Chronique
ELVENKING - THE SCYTHE / Afm Records 2007
Après un bon “Winter Wake”, Elvenking revient avec “The Scythe” qui cette fois ci se dirige dans une ambiance bien plus sombre, contant des histories sur La Mort, mais en gardant le côté mélodique des chansons ; le tout masterisé par Mika Jussila (Heavenly / Angra / Stratovarius..) aux studios Finnvox. Une nouvelle orientation volontaire. Est-ce le bon choix ?
L’album commence par la title track « The Scythe ». Une narration avant de rentrer dans le vif du sujet : des riffs accrocheurs, une voix lourde avant de revenir sur un chant plus clair pour Damnagoras. Le refrain passe bien, mais l’enchaînement sur un tempo plus agressif est assez choquant.
On continue avec « Lost hill of memories » qui arrive avec du violon bien pose et un chant à la Children, appuyé par des effets futuristes au clavier. Un peu d’accalmie pour repartir dans du lourd avec des chœurs… moyens il faut dire. Pour « Infection » le violon est toujours présent et nous propose un air plus celtique bien sombre, une voix grave se fait entendre, appuyée par Aydan sur les chœurs.
« Poison tears » est carrément plus bourrin sur le départ. Ca arrive à vitesse grand V pour un morceau que Alexi (Children Of Bodom) ne renierai pas. Quoi qu’il en soit, le refrain pette bien et motive les troupes pour headbanguer.
Un peu de répit je vous prie avec un morceau plus joyeux voire presque dansant, qui nous rappelle les morceaux auxquels Elvenking nous avait habitué jusque là. Ce « A riddle of stars » a de bons riffs mélodiques, un chant clair, une batterie bien frappée, pour un ensemble folk bien sympathique.
Nouvelle narration pour introduire dans une ambiance sombre et dynamique le morceau « Romance and wraith ». Le violon nous procure un grand plaisir, puis vient le moment où le morceau s’emporte. Et là je ne comprends pas vraiment où a voulu en venir le groupe ! Ca part un peu dans tous les sens : bizarre !
« The divided heart » revient dans une ambiance mid tempo, avec une ambiance plus mélodique (moins sombre aussi), pour une semi-ballade qui fait du bien et qui change du reste. Ouf ! Que c’est agréable !
Drôle de nom pour cette chanson avec « Totentanz » qui arrive batterie frappante, guitare acoustique, un peu à la Blackmore’s night. Une ambiance qui restera telle tout le long du morceau. S’en suit après un bonne montée en puissante avec une attaque très childrennienne avec une voix lourde mais pas trop poussée vers l’avant pour « Death and the suffering ». Un bon morceau qui bougerait mémé de son fauteuil mais où le chant est sous mixé.
On attaque maintenant le dernier morceau de l’album avec « DominHate ». Un jeu mot sympathique, qui est là pour un morceau folk très mélodique et porteur. Petit break avec passage posé et chant clair dès le début histoire de mettre une couche de douceur dans cet album sombre. D’ailleurs, peu de temps après le côté obscure revient sur les devants.
Conclusion : un album en demi-teinte. Le groupe garde leur coté folk et mélodique, mais le côté obscure du metal ne leur va pas du tout, enfin presque. Il faudrait aussi voir à remonter un peu le niveau du chant par rapport à la musique. L’essai n’est pas transformé, il va falloir concrétiser.
L’album commence par la title track « The Scythe ». Une narration avant de rentrer dans le vif du sujet : des riffs accrocheurs, une voix lourde avant de revenir sur un chant plus clair pour Damnagoras. Le refrain passe bien, mais l’enchaînement sur un tempo plus agressif est assez choquant.
On continue avec « Lost hill of memories » qui arrive avec du violon bien pose et un chant à la Children, appuyé par des effets futuristes au clavier. Un peu d’accalmie pour repartir dans du lourd avec des chœurs… moyens il faut dire. Pour « Infection » le violon est toujours présent et nous propose un air plus celtique bien sombre, une voix grave se fait entendre, appuyée par Aydan sur les chœurs.
« Poison tears » est carrément plus bourrin sur le départ. Ca arrive à vitesse grand V pour un morceau que Alexi (Children Of Bodom) ne renierai pas. Quoi qu’il en soit, le refrain pette bien et motive les troupes pour headbanguer.
Un peu de répit je vous prie avec un morceau plus joyeux voire presque dansant, qui nous rappelle les morceaux auxquels Elvenking nous avait habitué jusque là. Ce « A riddle of stars » a de bons riffs mélodiques, un chant clair, une batterie bien frappée, pour un ensemble folk bien sympathique.
Nouvelle narration pour introduire dans une ambiance sombre et dynamique le morceau « Romance and wraith ». Le violon nous procure un grand plaisir, puis vient le moment où le morceau s’emporte. Et là je ne comprends pas vraiment où a voulu en venir le groupe ! Ca part un peu dans tous les sens : bizarre !
« The divided heart » revient dans une ambiance mid tempo, avec une ambiance plus mélodique (moins sombre aussi), pour une semi-ballade qui fait du bien et qui change du reste. Ouf ! Que c’est agréable !
Drôle de nom pour cette chanson avec « Totentanz » qui arrive batterie frappante, guitare acoustique, un peu à la Blackmore’s night. Une ambiance qui restera telle tout le long du morceau. S’en suit après un bonne montée en puissante avec une attaque très childrennienne avec une voix lourde mais pas trop poussée vers l’avant pour « Death and the suffering ». Un bon morceau qui bougerait mémé de son fauteuil mais où le chant est sous mixé.
On attaque maintenant le dernier morceau de l’album avec « DominHate ». Un jeu mot sympathique, qui est là pour un morceau folk très mélodique et porteur. Petit break avec passage posé et chant clair dès le début histoire de mettre une couche de douceur dans cet album sombre. D’ailleurs, peu de temps après le côté obscure revient sur les devants.
Conclusion : un album en demi-teinte. Le groupe garde leur coté folk et mélodique, mais le côté obscure du metal ne leur va pas du tout, enfin presque. Il faudrait aussi voir à remonter un peu le niveau du chant par rapport à la musique. L’essai n’est pas transformé, il va falloir concrétiser.
Critique : Lionel
Note : 6/10
Site du groupe : Site officiel de Elvenking
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