Chronique
ECLIPTICA - IMPETUS / Frontiers records 2008
Ecliptica est un jeune groupe Viennois ( comme le café ) qui , fraichement signé chez frontiers records , nous livre leur tout premiers album : pour un premier pas dans l'immense domaine du métal professionnel , peu-t-on dire que la relève est assurée ? .... allez savoir :
Ouverture de l'album à la guitare acoustique et aux nappes de clavier planant puis les riffs de guitares métalliques font leur apparitions pour enchainer rapidement sur «my paradise» qui manque de pêche quand même. C'est un peu vide tout ça. Le chanteur est correct mais manque un peu de charisme malgré quelques passages «grunt» réussi. l'intervention féminine sur le refrain donne plus de couleur mais la chanteuse doit avoir 12 ou 13 ans à mon avis : une chant correct également mais trop sage et sans puissance. Les parties instrumentales sont toujours aussi vide même si le son est relativement bien travaillé. La batteries s'emballe , c'est le début de «land of silence» avec une guitare qui simule un écho par rapport à la rythmique : ça marche moyen. Une ligne mélodique symaps pour le chant , sans casser des briques. En revanche c'est le bassiste qui donne plus de volume à la musique sur le couplet.«Carry on» démarre sur un riff à la Maiden et un pauvre cri digne du chanteur d'Hammerfall ( d'ailleurs on pense un peu à du sous Hammerfall , c'est dire... )
la batterie n'a aucun groove et sonne plat , on dirait qu'elle a été programmé : quant au solo il n'est pas mauvais ( ni transcendant ). On termine par un l'accompagnement instru sans chant très plat et mécanique et un pauvre cri un peu plus long .Quelques note de piano qui dessine le riff de «twilight hall» , le chanteur commence dans un registre grave qui lui sied mieux , puis essais de décoller dans les aigues sans succès. Le refrain est très marrant , un rythme encore très mécanique , e couplet fait penser à «super heroes» d'Edguy : mais ne vous emballez pas , ça ne fait que ressembler ,on en est très très loin. La reprise du refrain à la fin est un peu éprouvante pour un fin en chapeau de roue. «turn away» est la ballade de l'album , le piano est plutôt sympas , le chant est bateau pis on dirait que le gars est constipé sur le notes pointés ( vachement marrant à écouter ) la chanteuse revient , c'est toujours aussi niais , on a droit à un mélange de Meatl loaf periode «bat out of hell» , avec une pointe d'Avantasia ( Tobias ayant été pas mal influencé Meat loaf également ). Donc un ballade sous théâtrale très très très très plate. «old man's memories» aved des riffs encore une fois très Maidenien avec toujours cette batterie-usine. Le solo n'est pas terrible , mis à part aligné les montée et descente rapide et trois pauvres notes peu inspiré. Attention , nous aussi on c'est faire du gros métal , «watching you» montre les crocs ( de louveteau ? ) avec du «gros» riff à la façon Lordi : donc on dira que le terme «gros riff» est très relatif . Le break solo fait très pompé ( niveau son et harmonies ) sur le morceau de Maiden , «the thin line between love and hate» , toujours à des années lumière de la référence citée. Hop sans plus tarder on enchaine avec «Jester in the ballroom» ( quel titre de fou quand même ... c'est le cas de le dire ) . Enfin on a droit à un solo couillu ,et la chanteuse adopte un registre plus grave pour le plaisir de nos oreilles. Mais survivrez vous au dernier morceau épique de l'album , «the black swan» , avec une narration tiré du meilleurs des nanars ! On a envie de passer un sac a vomi au chanteur lorsqu'il chante (?) «black swan» a capella le temps de 5 secondes. On s'ennuie pas mal pendant 5 mns , puis pouf on a droit à une transition des plus merdiques ( si s'en est une ) , suivis d'un passage avec une pseudo ambiance mystérieuse : le narrateur de folie sort une phrase moisie et hop on passe au pont de guitare acoustique très mélodique qui nous mène au solo (censé être) éclatant à la guitare électrique . Je vous laisse deviner la fin classique ( reprise thème etc ) . Un schéma déjà utiliser par Maiden et 1000 fois mieux réalisé dans «powerslave» ou «rythm of the ancient mariner». Vous avez 25 ans de retard les gars !
