Chronique
PURE INC - PARASITES AND WORMS / Dokyard 1 2008
Futur grand nom du hard rock moderne nos petits suisses de Bâle (très célèbre pour son trou) débarquent avec un troisième album qui doit leur permettre de poursuivre leur déjà très bonne tenue des deux premiers essais. Prêt pour le voyage.
On commence avec « In the end » (normale quoi) par un gros riff et un son énorme (pour une auto production ça envoie sévère). Un monstrueux Mid tempo, d’une puissance colossale portée par un Gianni Pontillo en état de grâce. Quelle gifle !! Avec « Evenmore » on ne change pas de registre. Un peu plus ambiant au niveau des couplets, il laisse le soin au refrain de donner la pêche. Un titre dans la droite lignée de ceux de ‘A new day dawn’.
Pour l’instant on n’est pas plus surpris que ça tant le groupe poursuit dans sa voie avec toujours un immense talent. Encore une fois la musique se fait plus heavy avec l’énorme « Serenade of agression ». Couplet surpuissant et refrain presque trash (un chant des plus écorché limite death métal), on peut dire que Pure Inc se sont lâchés. Un petit break calme, qui rappelle un peu Soilwork avec une touche hard rock, puis on continue. Surprenant mais très bon. Un début tout calme nous accueille lors d’un « Carrie’s alone » des plus jouissifs. Une sorte de power ballade sur lequel Gianni est impeccable et apporte le petit plus qui fait la différence.
« Drowning in your blood » remet le bon gros hard moderne bien lourd. Pas de changement des plus éprouvant mais il faut bien reconnaître que les suisses ont poussé le niveau de puissance !! « Darkened glow » nous refait le coup des couplets plus soft puis le bon refrain entraînant. Une chanson un peu plus légère qui devrait faire de l’effet sur scène.
« Home » nous emmène sur la route. Encore une fois l’ambiance soft des ballades sert de fil conducteur pour les couplets, quant au refrain il est gonflé à la testostérone de grosses guitares et de voix éraillée. Un bien bon titre de hard mélodique, qui fait du bien. « Raise hell » déboule à un rythme effréné avant de ralentir. Un énième mid tempo, qui montre un manque de variation de cadence.
« Dead calling » et son intro calme rappelle la ballade. Et oui voici la deuxième, qui passe bien beaucoup plus calme, elle détend au mieux l’auditeur. Place à une petite reprise, la immensément connue « Immigrant song » de Led Zeppelin qui ici, trouve une sacrée paire de couilles. Une très bonne reprise remplie d’initiative et de personnalité.
On retrouve les compos originales avec l’énergique « Won’t get back » qui est sûrement l’un des meilleurs titres de l’album. « The last remaining song » est la dernière pièce de ce troisième volet. Un lourd mid tempo où Gianni retrouve une voix des plus caverneuse. Etonnant, surtout avec les changements de registre plus mélodique. Bien bon là aussi.
Un petit bonus en forme de délire « One minute on earth » rend hommage au black métal dans une minute de délire, bien vu.
Conclusion : Pure Inc poursuit son ascension avec un opus bien plus heavy qu’à l’accoutumée. Un opus qui risque de surprendre les fans, mais qui montre que le groupe va de l’avant. Un des meilleurs opus de ces derniers mois.
On commence avec « In the end » (normale quoi) par un gros riff et un son énorme (pour une auto production ça envoie sévère). Un monstrueux Mid tempo, d’une puissance colossale portée par un Gianni Pontillo en état de grâce. Quelle gifle !! Avec « Evenmore » on ne change pas de registre. Un peu plus ambiant au niveau des couplets, il laisse le soin au refrain de donner la pêche. Un titre dans la droite lignée de ceux de ‘A new day dawn’.
Pour l’instant on n’est pas plus surpris que ça tant le groupe poursuit dans sa voie avec toujours un immense talent. Encore une fois la musique se fait plus heavy avec l’énorme « Serenade of agression ». Couplet surpuissant et refrain presque trash (un chant des plus écorché limite death métal), on peut dire que Pure Inc se sont lâchés. Un petit break calme, qui rappelle un peu Soilwork avec une touche hard rock, puis on continue. Surprenant mais très bon. Un début tout calme nous accueille lors d’un « Carrie’s alone » des plus jouissifs. Une sorte de power ballade sur lequel Gianni est impeccable et apporte le petit plus qui fait la différence.
« Drowning in your blood » remet le bon gros hard moderne bien lourd. Pas de changement des plus éprouvant mais il faut bien reconnaître que les suisses ont poussé le niveau de puissance !! « Darkened glow » nous refait le coup des couplets plus soft puis le bon refrain entraînant. Une chanson un peu plus légère qui devrait faire de l’effet sur scène.
« Home » nous emmène sur la route. Encore une fois l’ambiance soft des ballades sert de fil conducteur pour les couplets, quant au refrain il est gonflé à la testostérone de grosses guitares et de voix éraillée. Un bien bon titre de hard mélodique, qui fait du bien. « Raise hell » déboule à un rythme effréné avant de ralentir. Un énième mid tempo, qui montre un manque de variation de cadence.
« Dead calling » et son intro calme rappelle la ballade. Et oui voici la deuxième, qui passe bien beaucoup plus calme, elle détend au mieux l’auditeur. Place à une petite reprise, la immensément connue « Immigrant song » de Led Zeppelin qui ici, trouve une sacrée paire de couilles. Une très bonne reprise remplie d’initiative et de personnalité.
On retrouve les compos originales avec l’énergique « Won’t get back » qui est sûrement l’un des meilleurs titres de l’album. « The last remaining song » est la dernière pièce de ce troisième volet. Un lourd mid tempo où Gianni retrouve une voix des plus caverneuse. Etonnant, surtout avec les changements de registre plus mélodique. Bien bon là aussi.
Un petit bonus en forme de délire « One minute on earth » rend hommage au black métal dans une minute de délire, bien vu.
Conclusion : Pure Inc poursuit son ascension avec un opus bien plus heavy qu’à l’accoutumée. Un opus qui risque de surprendre les fans, mais qui montre que le groupe va de l’avant. Un des meilleurs opus de ces derniers mois.
Critique : Guillaume
Note : 8/10
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