Chronique
MOTLEY CRUE - SAINTS OF LOS ANGELES / Double vision 2008
De retour huit longues années après un bien bon ‘New Tatoo' avec le très regretté Randy Castillo, Le Crue débarque avec un nouvel opus et son cogneur maison (Tommy Lee) pour un voyage à travers la cité des anges en version Motley Crue, donc Sex, Drug & Rock N Roll. Prêts à être perverti par ce qui se fait de mieux !
Une intro sombre nous accueille, « L.A.M.F » puis après un Welcome to Los Angeles, la basse de Nikki Sixx ouvre « Face down to the dirt ». Un pur titre de très bon hard rock qui décape sa mère en short !! Le venin refait son effet comme au plus grand jour de gloire. La prod énorme donne une sacrée puissance à l’ensemble et Vince Neil est extraordinaire ! Le retour de la frappe de mule se fait ressentir quelle section rythmique de fou ! Mick Mars n’est pas en reste avec un gros son de gratte et un jeu flamboyant, puissant et incisif. Le refrain te rentre dans la tête et ne s’évapore pas de sitôt. Le grand Crue est de retour !!!!
« What’s it ganna take » remet le hard qui sent le sexe en avant. Un mid tempo au groove torride qui fera remuer des culs au rythme des phrasés d’un Vince Neil incandescent. « Down of the whiskey » accélère un peu le rythme avec quelques relents mélodiques des 80’s. Un single potentiel au vu de son côté plus soft.
La basse du survivant débute le très gros morceau de cet album : « Saint of Los Angeles ». Un putain de tube à la Dr Feelgood, qui ravira tous les fans et qui sur scène mettra assurément le feu, avec un refrain pareil ! Ça faisait très (trop) longtemps que Motley Crue n’avait pas composé un titre pareil !! La poésie fait son apparition avec « Motherfucker of the years » encore une fois c’est un Crue des plus inspiré qui nous délivre une super combo de hard décapant et chaud comme une baraque à frites. Ah la la, que c’est bon tout ça.
Place à un peu de calme avec la lourde et mélodique « Animal in me ». Une sorte de mid tempo chargé en émotions plutôt tristes (elle parle des problème de drogue de Nikki) fort bien réalisée. Un très bon titre qui ne laisse pas indifférent avec un superbe solo de Mick Mars.
Après un moment plutôt déchirant place aux punks chers à Nikki avec un « Welcome to the machine » qui pulse fort. Ici pas de réflexion philosophique que du rock, mais du très bon rock.
« Just another psycho » reprend le hard aux douces effluves 80’s gorgé de mélodies FM à souhait. Un groove unique accentué par un Vince sûrement meilleur que jamais. « Chicks = trouble » replonge 25 ans en arrière avec ses retrouvailles au bon vieux hard à la ‘Girls girls girls’. Le sexe et la poésie refont surface avec « This ain’t love song » but a Fuck song, et oui encore une fois ça sent la chatte humide, les colosses au garde à vous, les culs remuants et les nichons à l’air (pour le Loloscop de Tommy Lee). Ah ces mecs ils sont géniaux !!
« White trash circus » ne lâche rien, toujours ce bon hard rock (bizarre la ressemblance avec certains titres de Marylin Manson période John 5). Une chanson calibrée pour faire la fête, qui devrait trouver sa place sur les futures dates du groupe (vivement leur venue en France)
On fini ce festival par un décapant « Goin’ out swingin » qui te fait remuer comme c’est pas permis. Une fin digne de ce nom !! Tout simplement : Terrible !!
Conclusion: l’immense Motley Crue is back!! Un super album de très bon hard rock varié où toutes les facettes du groupe sont représentées. Sûrement leur meilleur album de Dr Feelgood. 2008 est l’année du Crue !! De quoi passer un été sous le signe de L.A sex drug & rock n roll baby !!
Une intro sombre nous accueille, « L.A.M.F » puis après un Welcome to Los Angeles, la basse de Nikki Sixx ouvre « Face down to the dirt ». Un pur titre de très bon hard rock qui décape sa mère en short !! Le venin refait son effet comme au plus grand jour de gloire. La prod énorme donne une sacrée puissance à l’ensemble et Vince Neil est extraordinaire ! Le retour de la frappe de mule se fait ressentir quelle section rythmique de fou ! Mick Mars n’est pas en reste avec un gros son de gratte et un jeu flamboyant, puissant et incisif. Le refrain te rentre dans la tête et ne s’évapore pas de sitôt. Le grand Crue est de retour !!!!
« What’s it ganna take » remet le hard qui sent le sexe en avant. Un mid tempo au groove torride qui fera remuer des culs au rythme des phrasés d’un Vince Neil incandescent. « Down of the whiskey » accélère un peu le rythme avec quelques relents mélodiques des 80’s. Un single potentiel au vu de son côté plus soft.
La basse du survivant débute le très gros morceau de cet album : « Saint of Los Angeles ». Un putain de tube à la Dr Feelgood, qui ravira tous les fans et qui sur scène mettra assurément le feu, avec un refrain pareil ! Ça faisait très (trop) longtemps que Motley Crue n’avait pas composé un titre pareil !! La poésie fait son apparition avec « Motherfucker of the years » encore une fois c’est un Crue des plus inspiré qui nous délivre une super combo de hard décapant et chaud comme une baraque à frites. Ah la la, que c’est bon tout ça.
Place à un peu de calme avec la lourde et mélodique « Animal in me ». Une sorte de mid tempo chargé en émotions plutôt tristes (elle parle des problème de drogue de Nikki) fort bien réalisée. Un très bon titre qui ne laisse pas indifférent avec un superbe solo de Mick Mars.
Après un moment plutôt déchirant place aux punks chers à Nikki avec un « Welcome to the machine » qui pulse fort. Ici pas de réflexion philosophique que du rock, mais du très bon rock.
« Just another psycho » reprend le hard aux douces effluves 80’s gorgé de mélodies FM à souhait. Un groove unique accentué par un Vince sûrement meilleur que jamais. « Chicks = trouble » replonge 25 ans en arrière avec ses retrouvailles au bon vieux hard à la ‘Girls girls girls’. Le sexe et la poésie refont surface avec « This ain’t love song » but a Fuck song, et oui encore une fois ça sent la chatte humide, les colosses au garde à vous, les culs remuants et les nichons à l’air (pour le Loloscop de Tommy Lee). Ah ces mecs ils sont géniaux !!
« White trash circus » ne lâche rien, toujours ce bon hard rock (bizarre la ressemblance avec certains titres de Marylin Manson période John 5). Une chanson calibrée pour faire la fête, qui devrait trouver sa place sur les futures dates du groupe (vivement leur venue en France)
On fini ce festival par un décapant « Goin’ out swingin » qui te fait remuer comme c’est pas permis. Une fin digne de ce nom !! Tout simplement : Terrible !!
Conclusion: l’immense Motley Crue is back!! Un super album de très bon hard rock varié où toutes les facettes du groupe sont représentées. Sûrement leur meilleur album de Dr Feelgood. 2008 est l’année du Crue !! De quoi passer un été sous le signe de L.A sex drug & rock n roll baby !!
Critique : Guillaume
Note : 9/10
Site du groupe : Site officiel de Motley Crue
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