Chronique
ASIA - PHOENIX / Frontiers Records 2008
Plus de 25 ans après leur débuts, Asia le groupe mythique de rock mélodique revient avec sa formation d’origine (Steve Howe / John Wetton / Carl Palmer / Geoff Downe) histoire de nous prouver qu’ils en ont encore dans le ventre et qu’ils peuvent toujours nous régaler. Et bien écoutons ça… Le Phoenix est-il renaît de ses cendres ?
Un bon riff et un charley titillé pour lancer « Never again » juste avant que John ne vienne poser sa voix. Un mid tempo porteur au refrain bien mélodique et agréable. La veine des années 80 est bien encrée, appuyée par la traditionnelle ligne de claviers.
Les chœurs et une ambiance assez médiévale se chargent d’ouvrir « Nothing’s forever ». On aurait pu croire que le morceau allait s’emballer aux vues de l’intro mais non. C’est un morceau posé et enchanteur. Une douceur que se digère avec envie à travers cette voix si agréable et cette musique mélodique. Geoff se charge de démarrer « Heroine » avec son synthé en duo avec Steve. Le premier couplet donne la chaire de poule et la montée avec les orchestrations pour cette ballade donne encore plus de frissons et de dimension à ce morceau.
Un coup de gong annonce « Sleeping giant / No way back / Reprise ». Ici, seuls les instruments sont maîtres. Niveau vocal nous avons droit à quelques chœurs mais pas plus; cela suffit quand même à rendre cette première partie magnifique avant d’attaquer la seconde partie plus rock cette fois-ci, et avec du chant. Pour conclure ces huit minutes on reviendra sur l’ambiance de la première partie historie de nous apaiser.
Entre riffs et toms frappés pour l’intro, on se demande ce qui va arriver. Et bien « Alibis » arrive avec une joie impressionnante. Un morceau bien joyeux, qui donne la patate et qui fait bien plaisir. On sent parfaitement que nos quatre gars se font plaisir en écrivant et en jouant leurs morceaux.
Nouveau duo piano – chant pour ouvrir « I will remember you » qui se voit être une magnifique power ballade. Juste un conseil : prévoyez un moment tranquille avec votre moitié, allumez les bougies, éteignez la lumière et mettez cette chanson. Sensation assurée !
Reprise du rythme avec « Shadow of a doubt » qui une nouvelle fois, prouve avec le titre suivant « Parallel worlds / Vortex / Deya » que la formation américaine peut encore nous procurer d’énormes sensations de par leurs mélodies et leurs harmonies. Un vrai bonheur… et je vous raconte pas le frisson que l’on prend sur ‘Deya’. Ouf !
« Wish I did know all along » avec un peu de percus, et une ambiance un plus emballée, plus stylée Elton John, à la Nikita (en plus rock évidement). Le refrain claque bien, et sur scène il fera mouche c’est certain. Pour « Ochard of mines » la présentation se fait calmement, et restera aussi posée tout le long. Un nouveau moment calme mais tout aussi innovateur et porteur.
Steve se charge de lancer « Over and over » avec sa guitare. Cette fois-ci, le mid tempo revient à l’ordre du jour, et des pasage un peu plus orientaux se retentissent de temps à autres histoire de varier les plaisirs.
Pour finir l’album, c’est « Extraordinary life » qui a été choisie. Un bien bon morceau de rock mélodique qui donne une sacrée patate, avec les chœurs un peu partout mais tout en gardant le lead de John.
Conclusion : pour fêter leurs retrouvailles après 25 de séparation, la formation originelle d’Asia nous offre là une sacrée galette avec ce Phoenix. Ils ont réussi à renaître de leurs cendres (attention, les albums d’Asia qui ont été fait jusque là sont bien aussi), et l’album est une belle réussite sur tous les plans. Félicitations les gars !
Un bon riff et un charley titillé pour lancer « Never again » juste avant que John ne vienne poser sa voix. Un mid tempo porteur au refrain bien mélodique et agréable. La veine des années 80 est bien encrée, appuyée par la traditionnelle ligne de claviers.
Les chœurs et une ambiance assez médiévale se chargent d’ouvrir « Nothing’s forever ». On aurait pu croire que le morceau allait s’emballer aux vues de l’intro mais non. C’est un morceau posé et enchanteur. Une douceur que se digère avec envie à travers cette voix si agréable et cette musique mélodique. Geoff se charge de démarrer « Heroine » avec son synthé en duo avec Steve. Le premier couplet donne la chaire de poule et la montée avec les orchestrations pour cette ballade donne encore plus de frissons et de dimension à ce morceau.
Un coup de gong annonce « Sleeping giant / No way back / Reprise ». Ici, seuls les instruments sont maîtres. Niveau vocal nous avons droit à quelques chœurs mais pas plus; cela suffit quand même à rendre cette première partie magnifique avant d’attaquer la seconde partie plus rock cette fois-ci, et avec du chant. Pour conclure ces huit minutes on reviendra sur l’ambiance de la première partie historie de nous apaiser.
Entre riffs et toms frappés pour l’intro, on se demande ce qui va arriver. Et bien « Alibis » arrive avec une joie impressionnante. Un morceau bien joyeux, qui donne la patate et qui fait bien plaisir. On sent parfaitement que nos quatre gars se font plaisir en écrivant et en jouant leurs morceaux.
Nouveau duo piano – chant pour ouvrir « I will remember you » qui se voit être une magnifique power ballade. Juste un conseil : prévoyez un moment tranquille avec votre moitié, allumez les bougies, éteignez la lumière et mettez cette chanson. Sensation assurée !
Reprise du rythme avec « Shadow of a doubt » qui une nouvelle fois, prouve avec le titre suivant « Parallel worlds / Vortex / Deya » que la formation américaine peut encore nous procurer d’énormes sensations de par leurs mélodies et leurs harmonies. Un vrai bonheur… et je vous raconte pas le frisson que l’on prend sur ‘Deya’. Ouf !
« Wish I did know all along » avec un peu de percus, et une ambiance un plus emballée, plus stylée Elton John, à la Nikita (en plus rock évidement). Le refrain claque bien, et sur scène il fera mouche c’est certain. Pour « Ochard of mines » la présentation se fait calmement, et restera aussi posée tout le long. Un nouveau moment calme mais tout aussi innovateur et porteur.
Steve se charge de lancer « Over and over » avec sa guitare. Cette fois-ci, le mid tempo revient à l’ordre du jour, et des pasage un peu plus orientaux se retentissent de temps à autres histoire de varier les plaisirs.
Pour finir l’album, c’est « Extraordinary life » qui a été choisie. Un bien bon morceau de rock mélodique qui donne une sacrée patate, avec les chœurs un peu partout mais tout en gardant le lead de John.
Conclusion : pour fêter leurs retrouvailles après 25 de séparation, la formation originelle d’Asia nous offre là une sacrée galette avec ce Phoenix. Ils ont réussi à renaître de leurs cendres (attention, les albums d’Asia qui ont été fait jusque là sont bien aussi), et l’album est une belle réussite sur tous les plans. Félicitations les gars !
Critique : Lionel
Note : 9.5/10
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