Interview
PRYDE (2011) - Val (chant)
Après la critique de leur album "Absence of Light" (chroniqué sur votre webzine préféré par Alisia), voici l'interview du groupe Pryde. Le truculent chanteur du combo marseillais se livre sans concession et avec toute la sympathie qu'on lui connaît.
Pryde le petit groupe qui monte, qui monte...
Comment est né Pryde ?
Pryde date de 2008, à ce moment-là nous n’étions qu’un petit groupe qui s’éclatait à reprendre des morceaux de Megadeth ou Iron Maiden. Pryde a réellement débuté le jour où l’on a voulu faire notre propre musique et montrer ce qui se cachait dans nos têtes.
Ce nom reflète cette envie et notre façon d’assumer nos choix (pride = fierté). « Pryde » est aussi une référence à une chanson de Shaaman qui est un groupe que l’on aime beaucoup et qui nous inspire énormément. Par contre, je précise également que la faute d’orthographe est totalement volontaire, c’est juste une façon de nous différencier, un simple effet de style. Le combo est désormais composé de Chloé à la batterie, Laurent et Cyril aux guitares, Loz aux claviers, Sébastien à la basse et moi-même au chant.
Comment a été accueilli « Absence of Light » ?
Bien ! Et même très bien (rires) ! Nous avons commencé à le mettre en vente à la Fnac de la Valentine et d’Aix en Provence. Nous avons aussi eu droit à plusieurs chroniques sur des webzines francophones et même anglais. Dans l’ensemble, les critiques ne nous ont pas trop descendu (rires) et ont même plutôt apprécié. Mais je vous conseille d’aller vérifier cela par vous-mêmes.
Pour un premier album et pour un groupe aussi jeune, j’ai été bluffé par l’ambiance et l’atmosphère qui règne tout au long de la galette. Vous avez déjà trouvé votre identité, comment s’est déroulé le processus d’enregistrement ?
Tout ça s’est passé très rapidement. A ce moment-là, nous n’avions pas encore fini certains morceaux de l’album comme « Conviction within ». Pour ma part, je l’ai même quasiment découverte en studio ! C’est Laurent Solus, le producteur du Deven Prod. Studio, qui nous a dirigés selon les idées que nous lui avions soumises. En ce qui concerne l’atmosphère, c’était quelque chose qui nous tenait à cœur. Nous voulions à tout prix créer à la fois une cohérence dans les morceaux ainsi que ce côté sombre que l’on peut sentir jusqu'à la fin, tout en passant par des passages plus envolés.
S’il fallait vous coller une étiquette (NdSS : et Dieu sait que je n’aime pas ça !), je dirai que vous officiez dans du heavy prog. Quelles sont vos influences principales ?
Nos influences vont du death mélodique avec des groupes tels qu’In Flames ou Dark Tranquility, au power metal d’Edguy, tout en passant par le prog bien dark d’Evergrey, qui est pour nous une référence.
C’est vrai que nous non plus, nous n’aimons pas trop les étiquettes, ce qui nous facilite la vie pour nos prochains albums, car on aime tout donc on veut tout faire ; tout en gardant une certaine cohérence bien sûr.
Qui compose et de quoi parlent vos morceaux ?
Nous sommes tous impliqués dans la composition des morceaux, même si chacun a sa spécialité. Laurent, Cyril et Loz s’occupent de la composition à proprement parler, par la suite je n’ai plus qu’à poser ma voix. En général, les chansons parlent de certaines périodes par lesquelles nous passons au cours de notre vie, il y a toujours un côté autobiographique dans une œuvre. En revanche, nous avons aussi des chansons qui ne nous représentent pas, mais qui ont su toucher nos auditeurs par la justesse des paroles, telles que « Waiting for », qui parle d’une jeune fille qui est bloquée sur un lit d’hôpital et qui explique se qu’elle ressent au jour le jour. Pour finir, nos chansons abordent divers sujets allant de la mort elle-même jusqu’à la rédemption.
