Chronique
MAGICA - HEREAFTER / Afm Records 2007
Ayant découvert Magica en 2004 avec leur album « Lightseeker » (très bon album d’ailleurs), c’est avec une grande curiosité que je me lance dans la découverte de ce nouvel album, venu tout droit de Roumanie.
Tout commence par une superbe intro au piano pour « All waters have the colour of drowing » ; morceau choisi pour faire le clip vidéo. Les autres instruments rentrent en scène et peu de temps après, Ana vient poser sa voix sur ce morceau de prog mélodique. L’ambiance est pas mal, mais j’avoue que j’ai un peu de mal à accrocher. Arrivée plus heavy mais toujours aussi mélodique pour « Turn the stone » qui vire au metal technique, avec des contre temps un peu partout, avant de revenir dans un morceau assez puissant avec un bon refrain.
L’influence Nightwish n’est pas très loin sur ce titre qu’est « Through wine ». Les guitares envoient bien et le clavier aussi. Niveau chant, c’est orienté lyrique. La chanson passe bien, sur le couplet la batterie envoie bien des pieds. On reste dans la même ambiance avec « No matter what ». Seule la ligne de clavier nous fait penser à un autre morceau…
Pour « Entangled », l’intro se fait au piano (merci 6fingers !). S’en suit une montée vers un ensemble plus puissant. Tout se coupe et nous entrons vers un mid tempo un stylé Doro (Für Immer).
« This is who I am » s’embarque dans une ambiance plus racée et plus vive que les titres précédents. Ca fait du bien il faut le dire. On retrouve un peu l’ambiance de l’album précédent. On continue avec « Weight of the world » qui là encore ne dénotera pas du morceau précédent. Le heavy revient à la charge sur « Energy of the gods ». Ca pulse pas mal et me fait headbanguer (première fois dans l’album !). Le morceau se démarque un peu du reste avec ses riffs plus agressifs, et un chant masculin de temps à autre. Yes !
« Shallow grave » arrive quand à elle avec la basse et le synthé. Ca change certes, mais ce n’est pas encore ça car musicalement rien d’original. Le morceau suivant « I remember a day » attaque avec un solo synthé façon ‘Fantasmic’ de Nightwish, puis reprend le rythme longiligne de l’album. On termine la rondelle avec « Into silence » qui est la ballade de l’album, et aussi le morceau à retenir. Un duo clavier / chant très jolie et qui vous fera du bien après l’écoute de l’album.
Conclusion : on aurait pu croire à une histoire sans fin avec tous ces morceaux dont on ne voit plus la fin de par leur unité. Le final se fait en douceur et de bonne manière. L’album n’est pas mauvais mais il manque d’originalité et de variété.
Tout commence par une superbe intro au piano pour « All waters have the colour of drowing » ; morceau choisi pour faire le clip vidéo. Les autres instruments rentrent en scène et peu de temps après, Ana vient poser sa voix sur ce morceau de prog mélodique. L’ambiance est pas mal, mais j’avoue que j’ai un peu de mal à accrocher. Arrivée plus heavy mais toujours aussi mélodique pour « Turn the stone » qui vire au metal technique, avec des contre temps un peu partout, avant de revenir dans un morceau assez puissant avec un bon refrain.
L’influence Nightwish n’est pas très loin sur ce titre qu’est « Through wine ». Les guitares envoient bien et le clavier aussi. Niveau chant, c’est orienté lyrique. La chanson passe bien, sur le couplet la batterie envoie bien des pieds. On reste dans la même ambiance avec « No matter what ». Seule la ligne de clavier nous fait penser à un autre morceau…
Pour « Entangled », l’intro se fait au piano (merci 6fingers !). S’en suit une montée vers un ensemble plus puissant. Tout se coupe et nous entrons vers un mid tempo un stylé Doro (Für Immer).
« This is who I am » s’embarque dans une ambiance plus racée et plus vive que les titres précédents. Ca fait du bien il faut le dire. On retrouve un peu l’ambiance de l’album précédent. On continue avec « Weight of the world » qui là encore ne dénotera pas du morceau précédent. Le heavy revient à la charge sur « Energy of the gods ». Ca pulse pas mal et me fait headbanguer (première fois dans l’album !). Le morceau se démarque un peu du reste avec ses riffs plus agressifs, et un chant masculin de temps à autre. Yes !
« Shallow grave » arrive quand à elle avec la basse et le synthé. Ca change certes, mais ce n’est pas encore ça car musicalement rien d’original. Le morceau suivant « I remember a day » attaque avec un solo synthé façon ‘Fantasmic’ de Nightwish, puis reprend le rythme longiligne de l’album. On termine la rondelle avec « Into silence » qui est la ballade de l’album, et aussi le morceau à retenir. Un duo clavier / chant très jolie et qui vous fera du bien après l’écoute de l’album.
Conclusion : on aurait pu croire à une histoire sans fin avec tous ces morceaux dont on ne voit plus la fin de par leur unité. Le final se fait en douceur et de bonne manière. L’album n’est pas mauvais mais il manque d’originalité et de variété.
Critique : Lionel
Note : 5/10
Site du groupe : Site officiel de Magica
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