Chronique
SCORPIONS - LIVE AT WACKEN OPEN AIR 2006 A night to remember A journey through time / Sony Bmg
Voilà bien un concert qui se devait de sortir en Dvd, car le show de Scorpions au Wacken Open Air en 2006 fut l’occasion de réunir les anciens membres de la bête. Ainsi Uli Jon Roth, Herman Rarebell et Michael Schenker sont venus rejoindre leurs anciens compagnons le temps d’une nuit.
Que dire de ce concert, commençons par la set list, celle-ci est monstrueuse, bien évidemment elle renferme la plus grande majorité des tubes des Allemands (Bad boys running wild, The zoo, Holyday, Blackout, Big city night, Still loving you, Rock you like a hurrican) ainsi que certains parfois moins connus (Make it real, Loving you Sunday morning, Tease me please me, Can’t get enough) et surtout des chansons un poils oubliées (Coming home, Don’t belive her, Lovedrive, No one like you, In trance).
Niveau son, rien à dire, puissant, clair, un pur régal, l’image elle aussi est délicieusement soignée pleine de couleurs et d’images diverses, le montage ne souffre d’aucun soucis, bref de ces côtés là c’est parfait.
Le groupe lui est très en forme et pas une baisse de régime durant les 3 heures de concert. Rudolf nous dévoile sa belle collection de Flying V, parcourt la scène de long en large et nous ressort même le déguisement de la pochette de « Blackout » : Terrible. Klause Meine assure très fort sa voix et encore très bien conservée et donne le plein de satisfaction, Matthias assure lui aussi, tout comme James Kottak qui se déchaîne derrière son kit de batterie. Seul Pawel Maciwoda est plus discret.
Place au grand moment de la soirée : les invités. Le premier à entrer en scène est Uli Jon Roth, qui ne passe pas inaperçu avec sa dégaine et surtout sa Transcendantal Sky Guitare. L’Homme vient pour 3 titres, qui pour certains n’ont pas été joués depuis… fort longtemps, « Picture life » « Speedy’s coming » et « Well burn the sky » qui me mettent la larme à l’œil (c’est ma période préférée du groupe !!). Ici rien à dire la grande classe Uli Jon est toujours un formidable soliste.
Deuxième invité, le grand Michael Schenker que je vénère qui vient pour l’instrumentale « Coast to coast », « Holyday », « Lovedrive » et « Another piece of meat ». Là par contre malheureusement il y a des reproches… 1, l’homme est timide, bon c’est pas un immense défaut non plus, mais je ne comprend pas pourquoi il ne réalise pas le solo de « Coast to coast », 2, pour les autres solo (ceux qu’il exécute donc) on ne le montre pas !! La caméra préfère filmer les autres musiciens que Michael en plein effort why !!??
Bref un peu déçu sur ce coup là.
3eme et dernier invité, Herman Rarrebell qui lui se contente de deux titres « Blackout » et « No one like you ». Bien mais finalement un peu court.
Pour le premier rappel, après un légendaire "Still Loving you" le groupe invite tout le monde pour un « In trance » d’anthologie, puis un « Bolero » de Ravel avec un Rudolf qui arrive sur scène tel un animal puis fait le poirier pendant deux bonnes minutes : époustouflant. A 59 ans il a rien d’autre à foutre.
On termine ce spectacle par un « Rock you like a hurrican » Dévastateur qui comblera tout le monde.
Au niveau des reproches il y en a pas beaucoup, bon j’en ai déjà dit un, on va pas y revenir, par contre, le solo de batterie de James est vraiment trop long !! Dernière chose il manque quelques titres qui ont étaient jouer ce soir là (Dark Lady, He’s a women she’s a man, In search of piece of mind et Dynamite). Voilà c’est tout dit.
Conclusion : un Dvd énorme, un groupe qui assure comme toujours, des invités grandioses, bref un grand moment de musique qui ne vous fera rien regretter et qui vous rappelera que de bons souvenirs.
Que dire de ce concert, commençons par la set list, celle-ci est monstrueuse, bien évidemment elle renferme la plus grande majorité des tubes des Allemands (Bad boys running wild, The zoo, Holyday, Blackout, Big city night, Still loving you, Rock you like a hurrican) ainsi que certains parfois moins connus (Make it real, Loving you Sunday morning, Tease me please me, Can’t get enough) et surtout des chansons un poils oubliées (Coming home, Don’t belive her, Lovedrive, No one like you, In trance).
Niveau son, rien à dire, puissant, clair, un pur régal, l’image elle aussi est délicieusement soignée pleine de couleurs et d’images diverses, le montage ne souffre d’aucun soucis, bref de ces côtés là c’est parfait.
Le groupe lui est très en forme et pas une baisse de régime durant les 3 heures de concert. Rudolf nous dévoile sa belle collection de Flying V, parcourt la scène de long en large et nous ressort même le déguisement de la pochette de « Blackout » : Terrible. Klause Meine assure très fort sa voix et encore très bien conservée et donne le plein de satisfaction, Matthias assure lui aussi, tout comme James Kottak qui se déchaîne derrière son kit de batterie. Seul Pawel Maciwoda est plus discret.
Place au grand moment de la soirée : les invités. Le premier à entrer en scène est Uli Jon Roth, qui ne passe pas inaperçu avec sa dégaine et surtout sa Transcendantal Sky Guitare. L’Homme vient pour 3 titres, qui pour certains n’ont pas été joués depuis… fort longtemps, « Picture life » « Speedy’s coming » et « Well burn the sky » qui me mettent la larme à l’œil (c’est ma période préférée du groupe !!). Ici rien à dire la grande classe Uli Jon est toujours un formidable soliste.
Deuxième invité, le grand Michael Schenker que je vénère qui vient pour l’instrumentale « Coast to coast », « Holyday », « Lovedrive » et « Another piece of meat ». Là par contre malheureusement il y a des reproches… 1, l’homme est timide, bon c’est pas un immense défaut non plus, mais je ne comprend pas pourquoi il ne réalise pas le solo de « Coast to coast », 2, pour les autres solo (ceux qu’il exécute donc) on ne le montre pas !! La caméra préfère filmer les autres musiciens que Michael en plein effort why !!??
Bref un peu déçu sur ce coup là.
3eme et dernier invité, Herman Rarrebell qui lui se contente de deux titres « Blackout » et « No one like you ». Bien mais finalement un peu court.
Pour le premier rappel, après un légendaire "Still Loving you" le groupe invite tout le monde pour un « In trance » d’anthologie, puis un « Bolero » de Ravel avec un Rudolf qui arrive sur scène tel un animal puis fait le poirier pendant deux bonnes minutes : époustouflant. A 59 ans il a rien d’autre à foutre.
On termine ce spectacle par un « Rock you like a hurrican » Dévastateur qui comblera tout le monde.
Au niveau des reproches il y en a pas beaucoup, bon j’en ai déjà dit un, on va pas y revenir, par contre, le solo de batterie de James est vraiment trop long !! Dernière chose il manque quelques titres qui ont étaient jouer ce soir là (Dark Lady, He’s a women she’s a man, In search of piece of mind et Dynamite). Voilà c’est tout dit.
Conclusion : un Dvd énorme, un groupe qui assure comme toujours, des invités grandioses, bref un grand moment de musique qui ne vous fera rien regretter et qui vous rappelera que de bons souvenirs.
Critique : Guillaume
Note : 9/10
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