Tyler (Alive Inc.) participe à votre album. J’ai ouï dire que tu participerais à ton tour au premier album de Galderia. C’est important d’avoir une scène régionale unie, n’est-ce pas ?
Effectivement, c’est très important et je m’en rends compte chaque jour. On voit que la scène métal sur Marseille s’unifie de plus en plus. On est un peu comme une grande famille de chevelus et de barbus ! (rires) De plus, cela m’a beaucoup touché que Seb (NdSS : chanteur de Galderia) vienne me demander de chanter sur leur prochain album, d’autant plus que c’est quelqu’un que je respecte beaucoup par sa bonne humeur, mais surtout parce que c’est un excellent chanteur et guitariste. Un exemple quoi.
Vous avez fait un super boulot sur le chant : lead, chœurs, échos, dialogues etc… Vous avez recruté un choriste, était-ce justement dans l’optique de vouloir le rendre aussi présent sur scène ?
Exactement, c’était totalement l’idée ! Nous aurions aimé en avoir plus sur scène mais par rapport à des problèmes d’organisation et d’espace scénique cela reste encore difficile. Cela ne nous empêche pas de faire aussi des concerts sans chœurs, mais cela manque un peu de profondeur à ce moment-là. Mais d’après les retours que nous avons eus, nous gagnons énormément en puissance.
Vous êtes désormais sept en live, cela ne risque-t-il pas de pénaliser votre espace scénique, c'est-à-dire devoir refuser un concert car la scène est trop petite ?
Non, nous trouvons toujours des arrangements, même si c’est un peu plus compliqué pour bouger. Nous nous restreignons un peu (moins de courses effrénées le long de la scène), mais comme je le disais juste avant, cela apporte tellement à la musique que nous en assumons les conséquences.
Vous avez enregistré une version edit du titre "I want more". Dans le même registre, n'avez-vous pas envie d'en produire un vidéo-clip ?
Nous y avons songé, mais pas forcément pour « I want more ». Vu que nous avons changé de formation entre la fin de l’enregistrement et la sortie de l’album, nous nous sommes dit qu’il valait peut-être mieux faire un clip pour une nouvelle composition, histoire de présenter les nouveaux membres du groupe (même si à force, tout le monde connaît Sébastien et Chloé), mais aussi pour avoir plus de justesse par rapport a eux.
Par rapport à vos photos et vos tenues sur scène, vous semblez faire attention à votre style. Même dans le metal, le look est primordial, n’est-ce pas ?
Certains diront que oui, mais moi, j’aime à dire que non justement. Pour les photos, cela va de soi que notre tenue reste quand même importante car nous représentons l’image du groupe. Mais si on regarde bien, nous sommes tous assez différents. Pour la scène, nous ne sommes pas toujours en accord au niveau style, on dira. Par exemple, j’aime beaucoup mes chaussures vertes et mon gros sarouel quand je suis sur scène (liberté de mouvement). D’un autre côté, nous avons aussi une batteuse très féminine qui adore mettre des cœurs et des bijoux « Hello Kitty » un peu de partout (ce qui ne fait pas très métal non plus rires), mais c’est ce qui fait aussi notre force : notre diversité qui se rejoint autour de la musique. Au final, c’est ça aussi la musique : la diversité et l’acceptation de l’autre.
A l’instar des strings que vous recevez sur scène (cf. Red Note), est-ce que Chloé s’impatiente de recevoir des caleçons ?
(rires) En fait, l’envoi de strings n’était pas prévu. Mais pour les caleçons, vu qu’on a mis l’adresse de Chloé en ligne (NdSS : information bien entendu fausse), elle les reçoit directement par colis. La poste nous maudit à ce qu’il parait, surtout qu’ils ne sont pas toujours très propres ! (rires) Enfin blague à part, c’est toujours drôle d’avoir des réactions comme ça de la part du public et c’est l’avantage de la scène métal, on est toujours surpris !
J’ai eu écho que Jean-Jacques Goldman a écouté votre album. Peux-tu nous donner des détails ?
