Chronique
HELLOWEEN - GAMBLING WITH THE DEVIL / Spv Records 2007
On ne présente plus ce fameux combo germanique. Après un super Keeper 3 et un double live (chroniqués sur ce site), nous voici en présence du nouvel album studio. Et comme le montre la pochette, faisons tourner la roue et voyons ce que le diable nous réserve.
Petite intro narrée par Biff Byford (Saxon), la foire est lancée et le diable s’en réjouit avec ce « Crack the ridle ». Morceau choisi sur les samplers français, « Kill It » attaque fort avec une musique bien puissante et directe, très mélodique où Andi pousse bien haut sa voix. Ca déchire grave pour une ouverture. Retour à la période Keeper 1 & 2 niveau style musical avec ce « The saints », qui avec le premier couplet fait mouche et me transporte vers un Helloween presque oublié. Une nouvelle fois rien à dire sur le chant, les chœurs et surtout les musiciens ! Une pièce de sept minutes qui ne nous fera pas râler par sa longueur bien au contraire. Le refrain est bien bon. Sur scène cela risque de faire mal.
Premier single choisi par le groupe pour présenter l’album, mais disponible uniquement sur internet (un clip vidéo a été fait aussi), « As long as I fall » arrive doucement au piano avec un voix un peu retouchée avec des effets électriques pour entrer dans un mid tempo très « Light the universe » mais sans Candice Night. Changement de registre, « Paint a new world » déboule à deux cent à l’heure pour nous secouer la tête à en rester bloqué. Riffs lourds, batterie bien frappée et basse martelée. On sent la patte d’Andi niveau compo.
C’est un jeu qu’il ne faut pas faire avec le diable. Jouer de l’argent ou quelque chose de précieux comme avec ce « Final fortune » peu s’avérer risqué. Bien évidemment Helloween nous montre une nouvelle fois qu’ils peuvent faire beaucoup de choses et nous proposent un morceau bien puissant et mélodique qui en ravira plus d’un.
Maintenant, les trois morceaux qui arrivent sont les plus représentatifs de l’album et de on ambiance, regroupant toutes les idées de cet album. Trois titres qui peuvent en faire qu’un, mais mieux vaut séparer les temps pour mieux apprécier les chansons (parties) à notre guise.
Le premier morceau se nomme « The bells of the seven hells ». L’intro est calme, un tom se fait frapper, puis ça speed avant de se calmer. Un morceau plus orienté sur la puissance avec des frappes et des riffs bien lourds. « Fallen pieces » arrive avec une narration et une guitare plus calme et posée donnant une ambiance reposante avec une caisse claire titillée appuyée par une nappe de clavier bien jolie. Quant à « I.M.E » (qui veut dire ?!), lui il revient dans un power metal agressif mais posé. Trois parties qui misent bout à bout déchirent, et qui prennent une autre dimension écoutées ensemble.
« Can do it » se pointe sur un air joyeux et bien frappé, un peu façon hard des années 80 à la Europe avec des chœurs à la Freedom Call. Sascha Gerstner est passé par là ? Avant dernier morceau, « Dreambound » revient dans un registre plus speed façon Keeper. Pour conclure, Helloween avec « Heaven tells no lies » nous procure un grand plaisir car ce morceau blance bien. Du speed mélodique comme le groupe sait si bien le faire, avec une musique légère et agréable.
Conclusion : Helloween nous offre là un énorme album où il n’y a rien à jeter. Les fans du groupe seront ravis car le retour influencé par les Keeper (plus que le Keeper 3) est indéniable. Une bombe tout simplement. Il ne faudra pas louper la date de Paris en janvier car les premières parties seront faites par Gamma-Ray & Axxis, rien que ça !
Petite intro narrée par Biff Byford (Saxon), la foire est lancée et le diable s’en réjouit avec ce « Crack the ridle ». Morceau choisi sur les samplers français, « Kill It » attaque fort avec une musique bien puissante et directe, très mélodique où Andi pousse bien haut sa voix. Ca déchire grave pour une ouverture. Retour à la période Keeper 1 & 2 niveau style musical avec ce « The saints », qui avec le premier couplet fait mouche et me transporte vers un Helloween presque oublié. Une nouvelle fois rien à dire sur le chant, les chœurs et surtout les musiciens ! Une pièce de sept minutes qui ne nous fera pas râler par sa longueur bien au contraire. Le refrain est bien bon. Sur scène cela risque de faire mal.
Premier single choisi par le groupe pour présenter l’album, mais disponible uniquement sur internet (un clip vidéo a été fait aussi), « As long as I fall » arrive doucement au piano avec un voix un peu retouchée avec des effets électriques pour entrer dans un mid tempo très « Light the universe » mais sans Candice Night. Changement de registre, « Paint a new world » déboule à deux cent à l’heure pour nous secouer la tête à en rester bloqué. Riffs lourds, batterie bien frappée et basse martelée. On sent la patte d’Andi niveau compo.
C’est un jeu qu’il ne faut pas faire avec le diable. Jouer de l’argent ou quelque chose de précieux comme avec ce « Final fortune » peu s’avérer risqué. Bien évidemment Helloween nous montre une nouvelle fois qu’ils peuvent faire beaucoup de choses et nous proposent un morceau bien puissant et mélodique qui en ravira plus d’un.
Maintenant, les trois morceaux qui arrivent sont les plus représentatifs de l’album et de on ambiance, regroupant toutes les idées de cet album. Trois titres qui peuvent en faire qu’un, mais mieux vaut séparer les temps pour mieux apprécier les chansons (parties) à notre guise.
Le premier morceau se nomme « The bells of the seven hells ». L’intro est calme, un tom se fait frapper, puis ça speed avant de se calmer. Un morceau plus orienté sur la puissance avec des frappes et des riffs bien lourds. « Fallen pieces » arrive avec une narration et une guitare plus calme et posée donnant une ambiance reposante avec une caisse claire titillée appuyée par une nappe de clavier bien jolie. Quant à « I.M.E » (qui veut dire ?!), lui il revient dans un power metal agressif mais posé. Trois parties qui misent bout à bout déchirent, et qui prennent une autre dimension écoutées ensemble.
« Can do it » se pointe sur un air joyeux et bien frappé, un peu façon hard des années 80 à la Europe avec des chœurs à la Freedom Call. Sascha Gerstner est passé par là ? Avant dernier morceau, « Dreambound » revient dans un registre plus speed façon Keeper. Pour conclure, Helloween avec « Heaven tells no lies » nous procure un grand plaisir car ce morceau blance bien. Du speed mélodique comme le groupe sait si bien le faire, avec une musique légère et agréable.
Conclusion : Helloween nous offre là un énorme album où il n’y a rien à jeter. Les fans du groupe seront ravis car le retour influencé par les Keeper (plus que le Keeper 3) est indéniable. Une bombe tout simplement. Il ne faudra pas louper la date de Paris en janvier car les premières parties seront faites par Gamma-Ray & Axxis, rien que ça !
Critique : Lionel
Note : 9.5/10
Site du groupe : Site officiel de Helloween
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