Chronique
LANA LANE - RED PLANET BOULEVARD / Frontiers Records 2007
Ayant découvert Lana Lane avec son précédent « Lady MacBeth », la surprise avait était de bonne augure et ce n’est pas sans interrogations que je me lance à la découverte de cette nouvelle rondelle nommée « Red Planet Boulevard ».
La découverte débute avec « Into the fire » qui se voit être bien rock mais toujours avec cette grâce due à la voix de Lana. Un morceau à la structure basique mais qui accroche l’auditeur immédiatement. Les guitares et la batterie (bien frappée) s’occupent de lancer « The frozen sea ». Cette intro passée, on retourne dans un passage calme et mélodique avant de rebondir sur des riffs agressifs calés sur ce mid-tempo. Retour au bon heavy mélodique avec « Capture the sun ». Rien que le début de la chanson fait saliver. Entre mélodie et puissance, l’auditeur sera plus que satisfait ; et quand la dame pose sa voix, le tout se sublime. Le couplet instrumental, avec le synthé en lead, est fort agréable rappelant un peu Jean Michel Jarre.
Au tour de la ballade avec « Jessica ». Décidément ces filles nous font tourner en bourrique et nous mènent par le bout du nez de par leur beauté et leur douceur (pour la plupart…). Changement total d’ambiance avec « Stepford, Usa » qui se voit être plus uptempo avec un mur de guitare et un peu moins de clavier.
Arrivée rock alternant guitare et batterie pour « Shine » histoire de préparer un morceau mélodique et assez rock pour nous faire bouger mais sans aller dans l’extrême. Le début de « Lazy Summer day » ne se voit pas trompeur. On croirait partir dans une jolie ballade issue du film ‘Grease’ avec la jolie Olivia Newton John et John Travolta…. Le duo aurait était bien venu à mon avis sur ce titre même si la chaleureuse voix de Lana suffit.
Nouveau morceau posé avec « No tears left » qui pourrait se glisser un peu partout, dans les baladeurs et postes de tout le monde tellement se titre se voit être commercial. « Save the world » change de registre et arrive avec plus de lourdeur, le côté lourd et rock reprenant les devants sans pour autant que cela ne s’embrase comme un feu follet. Là par contre, le côté hard rock de Lana reprend les devant sur « Angels and Magicians », mais il manque un quelque chose pour finaliser le tout.
Pour enfoncer le clou niveau sensations avec les ballades, Lana nous propose « The sheltering sorrow » qui se voit plus épique que « Jessica », et nous berce lentement. On finit l’album avec le title track « Red Planet Boulevard » qui se voit être une pièce épique de huit minutes rempli de puissance et de vigueur. Une belle intro avec la guitare en lead faisant résonner les notes avant de rentrer dans une ambiance rock, qui s’alternera avec une ambiance mélangeant funk et rock, le tout appuyé par un bon clavier. Par la suite cela sera un échange de talent entre musiciens pour savoir lequel offrira la plus belle partie du morceau. Un final instrumental formidablement bon !
Conclusion : ce nouvel album reste bon mais il manque un peu de peps par rapport au « Lady MacBeth ». Quoi qu’il en soit, écouter la vox de Lana est toujours un vrai plaisir, et le final de cet album est magnifique.
La découverte débute avec « Into the fire » qui se voit être bien rock mais toujours avec cette grâce due à la voix de Lana. Un morceau à la structure basique mais qui accroche l’auditeur immédiatement. Les guitares et la batterie (bien frappée) s’occupent de lancer « The frozen sea ». Cette intro passée, on retourne dans un passage calme et mélodique avant de rebondir sur des riffs agressifs calés sur ce mid-tempo. Retour au bon heavy mélodique avec « Capture the sun ». Rien que le début de la chanson fait saliver. Entre mélodie et puissance, l’auditeur sera plus que satisfait ; et quand la dame pose sa voix, le tout se sublime. Le couplet instrumental, avec le synthé en lead, est fort agréable rappelant un peu Jean Michel Jarre.
Au tour de la ballade avec « Jessica ». Décidément ces filles nous font tourner en bourrique et nous mènent par le bout du nez de par leur beauté et leur douceur (pour la plupart…). Changement total d’ambiance avec « Stepford, Usa » qui se voit être plus uptempo avec un mur de guitare et un peu moins de clavier.
Arrivée rock alternant guitare et batterie pour « Shine » histoire de préparer un morceau mélodique et assez rock pour nous faire bouger mais sans aller dans l’extrême. Le début de « Lazy Summer day » ne se voit pas trompeur. On croirait partir dans une jolie ballade issue du film ‘Grease’ avec la jolie Olivia Newton John et John Travolta…. Le duo aurait était bien venu à mon avis sur ce titre même si la chaleureuse voix de Lana suffit.
Nouveau morceau posé avec « No tears left » qui pourrait se glisser un peu partout, dans les baladeurs et postes de tout le monde tellement se titre se voit être commercial. « Save the world » change de registre et arrive avec plus de lourdeur, le côté lourd et rock reprenant les devants sans pour autant que cela ne s’embrase comme un feu follet. Là par contre, le côté hard rock de Lana reprend les devant sur « Angels and Magicians », mais il manque un quelque chose pour finaliser le tout.
Pour enfoncer le clou niveau sensations avec les ballades, Lana nous propose « The sheltering sorrow » qui se voit plus épique que « Jessica », et nous berce lentement. On finit l’album avec le title track « Red Planet Boulevard » qui se voit être une pièce épique de huit minutes rempli de puissance et de vigueur. Une belle intro avec la guitare en lead faisant résonner les notes avant de rentrer dans une ambiance rock, qui s’alternera avec une ambiance mélangeant funk et rock, le tout appuyé par un bon clavier. Par la suite cela sera un échange de talent entre musiciens pour savoir lequel offrira la plus belle partie du morceau. Un final instrumental formidablement bon !
Conclusion : ce nouvel album reste bon mais il manque un peu de peps par rapport au « Lady MacBeth ». Quoi qu’il en soit, écouter la vox de Lana est toujours un vrai plaisir, et le final de cet album est magnifique.
Critique : Lionel
Note : 8/10
Site du groupe : Myspace de Frontiers records
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