En fait, cela s’est fait grâce à des contacts mais surtout grâce à l’aide des parents de notre très cher Loz qui sont vivement impliqués dans le groupe. Nous avons eu une rencontre avec une directrice du journal La Provence qui a écouté notre musique. Elle l’a apprécié et après une rencontre avec tous les membres du groupe, elle nous a proposé d’envoyer directement notre album à Jean-Jacques Goldman. Après avoir écouté « Absence of Light », il nous a renvoyé une lettre dans laquelle il nous montre son soutien. Cela nous a remis du baume au cœur dans une période où nous nous posions certaines questions à propos du groupe. C’était vraiment très gentil de sa part, d’autant plus qu’il aurait très bien pu ne pas répondre, mais il l’a quand même fait ! Donc, je tiens encore à le remercier et à remercier tous ceux qui nous ont aidés et soutenus pendant toute la création de cet album et après sa diffusion.
Motive les gens à venir vous voir : à quoi ressemble un concert de Pryde ?
Venez nous voir en concert, vous serez subjugués par les prouesses de nos guitaristes jongleurs, notre claviériste magicien, notre bassiste dompteur d’ours, la batteuse reine des serpents qui vous hypnotisera de son regard foudroyant et le chanteur cracheur de feu ! (rires).
Plus sérieusement, Pryde sur scène, c’est tout ça à la fois, mais en beaucoup mieux ! La scène et le partage avec le public sont vraiment ce qui nous motive et nous fait avancer. C’est pourquoi nous espérons vous croiser un jour à l’un de nos concerts.
Je te laisse conclure cette interview. As-tu un dernier mot à dire à vos fans et aux lecteurs des Seigneurs du Metal ?
Vive le métal ! Vive le rock et quelle que soit sa forme d’expression ! Soyez actifs, sortez, bougez car nous, nous sommes dehors et on vous attend pour faire la fête ! La fortune sourit aux audacieux !
Stay Pryde, stay metal ! ! !
NdSS : Pryde sera en concert le samedi 21 mai, au Brin de Zinc (Barberaz), aux côtés de Galderia et Ice Scream.
Pryde le petit groupe qui monte, qui monte...
Comment est né Pryde ?
Pryde date de 2008, à ce moment-là nous n’étions qu’un petit groupe qui s’éclatait à reprendre des morceaux de Megadeth ou Iron Maiden. Pryde a réellement débuté le jour où l’on a voulu faire notre propre musique et montrer ce qui se cachait dans nos têtes.
Ce nom reflète cette envie et notre façon d’assumer nos choix (pride = fierté). « Pryde » est aussi une référence à une chanson de Shaaman qui est un groupe que l’on aime beaucoup et qui nous inspire énormément. Par contre, je précise également que la faute d’orthographe est totalement volontaire, c’est juste une façon de nous différencier, un simple effet de style. Le combo est désormais composé de Chloé à la batterie, Laurent et Cyril aux guitares, Loz aux claviers, Sébastien à la basse et moi-même au chant.
Comment a été accueilli « Absence of Light » ?
Bien ! Et même très bien (rires) ! Nous avons commencé à le mettre en vente à la Fnac de la Valentine et d’Aix en Provence. Nous avons aussi eu droit à plusieurs chroniques sur des webzines francophones et même anglais. Dans l’ensemble, les critiques ne nous ont pas trop descendu (rires) et ont même plutôt apprécié. Mais je vous conseille d’aller vérifier cela par vous-mêmes.
Pour un premier album et pour un groupe aussi jeune, j’ai été bluffé par l’ambiance et l’atmosphère qui règne tout au long de la galette. Vous avez déjà trouvé votre identité, comment s’est déroulé le processus d’enregistrement ?
