Chronique
GARY HUGHES - VERITAS / Frontiers records 2007
Connu pour son travail, avec entre autres, le groupe Ten et Bob Catley (Magnum), Gary Hughes revient nous présenter son 4ème album solo.
On commence par « Veritas » et déjà, première chose qui choque, c’est la production un tantinet étouffée, sinon niveau musique on a affaire à du rock mélodique sans grand intérêt.
Si vous connaissez ce style eh bien là vous prenez tous les ingrédients et les rajoutés les uns derrière les autres et voici cette première chanson. « See love through my eyes » poursuit avec pas forcément plus d’intérêt. De plus la voix de Gary n’apporte rien, aucune émotion, pas un iota d’émoi.
« In my head » débute doucement et nous on s’emmerde grave!! Rien mais alors il n’y a absolument rien à garder ici. Un petit piano pour introniser « Time to pray » et cette voix qui en plus pour ne pas arranger est si monotone, on dirait qu’il chante tous ses morceaux pareils, d’un lassant !!
La première ballade n’y changera rien, « Wide awake in dreamland » est comme le reste dénuée de tout intérêt. « I pray for you » poursuit avec plus de rythme et un esprit très 80’s, mais le résultat est mou, c’est aseptisé au maximum. Quelques voix de petites filles sur l’intro de « Synchronicity » histoire de créer en vous une émotion (encore raté !) pour 8 minutes d’emmerdes sincères !!
Le métier de chroniqueur est un dur métier par moment car sur un album pareil il faut aller jusqu’au bout avec toujours l’espoir d’y trouver un, oui, juste un titre de bien et donc après être revenu des 8, trop longues minutes place à « Strange » et son rythme limite viril comme un Village People ! Les nerfs prennent le dessus avant « All i want is you » que je pourrais dédicacer à Gary car là je n’ai qu’une envie, c’est le décapiter, l’étrangler pour le supplice subit.
Si cette ballade vous a fait de l’effet (même une pucelle en manque, fan de Tokio Hotel restera insensible) Gary a pensé à vous et vous offre un « I know it’s time » qui rock fort et vous fera bouger du cul (moi pareil j’ai quitté la pièce où ce satané cd passe !).
« The emerald sea » débute, le cœur n’y est plus depuis bien longtemps (mais l'a-t-il été durant tout l’album ?) et malgré son côté enthousiaste rien ne sort de plus !
Et là enfin, oui enfin le dernier titre : « The everlasting light ». Une ballade mièvre comme un chant de noël sur laquelle Gary donne toutes ses émotions ! Que c’est beau ! 65 minutes d’une intensité digne d’un escargot en plein sommeil qui me fait dire que de temps gâché !!
Conclusion : voilà un album à oublier rapidement. Si vous n’avez pas encore compris ici il n’y a rien à retenir. Un échec qui n’aurait même pas mérité d’exister !!
On commence par « Veritas » et déjà, première chose qui choque, c’est la production un tantinet étouffée, sinon niveau musique on a affaire à du rock mélodique sans grand intérêt.
Si vous connaissez ce style eh bien là vous prenez tous les ingrédients et les rajoutés les uns derrière les autres et voici cette première chanson. « See love through my eyes » poursuit avec pas forcément plus d’intérêt. De plus la voix de Gary n’apporte rien, aucune émotion, pas un iota d’émoi.
« In my head » débute doucement et nous on s’emmerde grave!! Rien mais alors il n’y a absolument rien à garder ici. Un petit piano pour introniser « Time to pray » et cette voix qui en plus pour ne pas arranger est si monotone, on dirait qu’il chante tous ses morceaux pareils, d’un lassant !!
La première ballade n’y changera rien, « Wide awake in dreamland » est comme le reste dénuée de tout intérêt. « I pray for you » poursuit avec plus de rythme et un esprit très 80’s, mais le résultat est mou, c’est aseptisé au maximum. Quelques voix de petites filles sur l’intro de « Synchronicity » histoire de créer en vous une émotion (encore raté !) pour 8 minutes d’emmerdes sincères !!
Le métier de chroniqueur est un dur métier par moment car sur un album pareil il faut aller jusqu’au bout avec toujours l’espoir d’y trouver un, oui, juste un titre de bien et donc après être revenu des 8, trop longues minutes place à « Strange » et son rythme limite viril comme un Village People ! Les nerfs prennent le dessus avant « All i want is you » que je pourrais dédicacer à Gary car là je n’ai qu’une envie, c’est le décapiter, l’étrangler pour le supplice subit.
Si cette ballade vous a fait de l’effet (même une pucelle en manque, fan de Tokio Hotel restera insensible) Gary a pensé à vous et vous offre un « I know it’s time » qui rock fort et vous fera bouger du cul (moi pareil j’ai quitté la pièce où ce satané cd passe !).
« The emerald sea » débute, le cœur n’y est plus depuis bien longtemps (mais l'a-t-il été durant tout l’album ?) et malgré son côté enthousiaste rien ne sort de plus !
Et là enfin, oui enfin le dernier titre : « The everlasting light ». Une ballade mièvre comme un chant de noël sur laquelle Gary donne toutes ses émotions ! Que c’est beau ! 65 minutes d’une intensité digne d’un escargot en plein sommeil qui me fait dire que de temps gâché !!
Conclusion : voilà un album à oublier rapidement. Si vous n’avez pas encore compris ici il n’y a rien à retenir. Un échec qui n’aurait même pas mérité d’exister !!
Critique : Guillaume
Note : 3/10
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