Chronique
GARY JOHN BARDEN - LOVE & WAR / Escape music 2007
Un an après un excellent 2eme solo, le grand Gary Barden revient pour enfoncer le clou. Accompagné par Michael Voss avec qui il avait joué dans Silver, découvrons vite cette galette 100% Hard rock.
Dès l’intro de « Creatures of the night » on est plongé dans un hard rock plutôt bien engagé. Un mid tempo rythmé qui pulse bien et démontre la verve encore actuelle de Gary. Le refrain au faux air d’Accept est plutôt bien trouvé. Bref un très bon départ. Avec « Unchain me » on a affaire à un titre plus lourd mais toujours de très bonne qualité et mélodique. Gary débarque et on est plongé en plein 80’s avec son timbre à la David Lee Roth et les relents de MSG, que du bonheur. Cette fois ci le refrain est plus conventionnel mais efficace.
« When the lovin’ die » poursuit dans la même lignée avec toujours autant d’ardeur. Il est vrai que la plupart des titres repose sur des mid tempo mais c’est bien dans ces rythmes là que Gary est fort, alors pourquoi se plaindre. En plus « Last samurai » dépote bien plus. Un très bon titre qui fera effet sur scène. La guitare un peu plus incisive tout comme la voix de Gary qui ose se mettre en danger.
Avec « You » on a affaire à un véritable single en puissance (d’ailleurs il a été utilisé pour représenter l’album par certains magazines Français). Ultra mélodique et calibré un vrai régal pour les oreilles. Quelques notes du pays du soleil levant pour « Dragon’s fire » très envoûtante avant de poursuivre sur un nouveau mid tempo bien rock. Encore une fois que de bonnes choses.
On reprend un rythme plus soutenu avec « Voices in the rain ». Celle là aussi en live elle va dépoter, puis « Love lost » reprend le gros mid tempo mélodique qui donne un peu l’impression qu’on tourne en rond mais bon… c’est tellement bon de réentendre cette voix magique qu’on oublie.
Place à une petite reprise du groupe Sweet avec « Burn on the flame » qui envoie grave. Un moment d’éclate total, rythmé et bien rock que du bonheur. Riff imposant pour le hard rock « Déjà vu » qui sonne très 80’s. Un bon moment en perspective au refrain entêtant.
Pour conclure une petite ballade « In love & war » vient bercer l’auditeur dans un exercice loin d’être mièvre. Un dernier moment doux et réussit.
Conclusion : voici un 3eme album bien cool, certes plus calibré que son prédécesseur mais ce War & Love reste un très bon moment pour tous fans de bon hard rock mélodique et les nostalgiques des 80’s.
Dès l’intro de « Creatures of the night » on est plongé dans un hard rock plutôt bien engagé. Un mid tempo rythmé qui pulse bien et démontre la verve encore actuelle de Gary. Le refrain au faux air d’Accept est plutôt bien trouvé. Bref un très bon départ. Avec « Unchain me » on a affaire à un titre plus lourd mais toujours de très bonne qualité et mélodique. Gary débarque et on est plongé en plein 80’s avec son timbre à la David Lee Roth et les relents de MSG, que du bonheur. Cette fois ci le refrain est plus conventionnel mais efficace.
« When the lovin’ die » poursuit dans la même lignée avec toujours autant d’ardeur. Il est vrai que la plupart des titres repose sur des mid tempo mais c’est bien dans ces rythmes là que Gary est fort, alors pourquoi se plaindre. En plus « Last samurai » dépote bien plus. Un très bon titre qui fera effet sur scène. La guitare un peu plus incisive tout comme la voix de Gary qui ose se mettre en danger.
Avec « You » on a affaire à un véritable single en puissance (d’ailleurs il a été utilisé pour représenter l’album par certains magazines Français). Ultra mélodique et calibré un vrai régal pour les oreilles. Quelques notes du pays du soleil levant pour « Dragon’s fire » très envoûtante avant de poursuivre sur un nouveau mid tempo bien rock. Encore une fois que de bonnes choses.
On reprend un rythme plus soutenu avec « Voices in the rain ». Celle là aussi en live elle va dépoter, puis « Love lost » reprend le gros mid tempo mélodique qui donne un peu l’impression qu’on tourne en rond mais bon… c’est tellement bon de réentendre cette voix magique qu’on oublie.
Place à une petite reprise du groupe Sweet avec « Burn on the flame » qui envoie grave. Un moment d’éclate total, rythmé et bien rock que du bonheur. Riff imposant pour le hard rock « Déjà vu » qui sonne très 80’s. Un bon moment en perspective au refrain entêtant.
Pour conclure une petite ballade « In love & war » vient bercer l’auditeur dans un exercice loin d’être mièvre. Un dernier moment doux et réussit.
Conclusion : voici un 3eme album bien cool, certes plus calibré que son prédécesseur mais ce War & Love reste un très bon moment pour tous fans de bon hard rock mélodique et les nostalgiques des 80’s.
Critique : Guillaume
Note : 7.5/10
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