Tout ça s’est passé très rapidement. A ce moment-là, nous n’avions pas encore fini certains morceaux de l’album comme « Conviction within ». Pour ma part, je l’ai même quasiment découverte en studio ! C’est Laurent Solus, le producteur du Deven Prod. Studio, qui nous a dirigés selon les idées que nous lui avions soumises. En ce qui concerne l’atmosphère, c’était quelque chose qui nous tenait à cœur. Nous voulions à tout prix créer à la fois une cohérence dans les morceaux ainsi que ce côté sombre que l’on peut sentir jusqu'à la fin, tout en passant par des passages plus envolés.
S’il fallait vous coller une étiquette (NdSS : et Dieu sait que je n’aime pas ça !), je dirai que vous officiez dans du heavy prog. Quelles sont vos influences principales ?
Nos influences vont du death mélodique avec des groupes tels qu’In Flames ou Dark Tranquility, au power metal d’Edguy, tout en passant par le prog bien dark d’Evergrey, qui est pour nous une référence.
C’est vrai que nous non plus, nous n’aimons pas trop les étiquettes, ce qui nous facilite la vie pour nos prochains albums, car on aime tout donc on veut tout faire ; tout en gardant une certaine cohérence bien sûr.
Qui compose et de quoi parlent vos morceaux ?
Nous sommes tous impliqués dans la composition des morceaux, même si chacun a sa spécialité. Laurent, Cyril et Loz s’occupent de la composition à proprement parler, par la suite je n’ai plus qu’à poser ma voix. En général, les chansons parlent de certaines périodes par lesquelles nous passons au cours de notre vie, il y a toujours un côté autobiographique dans une œuvre. En revanche, nous avons aussi des chansons qui ne nous représentent pas, mais qui ont su toucher nos auditeurs par la justesse des paroles, telles que « Waiting for », qui parle d’une jeune fille qui est bloquée sur un lit d’hôpital et qui explique se qu’elle ressent au jour le jour. Pour finir, nos chansons abordent divers sujets allant de la mort elle-même jusqu’à la rédemption.
Tyler (Alive Inc.) participe à votre album. J’ai ouï dire que tu participerais à ton tour au premier album de Galderia. C’est important d’avoir une scène régionale unie, n’est-ce pas ?
Effectivement, c’est très important et je m’en rends compte chaque jour. On voit que la scène métal sur Marseille s’unifie de plus en plus. On est un peu comme une grande famille de chevelus et de barbus ! (rires) De plus, cela m’a beaucoup touché que Seb (NdSS : chanteur de Galderia) vienne me demander de chanter sur leur prochain album, d’autant plus que c’est quelqu’un que je respecte beaucoup par sa bonne humeur, mais surtout parce que c’est un excellent chanteur et guitariste. Un exemple quoi.
Vous avez fait un super boulot sur le chant : lead, chœurs, échos, dialogues etc… Vous avez recruté un choriste, était-ce justement dans l’optique de vouloir le rendre aussi présent sur scène ?
Exactement, c’était totalement l’idée ! Nous aurions aimé en avoir plus sur scène mais par rapport à des problèmes d’organisation et d’espace scénique cela reste encore difficile. Cela ne nous empêche pas de faire aussi des concerts sans chœurs, mais cela manque un peu de profondeur à ce moment-là. Mais d’après les retours que nous avons eus, nous gagnons énormément en puissance.
Vous êtes désormais sept en live, cela ne risque-t-il pas de pénaliser votre espace scénique, c'est-à-dire devoir refuser un concert car la scène est trop petite ?
Non, nous trouvons toujours des arrangements, même si c’est un peu plus compliqué pour bouger. Nous nous restreignons un peu (moins de courses effrénées le long de la scène), mais comme je le disais juste avant, cela apporte tellement à la musique que nous en assumons les conséquences.
Vous avez enregistré une version edit du titre "I want more". Dans le même registre, n'avez-vous pas envie d'en produire un vidéo-clip ?
Nous y avons songé, mais pas forcément pour « I want more ». Vu que nous avons changé de formation entre la fin de l’enregistrement et la sortie de l’album, nous nous sommes dit qu’il valait peut-être mieux faire un clip pour une nouvelle composition, histoire de présenter les nouveaux membres du groupe (même si à force, tout le monde connaît Sébastien et Chloé), mais aussi pour avoir plus de justesse par rapport a eux.
