Chronique
ARTHEMIS - BLACK SOCIETY / Scarlet Records 2008
Drôle de nom quand même pour un groupe de metal. Et en fait pas tant que ça. Une petite recherche et hop voilà que l’on se trouve nez à nez avec une divinité grecque de la nature sauvage et de la chasse. Le côté hellénique je suis d’accord (ndlr : les musiciens sont italiens… et donc proche de la Grèce) mais pour le côté sauvage et la chasse il faut voir. En y regardant aussi d’un peu plus prêt on peut se rendre compte que le combo est mené par deux compères du nom de Alessio Garavello et Andrea Martongelli. Vous ne connaissez pas ? Je suis sur que si… Jetez un œil sur le groupe Power Quest !
Et oui, le chanteur et le guitariste sur un autre projet, mais pas pour leur premier album, loin de là. Dans cette rondelle au titre évocateur, parlons un peu de l’or noir mes enfants !, le groupe revient à la charge avec un heavy speed metal 100% italien.
Histoire de nous mettre dans le bain et de lancer la machine ce sont des sirènes de voitures de police qui retentissent histoire de contribuer au départ de « Fright train ». Et effectivement cela ne risque pas de dérailler, mais plutôt de filer à bonne allure avec cette bonne musique roulant à travers notre système auditif. Un bon refrain, direct et efficace mais les choses au clair, avec un passage plus lourd stylé black metal. Le morceau suivant est le morceau qui a été choisi par le combo pour représenter l’album sur internet. Il s’agit de « Angels in black ». Morceau fort intéressent d’ailleurs, démarrant avec un son aux tonalités plus récentes : de la disto, et de la réverbe. Le tout se pause sans soucis avec la voix mélodique d’Alessio avant de partir sur un sacré refrain un peu plus haut et porteur.
Changement de tempo et de registre avec « Electri-fire » qui lui dépote mémé comme pas deux. Immédiatement une ambiance plus lourde et boostée se met en place histoire de revenir un peu aux sources musicales du groupe mais tout en gardant la voix claire. Un peu de bourrinage ne fait de mal a personne. Y a t il des fans de jeux vidéo ? Je suppose que oui. Et bien voilà « Medal of honour » pour du heavy metal couillu et guerrier avec un batterie bien martelée et des cris de combattants donnant le rythme pour le mouvement de la tête. Un peu de rébellion ne fait point de mal on m’a dit. Et bien un « Escape » s’annonce et un titre rapide intègre notre tête. Le solo guitare balance bien et Andréa fait encore preuve d’une grande maîtrise.
Pour le title track « Black Society », l’ambiance sera posée mais lourde et bien pesante histoire de coller un peu plus aux paroles et à l’esprit de l’album. Un solo guitare bien savoureux lance « Mechanical plague » histoire de nous émoustiller un peu plus sur un heavy metal avec des chœurs couillus sur les couplets histoire de lancer un refrain bien bon. Au tour maintenant du morceau qui m’a mit une belle claque sur la rondelle (attention les autres aussi sont bons !). Il s’agit de « Let it roll ». Un morceau bien rapide, racé que des groupes comme Stratovarius ou encore Gamma Ray ne renieraient pas pour un sous. Mais aucune copie ou plagiat, ici la fraîcheur prime et c’est ce qui ai bon. Et ce refrain…. Ouf !
Bien évidemment le groupe n’en reste pas là et continue avec « Zombie eater » qui cette fois-ci se tourne vers une ambiance plus à la Alice Cooper ou à la Motley Crüe. Du bon hard résonnant. Pour conclure l’album, « Mr Evil » s’en chargera. Vous vous en doutez, le groupe ne fait pas le gnan gnan avec une ballade sortie de derrière les fagots. Non, la conclusion se fait sur un nouveau morceau heavy qui te fait headbanger jusqu’au bout.
Conclusion : un album varié, des solos guitares énormes, un super chanteur. Que dire de plus si ce n’est que le moment passé en la compagnie du groupe avec le cd dans sa chaîne hi-fi est bien bon et plaisant. Je signe messieurs !
Et oui, le chanteur et le guitariste sur un autre projet, mais pas pour leur premier album, loin de là. Dans cette rondelle au titre évocateur, parlons un peu de l’or noir mes enfants !, le groupe revient à la charge avec un heavy speed metal 100% italien.
Histoire de nous mettre dans le bain et de lancer la machine ce sont des sirènes de voitures de police qui retentissent histoire de contribuer au départ de « Fright train ». Et effectivement cela ne risque pas de dérailler, mais plutôt de filer à bonne allure avec cette bonne musique roulant à travers notre système auditif. Un bon refrain, direct et efficace mais les choses au clair, avec un passage plus lourd stylé black metal. Le morceau suivant est le morceau qui a été choisi par le combo pour représenter l’album sur internet. Il s’agit de « Angels in black ». Morceau fort intéressent d’ailleurs, démarrant avec un son aux tonalités plus récentes : de la disto, et de la réverbe. Le tout se pause sans soucis avec la voix mélodique d’Alessio avant de partir sur un sacré refrain un peu plus haut et porteur.
Changement de tempo et de registre avec « Electri-fire » qui lui dépote mémé comme pas deux. Immédiatement une ambiance plus lourde et boostée se met en place histoire de revenir un peu aux sources musicales du groupe mais tout en gardant la voix claire. Un peu de bourrinage ne fait de mal a personne. Y a t il des fans de jeux vidéo ? Je suppose que oui. Et bien voilà « Medal of honour » pour du heavy metal couillu et guerrier avec un batterie bien martelée et des cris de combattants donnant le rythme pour le mouvement de la tête. Un peu de rébellion ne fait point de mal on m’a dit. Et bien un « Escape » s’annonce et un titre rapide intègre notre tête. Le solo guitare balance bien et Andréa fait encore preuve d’une grande maîtrise.
Pour le title track « Black Society », l’ambiance sera posée mais lourde et bien pesante histoire de coller un peu plus aux paroles et à l’esprit de l’album. Un solo guitare bien savoureux lance « Mechanical plague » histoire de nous émoustiller un peu plus sur un heavy metal avec des chœurs couillus sur les couplets histoire de lancer un refrain bien bon. Au tour maintenant du morceau qui m’a mit une belle claque sur la rondelle (attention les autres aussi sont bons !). Il s’agit de « Let it roll ». Un morceau bien rapide, racé que des groupes comme Stratovarius ou encore Gamma Ray ne renieraient pas pour un sous. Mais aucune copie ou plagiat, ici la fraîcheur prime et c’est ce qui ai bon. Et ce refrain…. Ouf !
Bien évidemment le groupe n’en reste pas là et continue avec « Zombie eater » qui cette fois-ci se tourne vers une ambiance plus à la Alice Cooper ou à la Motley Crüe. Du bon hard résonnant. Pour conclure l’album, « Mr Evil » s’en chargera. Vous vous en doutez, le groupe ne fait pas le gnan gnan avec une ballade sortie de derrière les fagots. Non, la conclusion se fait sur un nouveau morceau heavy qui te fait headbanger jusqu’au bout.
Conclusion : un album varié, des solos guitares énormes, un super chanteur. Que dire de plus si ce n’est que le moment passé en la compagnie du groupe avec le cd dans sa chaîne hi-fi est bien bon et plaisant. Je signe messieurs !
Critique : Lionel
Note : 9/10
Site du groupe : Site officiel de Arthemis
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