qui manquait depuis le début. Une superbe fin intense et métal à souhait : un grand titre.
Conclusion : Astral doors poursuit son ascension et prouve qu’avec ce 4eme album qu’il s’impose comme une très grande valeur de notre musique préférée. Même si l’évolution attendue est encore un peu mince, le contenu reste de grande valeur. Un groupe à ne pas lâcher : 4 albums, 4 réussites.
C’est justement la title track qui débute. Le riff d’entrée est bien plus métal qu’à l’accoutumée, et fleure bon l’esprit germanique. Est-ce que le fait d’avoir tourné avec Blind Guardain leur a donné de nouvelles orientations. En tout cas le groupe délivre une bien bonne performance et bien sûr Nils Patrick Johanson est toujours aussi formidable. « Freedom war » poursuit dans la veine plus habituelle du combos Suédois. Riff lourd, passage calme, orgue hammond en fond, et refrain mélodique, la recette toujours aussi efficace.
Là on lorgne vers le bon hard à la Rainbow (d’ailleurs on pense à ‘Kill the king’) avec « Pentecostal bound » qui pulse grave et donne une envie de taper du pied insurmontable.
Très jolie ballade poignante avec « Bastard son » sur laquelle Nils est irrésistible. Un moment particulier qui ne laisse pas indifférent.
Douce intro pour « Waiting for the master » qui laisse l’auditeur dans une douceur, juste avant, le bon gros riff, bien percutant. Encore une fois le groupe nous livre toute sa classe dans des titres rythmés. « Planet earth » se fait bien plus métal, et surprend. Certes on n’oublie pas les qualités du groupe, qui nous propose, du gros, du lourd. Bien sûr la voix caméléon de Nils apporte indéniablement un plus à chaque intervention.
Riff bien plus hard, pour « Quisling ». Un mid tempo, qui garde un groove certain. A l’écoute de tout ces titres on sent que leur terrain de prédilection c’est la scène ! Le résultat doit être surprenant. « Cold war survivor » début doucement, mais pas bien longtemps, puisqu'un bon riff vient nous remettre sur le droit chemin du hard. Certes toujours la même recette utilisée avec toujours le même brio, de quoi peut on se plaindre.
« The gates of light » déboule avec un bien bon rythme. Un titre des plus conventionnel mais efficace. Encore un titre bien hard avec « Shores of solitude » qui fleure bon les 80’s. Un titre entre Accept et Motley crue, qui surprend au premier abord mais se laisse doucement délecter. Le refrain très mélodique et saupoudré de synthé lui donne un côté FM, bien agréable.
On termine avec « Mercenary man » qui débute sur un orgue solitaire puis dans la grande tradition Astral Doors nous donne un gros titre épique qui manquait depuis le début. Une superbe fin intense et métal à souhait : un grand titre.
Conclusion : Astral doors poursuit son ascension et prouve qu’avec ce 4eme album qu’il s’impose comme une très grande valeur de notre musique préférée. Même si l’évolution attendue est encore un peu mince, le contenu reste de grande valeur. Un groupe à ne pas lâcher : 4 albums, 4 réussites.
Critique : Guillaume
Note : 8/10
Site du groupe : site officiel d'Astral Doors
Vues : 5732 fois