Donc en conclusion non , il ne s'agit pas de la relève ou sinon il faut être inquiet . Aucune émotion ne s'en dégage réellement : manque de puissance vocale , de timbre particulier et de chaleur humaine dans le jeu instrumentale.
Ouverture de l'album à la guitare acoustique et aux nappes de clavier planant puis les riffs de guitares métalliques font leur apparitions pour enchainer rapidement sur «my paradise» qui manque de pêche quand même. C'est un peu vide tout ça. Le chanteur est correct mais manque un peu de charisme malgré quelques passages «grunt» réussi. l'intervention féminine sur le refrain donne plus de couleur mais la chanteuse doit avoir 12 ou 13 ans à mon avis : une chant correct également mais trop sage et sans puissance. Les parties instrumentales sont toujours aussi vide même si le son est relativement bien travaillé. La batteries s'emballe , c'est le début de «land of silence» avec une guitare qui simule un écho par rapport à la rythmique : ça marche moyen. Une ligne mélodique symaps pour le chant , sans casser des briques. En revanche c'est le bassiste qui donne plus de volume à la musique sur le couplet.«Carry on» démarre sur un riff à la Maiden et un pauvre cri digne du chanteur d'Hammerfall ( d'ailleurs on pense un peu à du sous Hammerfall , c'est dire... )
la batterie n'a aucun groove et sonne plat , on dirait qu'elle a été programmé : quant au solo il n'est pas mauvais ( ni transcendant ). On termine par un l'accompagnement instru sans chant très plat et mécanique et un pauvre cri un peu plus long .Quelques note de piano qui dessine le riff de «twilight hall» , le chanteur commence dans un registre grave qui lui sied mieux , puis essais de décoller dans les aigues sans succès. Le refrain est très marrant , un rythme encore très mécanique , e couplet fait penser à «super heroes» d'Edguy : mais ne vous emballez pas , ça ne fait que ressembler ,on en est très très loin. La reprise du refrain à la fin est un peu éprouvante pour un fin en chapeau de roue. «turn away» est la ballade de l'album , le piano est plutôt sympas , le chant est bateau pis on dirait que le gars est constipé sur le notes pointés ( vachement marrant à écouter ) la chanteuse revient , c'est toujours aussi niais , on a droit à un mélange de Meatl loaf periode «bat out of hell» , avec une pointe d'Avantasia ( Tobias ayant été pas mal influencé Meat loaf également ). Donc un ballade sous théâtrale très très très très plate. «old man's memories» aved des riffs encore une fois très Maidenien avec toujours cette batterie-usine. Le solo n'est pas terrible , mis à part aligné les montée et descente rapide et trois pauvres notes peu inspiré. Attention , nous aussi on c'est faire du gros métal , «watching you» montre les crocs ( de louveteau ? ) avec du «gros» riff à la façon Lordi : donc on dira que le terme «gros riff» est très relatif . Le break solo fait très pompé ( niveau son et harmonies ) sur le morceau de Maiden , «the thin line between love and hate» , toujours à des années lumière de la référence citée. Hop sans plus tarder on enchaine avec «Jester in the ballroom» ( quel titre de fou quand même ... c'est le cas de le dire ) . Enfin on a droit à un solo couillu ,et la chanteuse adopte un registre plus grave pour le plaisir de nos oreilles. Mais survivrez vous au dernier morceau épique de l'album , «the black swan» , avec une narration tiré du meilleurs des nanars ! On a envie de passer un sac a vomi au chanteur lorsqu'il chante (?) «black swan» a capella le temps de 5 secondes. On s'ennuie pas mal pendant 5 mns , puis pouf on a droit à une transition des plus merdiques ( si s'en est une ) , suivis d'un passage avec une pseudo ambiance mystérieuse : le narrateur de folie sort une phrase moisie et hop on passe au pont de guitare acoustique très mélodique qui nous mène au solo (censé être) éclatant à la guitare électrique . Je vous laisse deviner la fin classique ( reprise thème etc ) . Un schéma déjà utiliser par Maiden et 1000 fois mieux réalisé dans «powerslave» ou «rythm of the ancient mariner». Vous avez 25 ans de retard les gars !
Donc en conclusion non , il ne s'agit pas de la relève ou sinon il faut être inquiet . Aucune émotion ne s'en dégage réellement : manque de puissance vocale , de timbre particulier et de chaleur humaine dans le jeu instrumentale.
Note : 3/10
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