Chronique
HUGO RAMOS - THE DREAM / Frontiers Records 2008
Ramos Hugo n'est autre qu'un projet commun entre deux musiciens, Josh Ramos et Hugo Valenti , respectivement guitariste et chanteur . Menant un parcours musicale fournit depuis les années 80 ( The Storm , Valentine , Hardline , Two fires .... ) ils décident de collaborer pour donner le meilleur de leur musique en se concentrant sur leurs instrument respectif. Nous revoilà donc parti aux pays du hard FM :
Haaaa le hard FM ( non ce n'est pas du porno qui passe à la radio ) , ce genre qui oscille entre le metal et la pop , qui compte un bon nombre de groupes clones à s'emmêler les pinceaux ! Comme Chef de file nous avons les Canadiens de Harem Scarem qui sont très doué il faut dire , mais bon on commence à connaître la chanson au bout de plusieurs albums !
On commence donc avec «you're not alone» et son aux claviers planant puis la batterie *poum tchak poupoum tchak* et les accords de guitares très hard rock font place , re-nappe de clavier et chant sirupeux ( on est des durs mais pas trop) , un refrain très mélodieux ( le chanteur sied parfaitement aux genres et ce n'est pas déplaisant du tout ) pis un grand solo et voilou , vous venez de préparez un morceau de Hard FM prêt à manger avec beaucoup de miel . Second morceau «all that I wanted» moins noyé par les nappes que sont prédécesseur, est menée par la basse *doudoudoudoudou* qui donne un côté punchy, avec un clavier qui égraine les notes des accords gentiment martelés à la guitare : la voix reste toujours douce, jamais agressive, et souvent perché dans les aigues. Ça c'était la face énergique du Hard FM. Donc après tout ce «déluge» de son, il faut reposer nos oreilles : «the dream» commence avec un accompagnement piano/nappes et voix, tout pour une ballade mais non on repart vite sur du mid tempo et de la gratte bien présente. La basse tient le même schéma que le morceau d’avant, la voix toujours pareil. Un morceau sympa.
«fools game» démarre avec énergie et un bon riff de guitare mais se transforme en ballade après quelques secondes ( vous comprenez la subtilité dans tout ça hein.... ) Donc une bien belle ballade surprise avec quand même un son et un jeu de guitare assez fou. «Bring Back this to love» reviens au sonorité un peu plus rock'n'roll , le chant toujours pareil ... toujours pareil à la moitié de l'album n'est ce pas , si t'es occupé à faire autre chose avec l'album en fond tu te dis «ce n'est pas possible il y a toujours la même pistes sur cet album».Et bien non , ça change , sauf le gars à la jolie voix qui lui ne change pas d'un poil le type de chant , on ne lui demande pas de faire du death non plus mais bon quand même , faudrait changer un peu de ton .
«I don't want to say goodbye» est une semi ballade sympathique, avec un thème cher au Hard FM, la séparation amoureuse .... Bref la suite logique avec «When you get lonely» déjà plus péchus , mais toujours aussi mou à la fois. Sans plus tarder (mais un peu quand même) arrive «In the City» encore plus triste que «I don't want to say goodbye» encore plus molle est sirupeuse .Joker :p.
Des nappes de claviers lance le début de «Tomorrow» avec sa rythmique entrainante et efficace, le genre qu'on a déjà entendu des milliers de fois mais qui se laisse apprécier. Pas mal.
Attention voici le morceau le plus long de l'album , huit minutes au compteur ça va faire mal , «I can take you» commence à la manière d'une ballade , et ressemble un peu au premier titre en plus lent sur le refrain ( vive l'inspiration ) , ça continue comme une ballade , gros solo , re-solo plus calme sans tout le ramdam de voix et grosses nappes derrières , et c'est comme ça jusqu'à la fin . Un poil longuet ce solo de fin.
