Chronique
ROGER STAFFELBACH’ ANGEL OF EVEN - THE END OF NEVER / Lion music records 2007
Voici le premier album solo pourrait on dire de Mr Staffelbach, connu pour être le guitariste d’Artension. Et oui aujourd’hui l’homme a décidé après 7 albums de faire son propre projet, où il serait le maître et plus tapit dans l’ombre du géant Ukrainien Vitalij Kuprij.
Alors ce premier essai ?
Dès l’entame de « The end of never » on sait qu’on aura affaire à du métal néoclassique de grande classe. Le son est très puissant, Carsten ‘Lizard’ Schulz (Evidence one) nous propose une bonne voix puissante. Un début tonitruant qui passe plus que bien. Roger niveau guitare on ne s’en étonnera pas, démontre un fort talent. « Dreamchaser » débute sur des chœurs puis tout continue dans le même esprit mais cette fois-ci un peu moins rentre dedans. Certes rien d’original mais une bonne interprétation ravageuse.
Avec « Angel of eden » on lorgne plus vers le maître invétéré Yngwie J Malmsteen, pour un moment assez classique dans sa structure. Un titre plus soft qui poursuit bien l’album. « Return of the pharao part 1 » est une instrumentale plutôt réussie bien sûr hyper Noéclassique qui permet à Roger de faire étal de sa force. Un invité débarque pour « The battle 1836 ». John West (Artension, ex Royal Hunt) vient mettre son talent en oeuvre pour son ami sur un mid tempo plutôt heavy et là aussi réussit. La guerre est déclarée. En tous cas John assure vraiment bien dans un style pas évident.
« Into the black » reprend le côté tonitruant des débuts. Un titre sans plus malgré tout, un peu trop cliché. « Return of the pharao part 2 » est une interlude instrumentale fort jolie qui nous envoie sur « Keys to avalon » et ses relents FM bien sentis. Ici, il est vrai qu’on pense à beaucoup de monde tant cet exercice fut mainte fois repris. Force est de constater que ce titre est tout de même plaisant.
Retour de la tornade avec « Stampede » un titre speed qui ressemble à toutes les autres dans cette veine. La chanson la moins inspirée. Pour terminer « Towards the light » est un instrumental encore fort bien inspiré et réussit. Un très joli moment pour ainsi clôturer cet opus.
Conclusion : pour un premier essai c’est pas trop mal, l’expérience parle mais malheureusement il reste encore trop de clichés qu’il faudra éviter si Roger Staffelbach veut sortir de la masse. Reste un bien bon album de Néoclassique à conseiller aux fans de ce style.
Alors ce premier essai ?
Dès l’entame de « The end of never » on sait qu’on aura affaire à du métal néoclassique de grande classe. Le son est très puissant, Carsten ‘Lizard’ Schulz (Evidence one) nous propose une bonne voix puissante. Un début tonitruant qui passe plus que bien. Roger niveau guitare on ne s’en étonnera pas, démontre un fort talent. « Dreamchaser » débute sur des chœurs puis tout continue dans le même esprit mais cette fois-ci un peu moins rentre dedans. Certes rien d’original mais une bonne interprétation ravageuse.
Avec « Angel of eden » on lorgne plus vers le maître invétéré Yngwie J Malmsteen, pour un moment assez classique dans sa structure. Un titre plus soft qui poursuit bien l’album. « Return of the pharao part 1 » est une instrumentale plutôt réussie bien sûr hyper Noéclassique qui permet à Roger de faire étal de sa force. Un invité débarque pour « The battle 1836 ». John West (Artension, ex Royal Hunt) vient mettre son talent en oeuvre pour son ami sur un mid tempo plutôt heavy et là aussi réussit. La guerre est déclarée. En tous cas John assure vraiment bien dans un style pas évident.
« Into the black » reprend le côté tonitruant des débuts. Un titre sans plus malgré tout, un peu trop cliché. « Return of the pharao part 2 » est une interlude instrumentale fort jolie qui nous envoie sur « Keys to avalon » et ses relents FM bien sentis. Ici, il est vrai qu’on pense à beaucoup de monde tant cet exercice fut mainte fois repris. Force est de constater que ce titre est tout de même plaisant.
Retour de la tornade avec « Stampede » un titre speed qui ressemble à toutes les autres dans cette veine. La chanson la moins inspirée. Pour terminer « Towards the light » est un instrumental encore fort bien inspiré et réussit. Un très joli moment pour ainsi clôturer cet opus.
Conclusion : pour un premier essai c’est pas trop mal, l’expérience parle mais malheureusement il reste encore trop de clichés qu’il faudra éviter si Roger Staffelbach veut sortir de la masse. Reste un bien bon album de Néoclassique à conseiller aux fans de ce style.
Critique : Guillaume
Note : 7/10
Vues : 5728 fois