Chronique
POWER QUEST - MASTER OF ILLUSION / Napalm Records 2008
Il aura fallu trois albums à nos anglais pour se présenter officiellement sur scène en Europe. En effet, grâce à leur bombe « Magic Never Dies » sortie en 2006, notre équipe à enfin pu partir en tournée avec les grands d’Angra. Que dire si ce n’est « quelle émotion » que de pouvoir finalement apprécier Power Quest sur scène. Un sacré tonus en tout cas (cf report Angra – Elysée Montmartre). On aura attendu deux bonnes années pour voir apparaître la nouvelle rondelle intitulée « Master Of Illusion » (ndlr : MOI).
Pas de répits, l’album attaque fort avec « Cemetary Gates ». Une bonne nappe de claviers et une ambiance toujours aussi unique : une bonne mélodie et une bonne patate musicale. Le solo clavier effectué par Steve W est d’enfer. Alessio nous surprend une nouvelle fois de part son aisance au chant.
Intro au synthé avec une ambiance un peu spatiale pour se rapprocher du titre « Human machine ». Nous évoluons dans une ambiance plus futuriste avec une musique posée. Par contre lors du premier couplet qui est suivi du refrain, c’est l’extase. Un vrai régal sur cet air très rock mélodique. Andréa nous offre aussi un solo guitare énorme, appuyé par le solo de Steve W. Le groupe n’oubliera pas de rajouter une voix de robot pour confirmer encore plus l’ambiance.
Au tour de Francesco de se faire plaisir sur l’intro de « Civilized ? ». Cette fois l’ambiance se voit être un peu plus heavy, tout en gardant la présence constante du clavier. A travers tout ça, nous pouvons entendre parfaitement la performance de Steve S à la basse. Là encore il se fait bien plaisir. Retour aux origines avec ce « Kings of eternity ». L’ambiance joyeuse, speed, et détonante que Power Quest nous à fait connaître dès leur premier album « Wings Of Forever » est bien là et quel plaisir. Ce morceau est une vraie tuerie où une nouvelle fois Alessio m’impressionne énormément de part son aisance et son style.
Au tour du title track « Master of Illusion ». Ambiance électronique, allant plus dans la veine d’un Dreamquest de Luca Turilli avec la chanson Virus. Pour le reste, la main du groupe est bien là et rien à redire sur ce morceau qui effectivement déchire. Et le refrain… la classe. Une vraie tuerie… j’en frémis d’excitation !
Retour plus power metal pour « The vigil ». Ca continu à faire te faire remuer ta tête sévèrement. Et là surprise, une bonne voix grave vient se rajouter en plus de la voix claire d’Alessio : bonheur ! Et quel refrain encore.
On calme un peu le jeu histoire avec « Save the world ». Solo guitare, nappe clavier, mid tempo, nouveau solo avec de bons riffs, des chœurs… et nouvelle tuerie. L’air de ce titre est vraiment surprenant et fort agréable, alternant passages chantés posés et mélodiques, avec des passages plus rock mais tout aussi prenant.
Retour sur la période Magic Never Dies avec ce morceau « Hearts and voices ». Pas besoin de trop de puissance pour faire un morceau efficace. Ici la douceur s’allie avec un esprit rock mélodique façon années 80 et l’union fait la force.
« I don’t believe in friends forever » est un titre surprenant de par son nom, et de par sa structure aussi. Cette fois-ci le groupe s’attaque à un nouvel univers : le progressif. Et oui, le groupe peu tout faire et nous le prouve. Cette fois-ci la technique prime sur la rapidité d’exécution. On ne s’en plaindra pas car avec tout ça, les mélodies restent et nous font plaisir.
Pour terminer cet album, le groupe nous propose « Never again » qui débarque telle une fusée. Le rythme bombarde sévère et les notes fusent dans tous les sens. Les toms se font bien frapper, les Steve se donnent à fond tout comme Andréa d’ailleurs. Quant à Alessio, il nous enfonce le dernier coup de poignard avec sa voix si particulière. Mais ce n’est pas tout, un petit break et changement de tempo à tout va. Une nouvelle surprise sur ce morceau.
