Chronique
ROBERT BERRY - THE DIVIDING LINE / Frontiers records 2008
Alors petit rappel pour le jeunes : Robert Berry est un musicien qui débute sa carrière professionnelle avec le groupe «ush» à la fin des années 70 , puis poursuis une carrière solo dans les année 80 et se trouve au sein d'un nouveau groupe «alliance» , groupe qui vient de sortir un album cette année . Non Mr Berry ne chôme pas , jamais absent plus de 3 ans il nous livre donc son dernier album solo :
On commence donc par le titre éponyme de l'album , «strong>the dividing line» , qui commence de manière très direct par le refrain au saveur rock des 80' : chant qui tire un peu dans les aigues par moment , clavier très présent et solo guitare de rigueur. Un titre sympas pour commencer. «one good man» attaque à la guitare électro acoustique au son très métallique , une batterie au rythme quelque peu saccadé : un morceau intéressant , si ce n'est les choeurs du refrain un peu bof . «listen to the people» ne fait que confirmer l'orientation hard rock mélodique des année quatreu ....hem ...ouais quatres vingt , je ne l'ai pas dit plus haut ? Je crois l'avoir dit dans d'autre chronique aussi ...halala je radote. Pourtant qu'entend-je , voici «faith» et son vrais faux violon midi ( celui de Zelda sur Nes ) accompagné du piano : c'est la ballade ! Si ce mot était rentable dans les chroniques hard rock/ metal j'aurais de quoi m'acheter une baraque ! Enfin je dois quand même reconnaître que le passage à la guitare acoustique sur la fin du morceau est pas mal. «this life» vous remue un peu avec son intro au clavier digne du meilleurs jeu de baston d'arcade des eighties ( de l'anglais soyons fou ) , «a life worth within'» et «I can't let go» vous donne envie d'acheter un jean moulant , une veste en cuir une taille en dessous , des baskets , puis de prendre la Dolorean nom de Zeus !
Bien entendu ça fait toujours plaisir d'entendre ce type si particulière ayant marqué son époque , puis que demandé de plus à des musiciens qui ont connus l'apogée de leurs carrière dans un mouvement musicale particulier ? On a bien l'impression qu'ils n'ont pas vieillis d'un poil dans leur conception musicale , toujours un peu enfermé dans une bulle , traversant les décennies sans changer la recette. Il n'est pas question de discréditer le travail de composition effectuer par Robert Berry , ni même son jeu de guitare , car il faut dire qu'il est très doué : mais le problème est que toutes les chansons qui constitue cet album n'ont vraiment pas leur place en 2008 , elles sont justes l'échos d'années prolifiques et inventives. Faut pas se voiler la face , les sons des années 80 ont mal vieillis , et si on écoute encore les chansons de ces années là c'est bien par nostalgie.
Alors the dividing line est un bon album qui ravira sans doute les fans plus âgés ( ou pas ) , qui donnera envie de replonger dans ses vieux disques. Très encré dans un mouvement représentatif d'une époque révolue , il ne représente aucun intérêt nouveau , mais a tout de même le mérite de faire passer un bon moment.
On commence donc par le titre éponyme de l'album , «strong>the dividing line» , qui commence de manière très direct par le refrain au saveur rock des 80' : chant qui tire un peu dans les aigues par moment , clavier très présent et solo guitare de rigueur. Un titre sympas pour commencer. «one good man» attaque à la guitare électro acoustique au son très métallique , une batterie au rythme quelque peu saccadé : un morceau intéressant , si ce n'est les choeurs du refrain un peu bof . «listen to the people» ne fait que confirmer l'orientation hard rock mélodique des année quatreu ....hem ...ouais quatres vingt , je ne l'ai pas dit plus haut ? Je crois l'avoir dit dans d'autre chronique aussi ...halala je radote. Pourtant qu'entend-je , voici «faith» et son vrais faux violon midi ( celui de Zelda sur Nes ) accompagné du piano : c'est la ballade ! Si ce mot était rentable dans les chroniques hard rock/ metal j'aurais de quoi m'acheter une baraque ! Enfin je dois quand même reconnaître que le passage à la guitare acoustique sur la fin du morceau est pas mal. «this life» vous remue un peu avec son intro au clavier digne du meilleurs jeu de baston d'arcade des eighties ( de l'anglais soyons fou ) , «a life worth within'» et «I can't let go» vous donne envie d'acheter un jean moulant , une veste en cuir une taille en dessous , des baskets , puis de prendre la Dolorean nom de Zeus !
Bien entendu ça fait toujours plaisir d'entendre ce type si particulière ayant marqué son époque , puis que demandé de plus à des musiciens qui ont connus l'apogée de leurs carrière dans un mouvement musicale particulier ? On a bien l'impression qu'ils n'ont pas vieillis d'un poil dans leur conception musicale , toujours un peu enfermé dans une bulle , traversant les décennies sans changer la recette. Il n'est pas question de discréditer le travail de composition effectuer par Robert Berry , ni même son jeu de guitare , car il faut dire qu'il est très doué : mais le problème est que toutes les chansons qui constitue cet album n'ont vraiment pas leur place en 2008 , elles sont justes l'échos d'années prolifiques et inventives. Faut pas se voiler la face , les sons des années 80 ont mal vieillis , et si on écoute encore les chansons de ces années là c'est bien par nostalgie.
Alors the dividing line est un bon album qui ravira sans doute les fans plus âgés ( ou pas ) , qui donnera envie de replonger dans ses vieux disques. Très encré dans un mouvement représentatif d'une époque révolue , il ne représente aucun intérêt nouveau , mais a tout de même le mérite de faire passer un bon moment.
Note : 8/10
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