Ramos-Hugo est un bon album de Hard FM , mais le Hard FM ce n'est pas toujours bon et ça s'écoute à petite dose , sauf pour les fans qui , je pense , se jetteront sur cet album . Moi en tout cas je vais reposer mes pauvres oreilles avec des nappes de silence .
Haaaa le hard FM ( non ce n'est pas du porno qui passe à la radio ) , ce genre qui oscille entre le metal et la pop , qui compte un bon nombre de groupes clones à s'emmêler les pinceaux ! Comme Chef de file nous avons les Canadiens de Harem Scarem qui sont très doué il faut dire , mais bon on commence à connaître la chanson au bout de plusieurs albums !
On commence donc avec «you're not alone» et son aux claviers planant puis la batterie *poum tchak poupoum tchak* et les accords de guitares très hard rock font place , re-nappe de clavier et chant sirupeux ( on est des durs mais pas trop) , un refrain très mélodieux ( le chanteur sied parfaitement aux genres et ce n'est pas déplaisant du tout ) pis un grand solo et voilou , vous venez de préparez un morceau de Hard FM prêt à manger avec beaucoup de miel . Second morceau «all that I wanted» moins noyé par les nappes que sont prédécesseur, est menée par la basse *doudoudoudoudou* qui donne un côté punchy, avec un clavier qui égraine les notes des accords gentiment martelés à la guitare : la voix reste toujours douce, jamais agressive, et souvent perché dans les aigues. Ça c'était la face énergique du Hard FM. Donc après tout ce «déluge» de son, il faut reposer nos oreilles : «the dream» commence avec un accompagnement piano/nappes et voix, tout pour une ballade mais non on repart vite sur du mid tempo et de la gratte bien présente. La basse tient le même schéma que le morceau d’avant, la voix toujours pareil. Un morceau sympa.
«fools game» démarre avec énergie et un bon riff de guitare mais se transforme en ballade après quelques secondes ( vous comprenez la subtilité dans tout ça hein.... ) Donc une bien belle ballade surprise avec quand même un son et un jeu de guitare assez fou. «Bring Back this to love» reviens au sonorité un peu plus rock'n'roll , le chant toujours pareil ... toujours pareil à la moitié de l'album n'est ce pas , si t'es occupé à faire autre chose avec l'album en fond tu te dis «ce n'est pas possible il y a toujours la même pistes sur cet album».Et bien non , ça change , sauf le gars à la jolie voix qui lui ne change pas d'un poil le type de chant , on ne lui demande pas de faire du death non plus mais bon quand même , faudrait changer un peu de ton .
«I don't want to say goodbye» est une semi ballade sympathique, avec un thème cher au Hard FM, la séparation amoureuse .... Bref la suite logique avec «When you get lonely» déjà plus péchus , mais toujours aussi mou à la fois. Sans plus tarder (mais un peu quand même) arrive «In the City» encore plus triste que «I don't want to say goodbye» encore plus molle est sirupeuse .Joker :p.
Des nappes de claviers lance le début de «Tomorrow» avec sa rythmique entrainante et efficace, le genre qu'on a déjà entendu des milliers de fois mais qui se laisse apprécier. Pas mal.
Attention voici le morceau le plus long de l'album , huit minutes au compteur ça va faire mal , «I can take you» commence à la manière d'une ballade , et ressemble un peu au premier titre en plus lent sur le refrain ( vive l'inspiration ) , ça continue comme une ballade , gros solo , re-solo plus calme sans tout le ramdam de voix et grosses nappes derrières , et c'est comme ça jusqu'à la fin . Un poil longuet ce solo de fin.
Ramos-Hugo est un bon album de Hard FM , mais le Hard FM ce n'est pas toujours bon et ça s'écoute à petite dose , sauf pour les fans qui , je pense , se jetteront sur cet album . Moi en tout cas je vais reposer mes pauvres oreilles avec des nappes de silence .
Note : 6/10
Site du groupe : Site officiel de Frontiers Records
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