Chronique
GLENN HUGHES - FIRST UNDERGROUND NUCLEAR KITCHEN / Frontiers records 2008
7 ans après R.O.C.K (Return Of The Cristal Karma) voici que The Voice Of Rock débarque avec son opposé F.U.N.K.
Un album qui arrive après deux essais qui pour ma part m’avaient laissé sur ma faim. Voyons voir si l’artiste en a encore sous le pied.
On commence sur un bien bon riff qui entame « Crave ». Chose à laquelle on pouvait s’attendre Mr Hughes nous dévoile son univers plus funky. Un titre plus que groovant où la basse du maître sonne comme jamais. A noter le retrait de JJ Marsh remplacé ici par Luis Maldonado qui se débrouille plutôt bien lui aussi à la 6 cordes. En tout cas quelle patate, jamais Glenn n’a semblé aussi en forme que ce soit niveau voix mais surtout niveau basse, quel son !! La title track poursuit ce bien bon funk rock, inspiré et décapant. Quelques cuivres viennent se rajouter, pour donner plus de percussions. En tous cas quel pied, ça faisait quelques années que je m’étais pas autant régalé avec un album du Maître.
Intro calme pour « Satellite ». la première ballade arrive assez tôt mais ne plombe pas l’album pour autant, bien au contraire, elle apporte un grand moment de douceur, interprétée de façon magistrale. Un petit solo de basse histoire d’en rajouter encore un peu plus. Putain ce mec semble rajeunir d’albums en albums, où va t’il aller ? « Love communion » reprend le bon groove, qui pulse grave. Des albums comme ça on n'en fait plus !! Un pur produit unique et bienfaisant.
Place à un mid tempo plutôt chaud. « We shall be free » sent les popotins remuer sur ce rythme ensorceleur. Glenn lui assure des parties chant comme à chaque fois extraordinaires, d’un feeling rare et unique qui en fait l’un des plus grands toutes catégories confondues. « Imperfection » est la deuxième ballade. Tout aussi douce que la première, elle nous plonge comme le reste de l’album d’ailleurs 30 ans en arrière en pleine Motown. Que du bonheur.
Riff plus heavy avec « Never say never », un bon passage rythmé ce qu'il faut, qui délivre un refrain extra, qui pulse comme au bon vieux temps. Un album intemporel. A noter tout de même le bien bon travail une nouvelle fois de Chad Smith qui cumule son troisième album de rang.
Par contre là « We go to war » est trop funk à mon goût. J’adhère moins, même s’il faut noter le dynamisme monstre de cet album qui a une pêche énorme. « Oil and water » revoie le fidèle lieutenant JJ Marsh tenir la guitare. Intro acoustique plutôt sombre, entrée de la voix douce et un putain de bon riff qui te prend à la gorge. Le retour du bon gros hard ! Le titre de cet album puissant, envoûtant et quelle performance de Glenn !!
Troisième ballade avec « Too late to save the world ». JJ est toujours là et ça se ressent. Le duo entre les deux est magique. Une chanson comme on peut en trouver dans son précédent album. Le refrain quant à lui, plus rythmé, est superbe avec encore que de bonnes idées et un chant… que dire exceptionnel. « Where there’s a will » est la dernière chanson de cet album rafraîchissant. Un dernier moment doux pour finir plus que calmement cette surprise de taille.
Conclusion : voilà un immense album de The Voice Of Rock !!! Certes les fans de hard trouveront cet album trop funk, mais moi qui suis d’habitude pas fan pour un sou, là je suis plus que comblé. Un artiste plus qu’unique et indispensable à la scène musicale. Un immense respect pour vous Mr Glenn Hughes…
Un album qui arrive après deux essais qui pour ma part m’avaient laissé sur ma faim. Voyons voir si l’artiste en a encore sous le pied.
On commence sur un bien bon riff qui entame « Crave ». Chose à laquelle on pouvait s’attendre Mr Hughes nous dévoile son univers plus funky. Un titre plus que groovant où la basse du maître sonne comme jamais. A noter le retrait de JJ Marsh remplacé ici par Luis Maldonado qui se débrouille plutôt bien lui aussi à la 6 cordes. En tout cas quelle patate, jamais Glenn n’a semblé aussi en forme que ce soit niveau voix mais surtout niveau basse, quel son !! La title track poursuit ce bien bon funk rock, inspiré et décapant. Quelques cuivres viennent se rajouter, pour donner plus de percussions. En tous cas quel pied, ça faisait quelques années que je m’étais pas autant régalé avec un album du Maître.
Intro calme pour « Satellite ». la première ballade arrive assez tôt mais ne plombe pas l’album pour autant, bien au contraire, elle apporte un grand moment de douceur, interprétée de façon magistrale. Un petit solo de basse histoire d’en rajouter encore un peu plus. Putain ce mec semble rajeunir d’albums en albums, où va t’il aller ? « Love communion » reprend le bon groove, qui pulse grave. Des albums comme ça on n'en fait plus !! Un pur produit unique et bienfaisant.
Place à un mid tempo plutôt chaud. « We shall be free » sent les popotins remuer sur ce rythme ensorceleur. Glenn lui assure des parties chant comme à chaque fois extraordinaires, d’un feeling rare et unique qui en fait l’un des plus grands toutes catégories confondues. « Imperfection » est la deuxième ballade. Tout aussi douce que la première, elle nous plonge comme le reste de l’album d’ailleurs 30 ans en arrière en pleine Motown. Que du bonheur.
Riff plus heavy avec « Never say never », un bon passage rythmé ce qu'il faut, qui délivre un refrain extra, qui pulse comme au bon vieux temps. Un album intemporel. A noter tout de même le bien bon travail une nouvelle fois de Chad Smith qui cumule son troisième album de rang.
Par contre là « We go to war » est trop funk à mon goût. J’adhère moins, même s’il faut noter le dynamisme monstre de cet album qui a une pêche énorme. « Oil and water » revoie le fidèle lieutenant JJ Marsh tenir la guitare. Intro acoustique plutôt sombre, entrée de la voix douce et un putain de bon riff qui te prend à la gorge. Le retour du bon gros hard ! Le titre de cet album puissant, envoûtant et quelle performance de Glenn !!
Troisième ballade avec « Too late to save the world ». JJ est toujours là et ça se ressent. Le duo entre les deux est magique. Une chanson comme on peut en trouver dans son précédent album. Le refrain quant à lui, plus rythmé, est superbe avec encore que de bonnes idées et un chant… que dire exceptionnel. « Where there’s a will » est la dernière chanson de cet album rafraîchissant. Un dernier moment doux pour finir plus que calmement cette surprise de taille.
Conclusion : voilà un immense album de The Voice Of Rock !!! Certes les fans de hard trouveront cet album trop funk, mais moi qui suis d’habitude pas fan pour un sou, là je suis plus que comblé. Un artiste plus qu’unique et indispensable à la scène musicale. Un immense respect pour vous Mr Glenn Hughes…
Critique : Guillaume
Note : 9/10
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