Conclusion :
Que dire si ce n’est MERCI ! L’album est une vraie tuerie. Le groupe a encore fait un grand pas en avant avec ce nouvel opus et nous offre une rondelle remplie de surprises et de chansons plus fortes les unes que les autres. A écouter encore et encore. Je conseille vivement !!!
Pas de répits, l’album attaque fort avec « Cemetary Gates ». Une bonne nappe de claviers et une ambiance toujours aussi unique : une bonne mélodie et une bonne patate musicale. Le solo clavier effectué par Steve W est d’enfer. Alessio nous surprend une nouvelle fois de part son aisance au chant.
Intro au synthé avec une ambiance un peu spatiale pour se rapprocher du titre « Human machine ». Nous évoluons dans une ambiance plus futuriste avec une musique posée. Par contre lors du premier couplet qui est suivi du refrain, c’est l’extase. Un vrai régal sur cet air très rock mélodique. Andréa nous offre aussi un solo guitare énorme, appuyé par le solo de Steve W. Le groupe n’oubliera pas de rajouter une voix de robot pour confirmer encore plus l’ambiance.
Au tour de Francesco de se faire plaisir sur l’intro de « Civilized ? ». Cette fois l’ambiance se voit être un peu plus heavy, tout en gardant la présence constante du clavier. A travers tout ça, nous pouvons entendre parfaitement la performance de Steve S à la basse. Là encore il se fait bien plaisir. Retour aux origines avec ce « Kings of eternity ». L’ambiance joyeuse, speed, et détonante que Power Quest nous à fait connaître dès leur premier album « Wings Of Forever » est bien là et quel plaisir. Ce morceau est une vraie tuerie où une nouvelle fois Alessio m’impressionne énormément de part son aisance et son style.
Au tour du title track « Master of Illusion ». Ambiance électronique, allant plus dans la veine d’un Dreamquest de Luca Turilli avec la chanson Virus. Pour le reste, la main du groupe est bien là et rien à redire sur ce morceau qui effectivement déchire. Et le refrain… la classe. Une vraie tuerie… j’en frémis d’excitation !
Retour plus power metal pour « The vigil ». Ca continu à faire te faire remuer ta tête sévèrement. Et là surprise, une bonne voix grave vient se rajouter en plus de la voix claire d’Alessio : bonheur ! Et quel refrain encore.
On calme un peu le jeu histoire avec « Save the world ». Solo guitare, nappe clavier, mid tempo, nouveau solo avec de bons riffs, des chœurs… et nouvelle tuerie. L’air de ce titre est vraiment surprenant et fort agréable, alternant passages chantés posés et mélodiques, avec des passages plus rock mais tout aussi prenant.
Retour sur la période Magic Never Dies avec ce morceau « Hearts and voices ». Pas besoin de trop de puissance pour faire un morceau efficace. Ici la douceur s’allie avec un esprit rock mélodique façon années 80 et l’union fait la force.
« I don’t believe in friends forever » est un titre surprenant de par son nom, et de par sa structure aussi. Cette fois-ci le groupe s’attaque à un nouvel univers : le progressif. Et oui, le groupe peu tout faire et nous le prouve. Cette fois-ci la technique prime sur la rapidité d’exécution. On ne s’en plaindra pas car avec tout ça, les mélodies restent et nous font plaisir.
Pour terminer cet album, le groupe nous propose « Never again » qui débarque telle une fusée. Le rythme bombarde sévère et les notes fusent dans tous les sens. Les toms se font bien frapper, les Steve se donnent à fond tout comme Andréa d’ailleurs. Quant à Alessio, il nous enfonce le dernier coup de poignard avec sa voix si particulière. Mais ce n’est pas tout, un petit break et changement de tempo à tout va. Une nouvelle surprise sur ce morceau.
Conclusion :
Que dire si ce n’est MERCI ! L’album est une vraie tuerie. Le groupe a encore fait un grand pas en avant avec ce nouvel opus et nous offre une rondelle remplie de surprises et de chansons plus fortes les unes que les autres. A écouter encore et encore. Je conseille vivement !!!
Critique : Lionel
Note : 10/10
Site du groupe : Site officiel de Power Quest
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