Chronique
ARCH ENEMY - RISE OF THE TYRANT / Century Media 2007
Nouvel opus du combo de death mélodique, Arch Enemy nous propose là un album bien plus aboutit, avec au passage le retour à la formation ‘initiale’ ; je veux dire par là que les deux frères Amott sont de retour.
L’album attaque fort. Une sirène retenti au début de « Blood on your hands » annonçant un déluge de riffs et une Angela énervée. Les fûts sont frappés, les cordes sifflent et Angela pose son timbre si particulier pour une femme : lourd et agressif. J’adore ! Le premier couplet revient plus vers un heavy mélodique ce qui donne encore plus d’intérêt car les styles se mélangent bien. Nouveau déluge avec « The last enemy » qui part encore plus violemment et avec plus de rapidité. Des riffs agressifs qui font headbanguer sans cesse, un une ligne de chant accrocheuse et couillu.
« I will live again » change d’optique et arrive avec le synthé et manière un peu plus posée. Au moment de la montée, la mélodie l’emporte sur la lourdeur. Un morceau plus calme que les deux précédents mais qui ne reste en aucun cas mou de genou ! Retour aux sources avec « In this shallow grave » qui ferait sortir des morts de leur tombe pour les faire sauter de partout. Les frère Amott nous font des couplets d’enfer avec leurs guitares.
« Revolution begins » se pointe avec un Daniel Erlandsson bien en place derrières ses fûts qui sonnent bien. Accalmie pour rentrer dans une ambiance lourde mais mélodique. Un paradoxe qui passe quai inaperçu aux vues des performances des musiciens et de l’écriture du morceau.
Au tour du title track maintenant. Ce « Ryse of the tyrant » arrive avec une voix déclarant la guerre (Hitler?!) avec des soldats ou un peuple criant ‘Hi !’. Break et tout s’embrase pour arriver dans un morceau puissant et bien sombre avec une guitare de niai. L’annihilation est là, rien que pour vous ! Alors là, l’intro de « The day you died » est monstrueuse. Elle sonne d’enfer, rentre dans la tête et ne te quitte plus. La suite reste bien ancrée aussi, avec des mélodies bien efficaces et directes (Michael), accompagnées par un lead guitar (Christopher). Une bombe ce morceau.
Un petit morceau instrumental histoire de nous satisfaire un peu plus ? Et bien c’est fait avec ce « Intermezzo Liberté ». Une guitare acoustique et une lead pendant presque trois minutes, avec un peu de batterie pour donner de la puissance : énorme. Retour aux normes et la puissance avec « Night falls fast ». Les ténèbres ne sont pas loin et ça ce sent car les musiciens mettent toutes leurs tripes en jouant de leurs instruments respectifs. Un peu de chœurs façon Era pour lancer « The great darknesss » mais vous vous en douter, rien de bien joyeux, mais plutôt de la dynamite en barre. Les chœurs sont de retour sur le refrain ce qui donne une dimension encore plus apocalyptique de la chanson : terrible.
L’album se termine sur « Vultures » avec une intro guitare présentant un duel entre les frères Amott. C’est vraiment énorme. Coup de speed pour rentrer en plein dans le morceau final qui une nouvelle fois vous fera péter les plombs.
Conclusion : un album d’enfer. Une fois la machine lancée on ne peut l’arrêter. On se doit de l’écouter d’un trait ! Même les non fans de ce style de musique (comme moi) aimeront l’album. Une bonne claque qui fait du bien.
L’album attaque fort. Une sirène retenti au début de « Blood on your hands » annonçant un déluge de riffs et une Angela énervée. Les fûts sont frappés, les cordes sifflent et Angela pose son timbre si particulier pour une femme : lourd et agressif. J’adore ! Le premier couplet revient plus vers un heavy mélodique ce qui donne encore plus d’intérêt car les styles se mélangent bien. Nouveau déluge avec « The last enemy » qui part encore plus violemment et avec plus de rapidité. Des riffs agressifs qui font headbanguer sans cesse, un une ligne de chant accrocheuse et couillu.
« I will live again » change d’optique et arrive avec le synthé et manière un peu plus posée. Au moment de la montée, la mélodie l’emporte sur la lourdeur. Un morceau plus calme que les deux précédents mais qui ne reste en aucun cas mou de genou ! Retour aux sources avec « In this shallow grave » qui ferait sortir des morts de leur tombe pour les faire sauter de partout. Les frère Amott nous font des couplets d’enfer avec leurs guitares.
« Revolution begins » se pointe avec un Daniel Erlandsson bien en place derrières ses fûts qui sonnent bien. Accalmie pour rentrer dans une ambiance lourde mais mélodique. Un paradoxe qui passe quai inaperçu aux vues des performances des musiciens et de l’écriture du morceau.
Au tour du title track maintenant. Ce « Ryse of the tyrant » arrive avec une voix déclarant la guerre (Hitler?!) avec des soldats ou un peuple criant ‘Hi !’. Break et tout s’embrase pour arriver dans un morceau puissant et bien sombre avec une guitare de niai. L’annihilation est là, rien que pour vous ! Alors là, l’intro de « The day you died » est monstrueuse. Elle sonne d’enfer, rentre dans la tête et ne te quitte plus. La suite reste bien ancrée aussi, avec des mélodies bien efficaces et directes (Michael), accompagnées par un lead guitar (Christopher). Une bombe ce morceau.
Un petit morceau instrumental histoire de nous satisfaire un peu plus ? Et bien c’est fait avec ce « Intermezzo Liberté ». Une guitare acoustique et une lead pendant presque trois minutes, avec un peu de batterie pour donner de la puissance : énorme. Retour aux normes et la puissance avec « Night falls fast ». Les ténèbres ne sont pas loin et ça ce sent car les musiciens mettent toutes leurs tripes en jouant de leurs instruments respectifs. Un peu de chœurs façon Era pour lancer « The great darknesss » mais vous vous en douter, rien de bien joyeux, mais plutôt de la dynamite en barre. Les chœurs sont de retour sur le refrain ce qui donne une dimension encore plus apocalyptique de la chanson : terrible.
L’album se termine sur « Vultures » avec une intro guitare présentant un duel entre les frères Amott. C’est vraiment énorme. Coup de speed pour rentrer en plein dans le morceau final qui une nouvelle fois vous fera péter les plombs.
Conclusion : un album d’enfer. Une fois la machine lancée on ne peut l’arrêter. On se doit de l’écouter d’un trait ! Même les non fans de ce style de musique (comme moi) aimeront l’album. Une bonne claque qui fait du bien.
Critique : Lionel
Note : 9.5/10
Site du groupe : Site officiel de Arch Enemy
Vues : 5738 fois