Chronique
HANOI ROCKS - STREET POETRY / Double vision 2007
Voici le troisième essai pour ce grand groupe de hard, qui s’est reformé en 2001. Toujours mené par le duo infatigable Monroe / Mc Coy allons voir ce que ces Poètes de la rue ont à nous dire.
Bonne ambiance pour le remuant « Hypermobile » qui annonce la couleur : ça va déchirer !! Dès ce premier titre on sent le groupe en très grande forme Andy McCoy riff fort et Michael Monroe balance la sauce de sa voix rock. « Street poetry » est un hommage à un SDF Londonien sur fond de bon hard bluesy. Ah la la quelle bonne musique. Un bon mid tempo plutôt rock.
« Fashion » débarque dans une espèce de rock aux consonances musique Hawaïenne. Une drôlerie qui passe d’enfer et montre de bien bonnes idées guitaristiques de Monreo. Le refrain est de suite mémorisable tellement il est efficace. « Highwired » se veut plus conventionnel mais diaboliquement efficace. Le refrain est une offrande aux fans pour le live. Intro toute en percussions pour « Power of persuation ». Un super bon hard mélodique décapant qui donne la pêche.
Ambiance festive avec « Teenage revolution » qui met le feu, on retombe il y a fort longtemps en arrière avec tout ça. « Worth your weight in gold » débarque avec son joli saxophone et donne un bien bon titre entre douceur et bon rock ravageur. Quand on parle de rock ravageur « Transcendental groove » est là pour vous servir. Le titre le plus rock de cette galette. Michael McCoy distille un chant aux différentes sonorités plutôt colorées.
Le rock est définitivement l’essence même de ce combos qui nous le prouve encore avec « This one’s for rock n roll » qui comme son titre l’indique est du pur du dur. Depuis quelques titres je ne peux m’empêcher de penser à ce que fait actuellement le maître de l’Horreur : Alice Cooper.
« Powertrip » va vous prendre à la gorge avec son hard qui pulse à fond ! un petit must qui rappelle les Guns N Roses : du très grand. On passe à du plus suave avec « Walkin’ away » qui change complètement de vision. Un moment plus cool qui groove méchamment bien.
Autre grand moment de déconne avec « Tootin’ star » et son harmonica ‘électrique’ qui vous ferons remuer votre arrière train jusqu'à plus soif !
Nous somme à la fin et celle ci se nomme « Fumblefoot and busy bee » un titre aux relents western fort prononcés. Un dernier petit délire qui donne encore plus d’excentricité à un album qui n'en manquait pas.
Conclusion : voilà un bien bon album très sympa qui met le feu. Si vous voulez faire la fête c’est ce qu’il vous faut. Ah découvrir si vous aimez le bon rock.
Bonne ambiance pour le remuant « Hypermobile » qui annonce la couleur : ça va déchirer !! Dès ce premier titre on sent le groupe en très grande forme Andy McCoy riff fort et Michael Monroe balance la sauce de sa voix rock. « Street poetry » est un hommage à un SDF Londonien sur fond de bon hard bluesy. Ah la la quelle bonne musique. Un bon mid tempo plutôt rock.
« Fashion » débarque dans une espèce de rock aux consonances musique Hawaïenne. Une drôlerie qui passe d’enfer et montre de bien bonnes idées guitaristiques de Monreo. Le refrain est de suite mémorisable tellement il est efficace. « Highwired » se veut plus conventionnel mais diaboliquement efficace. Le refrain est une offrande aux fans pour le live. Intro toute en percussions pour « Power of persuation ». Un super bon hard mélodique décapant qui donne la pêche.
Ambiance festive avec « Teenage revolution » qui met le feu, on retombe il y a fort longtemps en arrière avec tout ça. « Worth your weight in gold » débarque avec son joli saxophone et donne un bien bon titre entre douceur et bon rock ravageur. Quand on parle de rock ravageur « Transcendental groove » est là pour vous servir. Le titre le plus rock de cette galette. Michael McCoy distille un chant aux différentes sonorités plutôt colorées.
Le rock est définitivement l’essence même de ce combos qui nous le prouve encore avec « This one’s for rock n roll » qui comme son titre l’indique est du pur du dur. Depuis quelques titres je ne peux m’empêcher de penser à ce que fait actuellement le maître de l’Horreur : Alice Cooper.
« Powertrip » va vous prendre à la gorge avec son hard qui pulse à fond ! un petit must qui rappelle les Guns N Roses : du très grand. On passe à du plus suave avec « Walkin’ away » qui change complètement de vision. Un moment plus cool qui groove méchamment bien.
Autre grand moment de déconne avec « Tootin’ star » et son harmonica ‘électrique’ qui vous ferons remuer votre arrière train jusqu'à plus soif !
Nous somme à la fin et celle ci se nomme « Fumblefoot and busy bee » un titre aux relents western fort prononcés. Un dernier petit délire qui donne encore plus d’excentricité à un album qui n'en manquait pas.
Conclusion : voilà un bien bon album très sympa qui met le feu. Si vous voulez faire la fête c’est ce qu’il vous faut. Ah découvrir si vous aimez le bon rock.
Critique : Guillaume
Note : 7.5/10
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