Chronique
STEEL SEAL - BY THE POWER OF THUNDER / Underground Symphony 2007
Nouveau groupe transalpin, ce quatuor nous sort son premier album et se paye le luxe d’avoir en tant que chanteur l’immense Dc Cooper. Un réel gage de qualité que nous allons découvrir au plus vite.
On débute les hostilités par « Anger storm » un titre bien rythmé dans une veine métal mélodique légèrement feutrée de Néoclassique. Dc d’entrée impose le respect avec un travail exemplaire. Le refrain manque de percussions il n’apporte pas ce qu’on attendait dommage. Un début mitigé mais sympa. Niveau solo on reste dans l’habituel avec des plans à la Malmsteen sans sauver. « Roncesvalle’s day » poursuit dans la même veine, heureusement que DC est là pour sauver les meubles car le reste est sans grand intérêt. Une musique déjà entendue qui ne respire pas l’envie.
Jolie intro au piano pour « Theater of pain », puis on continue avec une impression de déjà vu. Ce titre rappelle fortement Royal Hunt (faut il rappeler que Dc Cooper en fut le chanteur ?) un titre sympa mais trop convenu pour être intéressant. Dommage car Mr Cooper y réalise un travail super, d’une qualité exceptionnelle. « Sun and steel » débute calmement guitare / voix, puis déboule sur un titre qui aurait là aussi très bien pu être composé par Andre Anderssen. Une sorte de pseudo ballade assez longue pour pas grand chose, à part encore une fois une partie chant exemplaire.
« When the devil calls » là abuse un peu, un titre de pur Néoclassique entendue mainte fois !! qu’est ce qui va différencier celui ci des autres et bien pas grand chose. Même si le résultat est convainquant (quand on touche à une recette magique et bien ça marche) mais l’innovation leur manque cruellement. Petit riff à la Blackmore pour « If » qui reste bien dans l’esprit Raimbow / Deep Purple, un style qu’affectionne Dc. Malheureusement pour nous pauvres auditeurs rien de bien transcendant même si le chant est irréprochable il peine à sauver le reste trop banal.
Un petit tour sur le « Valhalla » qui ne va pas vous surprendre. Encore une fois rien de bien accrocheur pour que l’on s’y attarde, et même « Townrazer » malgré son côté décapant peine à décoller. On peut se demander pourquoi un chanteur de la trempe de Dc Cooper est venu se perdre dans cet album !?
Pour finir un long titre « Crying my heart away » qui débute comme une ballade, douce et sympa, elle laisse Dc libre de ses émotions et porter ce titre sur ses épaules (chose merveilleusement faite). La suite plus rythmée est agréable mais bien trop sans plus. Encore une fois il manque un gros quelque chose pour faire de la musique de STEEL SEAL accrocheuse et qui donne envie.
Un petit bonus Japan, avec « Battle’s eve » qui ressemble à du Concerto Moon voire à du Double Dealer (deux formidables combos Japonais menés de main de maître par l’excellent Norifumi Shima). Là encore et bien rien de désagréable mais rien de plus non plus !
A oublier !!
Conclusion : et bien me voilà bien déçu, malgré un chant excellent cet album pâtie de bien trop de défauts pour être à retenir. Reste encore une fois un formidable travail d’interprétation pour Dc Cooper bien trop sous estimé !! Donc si vous êtes vraiment fan aveugle du chanteur vous pouvez vous le procurer (vous serez pas déçu), pour les autres passer malheureusement votre chemin. Du beau gâchis.
On débute les hostilités par « Anger storm » un titre bien rythmé dans une veine métal mélodique légèrement feutrée de Néoclassique. Dc d’entrée impose le respect avec un travail exemplaire. Le refrain manque de percussions il n’apporte pas ce qu’on attendait dommage. Un début mitigé mais sympa. Niveau solo on reste dans l’habituel avec des plans à la Malmsteen sans sauver. « Roncesvalle’s day » poursuit dans la même veine, heureusement que DC est là pour sauver les meubles car le reste est sans grand intérêt. Une musique déjà entendue qui ne respire pas l’envie.
Jolie intro au piano pour « Theater of pain », puis on continue avec une impression de déjà vu. Ce titre rappelle fortement Royal Hunt (faut il rappeler que Dc Cooper en fut le chanteur ?) un titre sympa mais trop convenu pour être intéressant. Dommage car Mr Cooper y réalise un travail super, d’une qualité exceptionnelle. « Sun and steel » débute calmement guitare / voix, puis déboule sur un titre qui aurait là aussi très bien pu être composé par Andre Anderssen. Une sorte de pseudo ballade assez longue pour pas grand chose, à part encore une fois une partie chant exemplaire.
« When the devil calls » là abuse un peu, un titre de pur Néoclassique entendue mainte fois !! qu’est ce qui va différencier celui ci des autres et bien pas grand chose. Même si le résultat est convainquant (quand on touche à une recette magique et bien ça marche) mais l’innovation leur manque cruellement. Petit riff à la Blackmore pour « If » qui reste bien dans l’esprit Raimbow / Deep Purple, un style qu’affectionne Dc. Malheureusement pour nous pauvres auditeurs rien de bien transcendant même si le chant est irréprochable il peine à sauver le reste trop banal.
Un petit tour sur le « Valhalla » qui ne va pas vous surprendre. Encore une fois rien de bien accrocheur pour que l’on s’y attarde, et même « Townrazer » malgré son côté décapant peine à décoller. On peut se demander pourquoi un chanteur de la trempe de Dc Cooper est venu se perdre dans cet album !?
Pour finir un long titre « Crying my heart away » qui débute comme une ballade, douce et sympa, elle laisse Dc libre de ses émotions et porter ce titre sur ses épaules (chose merveilleusement faite). La suite plus rythmée est agréable mais bien trop sans plus. Encore une fois il manque un gros quelque chose pour faire de la musique de STEEL SEAL accrocheuse et qui donne envie.
Un petit bonus Japan, avec « Battle’s eve » qui ressemble à du Concerto Moon voire à du Double Dealer (deux formidables combos Japonais menés de main de maître par l’excellent Norifumi Shima). Là encore et bien rien de désagréable mais rien de plus non plus !
A oublier !!
Conclusion : et bien me voilà bien déçu, malgré un chant excellent cet album pâtie de bien trop de défauts pour être à retenir. Reste encore une fois un formidable travail d’interprétation pour Dc Cooper bien trop sous estimé !! Donc si vous êtes vraiment fan aveugle du chanteur vous pouvez vous le procurer (vous serez pas déçu), pour les autres passer malheureusement votre chemin. Du beau gâchis.
Critique : Guillaume
Note : 6.5/10
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