Chronique
ADRIAN BARILARI - BARILARI / XIII BIS RECORD 2003
Quand le chanteur du groupe argentin Rata Blanca rencontre les musicos de Nightwish et Stratovarius ça donne une bonne galette à se mettre sous la dent. Adrian Barilari au chant Emppu Vuorinen à la guitare Jukka Navalainen à la batterie Sami Vanska à la basse et Mr Jens Johansson aux claviers, et oui avec un groupe pareil difficile de faire de la mauvaise musique.
Particularité de cette galette le chant en espagnol qui peut choquer au début mais qui est je vous l’assure très bon.
« amo de la oscuriad » fait pas mal penser à du Nightwish (sans Tarja) ça joue ça envoi : quel pied.
Petit mid tempo bien cool avec « trae tu amor » une chanson sympatoche bien aidée par les riffs de Emppu et le chant d’Adrian, à noter les solos mortels d’ Emppu (quel grateux formidable) et les combats synthé gratte très scandinaves mais jouissifs.
« lenguas de fuego »débute sur une intro avec un chant féminin avant de reprendre sur un air 80’ à la Survivor (le groupe de Rocky). Intro au synthé pour « y las sombras quedaran atras » qui ressemble à « athem of the world » de Stratovarius, pour poursuivre sur un bon morceau heavy très mélodique grâce à l’apport du piano au couplet et un refrain énorme qui fini en forme de chansonnette classique violons et violoncelles.
« principo y fin » est toujours un synthé en intro, speed plus, du pur métal finlandais au chant espagnol (lol !). Le heavy reprend ses droits avec « dueno de un sueno » un riff lourd et puissant pour un gros morceau de l’album
Un petit moment de calme pour « verter sonreir » guitare sèche et violons, un doux passage très romantique (pour draguer c’est celle là qu’il faut) certes banale mais si bonne.Aller on repart fini les chandelles et les feus de cheminé maintenant c’est au tour du flamenco, (oups !!) ben oui c’est l’intro mais rassurez vous c’est bien du métal qui suit « la gran victoria » une chanson gentille dans un esprit rock prog 70’ 80’.
« la leyanda del hada y el mago » (ouf !) commence sur un bon riff plaisant une très grosse influence Maiden avec un chant plus lyrique limite opéra dans le refrain d’ailleurs, le solo me conforte dans mon idée (très joli travail).
« recuerdo en la piel » commence à cappella puis c’est calmement quel rentre avant un refrain plus rythmé et très beau une grande chanson, très mélodique et d’une grande émotion (enfin chez moi en tout cas) Pour finir c’est l’immense « stargazer » de Rainbow qui est reprit oh la la ! Quelle beauté et le chant espagnol colle à merveille, la chanson de l’album un travail merveilleux.
Conclusion : un album plaisant même si la musique et trop inspirée du style des musiciens qui la composent, un bon moment à passer sans rien révolutionner. On retiendra les solos magiques d’Emppu et la voix d’Adrian.
Particularité de cette galette le chant en espagnol qui peut choquer au début mais qui est je vous l’assure très bon.
« amo de la oscuriad » fait pas mal penser à du Nightwish (sans Tarja) ça joue ça envoi : quel pied.
Petit mid tempo bien cool avec « trae tu amor » une chanson sympatoche bien aidée par les riffs de Emppu et le chant d’Adrian, à noter les solos mortels d’ Emppu (quel grateux formidable) et les combats synthé gratte très scandinaves mais jouissifs.
« lenguas de fuego »débute sur une intro avec un chant féminin avant de reprendre sur un air 80’ à la Survivor (le groupe de Rocky). Intro au synthé pour « y las sombras quedaran atras » qui ressemble à « athem of the world » de Stratovarius, pour poursuivre sur un bon morceau heavy très mélodique grâce à l’apport du piano au couplet et un refrain énorme qui fini en forme de chansonnette classique violons et violoncelles.
« principo y fin » est toujours un synthé en intro, speed plus, du pur métal finlandais au chant espagnol (lol !). Le heavy reprend ses droits avec « dueno de un sueno » un riff lourd et puissant pour un gros morceau de l’album
Un petit moment de calme pour « verter sonreir » guitare sèche et violons, un doux passage très romantique (pour draguer c’est celle là qu’il faut) certes banale mais si bonne.Aller on repart fini les chandelles et les feus de cheminé maintenant c’est au tour du flamenco, (oups !!) ben oui c’est l’intro mais rassurez vous c’est bien du métal qui suit « la gran victoria » une chanson gentille dans un esprit rock prog 70’ 80’.
« la leyanda del hada y el mago » (ouf !) commence sur un bon riff plaisant une très grosse influence Maiden avec un chant plus lyrique limite opéra dans le refrain d’ailleurs, le solo me conforte dans mon idée (très joli travail).
« recuerdo en la piel » commence à cappella puis c’est calmement quel rentre avant un refrain plus rythmé et très beau une grande chanson, très mélodique et d’une grande émotion (enfin chez moi en tout cas) Pour finir c’est l’immense « stargazer » de Rainbow qui est reprit oh la la ! Quelle beauté et le chant espagnol colle à merveille, la chanson de l’album un travail merveilleux.
Conclusion : un album plaisant même si la musique et trop inspirée du style des musiciens qui la composent, un bon moment à passer sans rien révolutionner. On retiendra les solos magiques d’Emppu et la voix d’Adrian.
Critique : Guillaume
Note : 7/10
Site du groupe : site officiel d' Adrain Barilari
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