Par rapport à vos photos et vos tenues sur scène, vous semblez faire attention à votre style. Même dans le metal, le look est primordial, n’est-ce pas ?
Certains diront que oui, mais moi, j’aime à dire que non justement. Pour les photos, cela va de soi que notre tenue reste quand même importante car nous représentons l’image du groupe. Mais si on regarde bien, nous sommes tous assez différents. Pour la scène, nous ne sommes pas toujours en accord au niveau style, on dira. Par exemple, j’aime beaucoup mes chaussures vertes et mon gros sarouel quand je suis sur scène (liberté de mouvement). D’un autre côté, nous avons aussi une batteuse très féminine qui adore mettre des cœurs et des bijoux « Hello Kitty » un peu de partout (ce qui ne fait pas très métal non plus rires), mais c’est ce qui fait aussi notre force : notre diversité qui se rejoint autour de la musique. Au final, c’est ça aussi la musique : la diversité et l’acceptation de l’autre.
A l’instar des strings que vous recevez sur scène (cf. Red Note), est-ce que Chloé s’impatiente de recevoir des caleçons ?
(rires) En fait, l’envoi de strings n’était pas prévu. Mais pour les caleçons, vu qu’on a mis l’adresse de Chloé en ligne (NdSS : information bien entendu fausse), elle les reçoit directement par colis. La poste nous maudit à ce qu’il parait, surtout qu’ils ne sont pas toujours très propres ! (rires) Enfin blague à part, c’est toujours drôle d’avoir des réactions comme ça de la part du public et c’est l’avantage de la scène métal, on est toujours surpris !
J’ai eu écho que Jean-Jacques Goldman a écouté votre album. Peux-tu nous donner des détails ?
En fait, cela s’est fait grâce à des contacts mais surtout grâce à l’aide des parents de notre très cher Loz qui sont vivement impliqués dans le groupe. Nous avons eu une rencontre avec une directrice du journal La Provence qui a écouté notre musique. Elle l’a apprécié et après une rencontre avec tous les membres du groupe, elle nous a proposé d’envoyer directement notre album à Jean-Jacques Goldman. Après avoir écouté « Absence of Light », il nous a renvoyé une lettre dans laquelle il nous montre son soutien. Cela nous a remis du baume au cœur dans une période où nous nous posions certaines questions à propos du groupe. C’était vraiment très gentil de sa part, d’autant plus qu’il aurait très bien pu ne pas répondre, mais il l’a quand même fait ! Donc, je tiens encore à le remercier et à remercier tous ceux qui nous ont aidés et soutenus pendant toute la création de cet album et après sa diffusion.
Motive les gens à venir vous voir : à quoi ressemble un concert de Pryde ?
Venez nous voir en concert, vous serez subjugués par les prouesses de nos guitaristes jongleurs, notre claviériste magicien, notre bassiste dompteur d’ours, la batteuse reine des serpents qui vous hypnotisera de son regard foudroyant et le chanteur cracheur de feu ! (rires).
Plus sérieusement, Pryde sur scène, c’est tout ça à la fois, mais en beaucoup mieux ! La scène et le partage avec le public sont vraiment ce qui nous motive et nous fait avancer. C’est pourquoi nous espérons vous croiser un jour à l’un de nos concerts.
Je te laisse conclure cette interview. As-tu un dernier mot à dire à vos fans et aux lecteurs des Seigneurs du Metal ?
Vive le métal ! Vive le rock et quelle que soit sa forme d’expression ! Soyez actifs, sortez, bougez car nous, nous sommes dehors et on vous attend pour faire la fête ! La fortune sourit aux audacieux !
Stay Pryde, stay metal ! ! !
NdSS : Pryde sera en concert le samedi 21 mai, au Brin de Zinc (Barberaz), aux côtés de Galderia et Ice Scream.
Critique : Secret Sfred
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